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| Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons | |
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Auteur | Message |
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Sayanel ♞ Graphiste et modérateur
Emploi ou situation : Au service de sa majesté le Roi Localisation : Un endroit plein de charmes et de belles rencontres ^^
| Sujet: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Ven 26 Aoû - 11:34 | |
| Coucou tout le monde! Alors hier soir je me suis replongée dans un truc qui date : le RPCB (franchement on était bons)! XD Je me suis souvenu que certains ce suivait et donc voilà, j'espère vraiment que vus les avez garder et qu'on pourra se compléter! Je vous fais une liste de ce que j'ai. Si vous les voulez, je les mettrai en spoiler à la suite. ... Et je vais mettre une lite de ce que j'espère que vous vous avez! Alors j'ai :
- ALISTER/EKAR/GIDEON {in medias res}: le lac (de mémoire il suit la première rencontre qui doit se faire dans une cabane)
- EKAR/GIDEON {in medias res}: Après la deuxième rencontre avec Aden, Ekar est marqué de partout.
- ELIZABETH/GIDEON {in medias res}: toute la vériter l'un sur l'autre, discussion post-confession je t'aimerai toujours mon jumeau/jumelle!
- SAYANEL/EDELWEISS {in medias res} : test de confiance, la virage de non-retour.
- GIDEON/EKAR/ALISTER : ...Gideon a perdu la mémoire?
- SAYANEL/ALISTER : Rp test rencontre entre les deux.
- GIDEON/EKAR : Gideon a perdu la mémoire (suite).
- SAYANEL/EDELWEISS {in medias res} : Réflexion sur le contrôle et la domination (après le virage de non-retour? Ou un peu avnt?)
Malheureusement souvent je n'ai pas la fin de ces Rps. Après en rcb on ne faisait pas toujours la fin vu que ce n'était pas utile donc je ne peux pas l'affirmer non plus! :/ De plus pendant longtemps je n'enregistrais pas les RPCB donc je n'ai pas grand chose... MAis bon! Ls copain/copines faîtes nous une liste de ce que vous avez à votretour! Comme ça on pourra essayer de les reconstruire! Et si vous n'en avez pas envie répondez à mon appel de détresse je cherche :
- EKAR/GIDEON : -première rencontre + la suite de ce que j'ai + d'autres que j'aurai oublié
- EKAR/AIDEN : tous. j'ai tooop envie de les lire! XD
- EKAR/ALISTER : ce que vous avez!
- ALISTER/GIDEON : -ceux que j'ai oublié + celui où Gideon apprend qu'Aliste est l'amant de sa sœur et le frappe ( ahahha j'avais oublié ça j'ai vraiment envie de le voir!) + de mémoire on en avait fait u en faisant les 400 coups avec Ekar (genre poursuivre un fantôme dans les salles de musique!?)
- ELIZABETH/ALISTER : tous, parce vous êtes vraiment trop chous <3
- ELIZABETH/GIDEON : pareil tous! \^^/
- ELIZABETH/EKAR : de mémoire c'était drôle aussi
- SAYANEL/EDELWEISS : au moins la partie d'avant mais de mémoire il y a plusieurs séance de BDSM un peu hard pour certaines mais avec un : est-ce qu'ils vont réalisé qu'ils tiennent l'un à l'autre? +fin de la réflexion sur dominé/se laisser dominé.
- SAYANEL/ISMAIRE : alors j'avoue que c'est du bluff, de mémoire on en a fait mais je ne sais si quelqu'un les as enregistré.
J'ai relu et franchement ça permet de se rappeler un peu la vision de son perso c'est pas mal bref mettez un message à la suite! ;p En tout ça merci d'avance pour ceux/celles qui auront le courage de chercher! |
| | | Ewald Conseiller du roi
Emploi ou situation : Conseiller du roi / Dirigeant de la rébellion
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Ven 26 Aoû - 19:25 | |
| Pouet!
Se passer les rpcb pour les relire oui, mais perso j'aurais du mal à reprendre de là où on s'est arrêté parce que ... j'ai dormi depuis et je ne me souviens pas de grand chose XD C'est qui aiden? =P
Sinon ce que j'ai retrouvé chez moi: Edel/Ismy: Où Ismy essaie d'entourlouper Edel pour coucher avec lui. Dommage c'était court XD Alister/Aden: C'est assez horrible, mon bonhomme à violer Ali et je ne m'en souvenait même plus ^^' Aden/Eka: Je n'ai malheureusement que les réponses d'Aden pour les premiers rpcb (comme les réponses étaient tellement longues que je les faisais d'abord sur word du coup) et par contre en entier celui où les deux loustics inverses les rôles.
Je viens d'ailleurs de me rendre compte à quel point Aden était un grand malade XD
En revanche je suis dé-gou-tée, incapable de remettre la main sur les rpcv Edel/Saya U-U Et pourtant je les avais sauvegardé c'est sûr... |
| | | Sayanel ♞ Graphiste et modérateur
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| | | | Ewald Conseiller du roi
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| | | | Sayanel ♞ Graphiste et modérateur
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| | | | Naruse Êtres magiques
Emploi ou situation : Vagabonde Localisation : Torcken est un lieud d'aventures et d'audelà!
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Sam 27 Aoû - 17:17 | |
| Attention Yaoi, hard, peu et va heurter la sensibilité des plus sensibles Enjoy <3 - SAYANEL/EDELWEISS test de confiance part1:
[22:41:48 03/09/14] * Sayanel regarde Edel avec un sentiment de satisfaction. Pourtant son désir se décupla lorsqu'il vit Edel commençait à prendre son propre plaisir sous ses assauts. L'ange était magnifique et Saya se surpris à sourire: peut-être un dernier cadeau pour l'avoir mis de bonne humeur. Sentant qu'il allait bientôt se libérer, il se penche vers Edel et l'embrasse passionnément en s'enfonçant plus profondément qu'avant
[22:48:42 03/09/14] * Anaé // Edelweiss sent que son plaisir monte à nouveau, il retrouve les sensations de la fellation et perçoit l’excitation de son sexe à son comble. Que cet instant dur à jamais ! Puis de nouveau son seigneur se penche vers lui, et alors qu’il s’attendait à une nouvelle douleur, il sent la langue de son maitre franchir ses lèvres, s’insérer dans sa bouche et lui faire perdre la raison. Lâchant les draps sans s’en rendre compte, il s’agrippe à l’Evelyne, entourant sa nuque de ses bras pour lui rendre un baiser tout aussi langoureux, amoureux, passionné ! Il n’était plus ! Il était fou et ce sont cette fois-ci des cris qui s’échappent de lui. Il aimait ça ! Il adorait ça ! Et avant même qu’il n’en prenne conscience, l’hybride jouit avec une violence rare, se répandant sur leur deux torses collés.
[10:49:59 04/09/14] * Sayanel sent ses muscles se contracter. Wow, wow wooooow! Il ne s'attendait pas à tant d'enthousiasme. De tous les côtés à dire vrai. Surpris de la réaction de son oiseau, Sayanel le regarda dubitatif un grand sourire moqueur aux lèvres.
[10:52:52 04/09/14] * Edelweiss se sent un peu penaud et relève timidement les yeux vers son maitre, bien embarrassé d’avoir répandu sa semence sur ce dernier. Le rouge aux joues, esquivant subitement son regard, l’inquiétude l’étreint. Il venait de faire une erreur. Il n’aurait pas du faire cela, n’est-ce pas ? Déglutissant difficilement, il murmure d’une toute petite voix : « Je suis désolé, maitre… »
[10:57:52 04/09/14] * Sayanel ricanne et cherche le regard d'Edelweiss. Il finit par immobiliser son visage d'une main ferme et pose son front sur le sien. Il fixe ses yeux, et va lire quelque chose jusqu'au porte de son âme, quelque chose qu'il ne comprend pas. il ouvre la bouche pour lui demander puis la referme. Penchant légèrement la tête sur le côté: ".... pourquoi?" Pourquoi est-ce qu'il était comme ça?
[11:01:21 04/09/14] * Edelweiss sent sa respiration se couper sous la profondeur de son regard. Sa peau encore moite de leur union se soulevait par saccade, au bord de la panique, mais tellement frémissante de se savoir à sa merci, sous lui, à lui… L’hybride était comme happé par ses yeux de rois, incapable de se détourner, incapable de se soustraire à lui il reste ainsi, avalant sa propre salive avec peine sans pouvoir ne serait-ce que fermer les yeux : « Je n’ai pas pu me retenir seigneur, pardon ».
[11:05:50 04/09/14] * Sayanel fronce des sourcils. Il se demande si Edel est lent ou si il est trop sybillin. Pourtant il sent quelque chose dans le comportement de ce dernier: de l'électricité dans l'air? Il vient susurrer à son oreille de façon langoureuse"j'ai senti ça" [11:08:51 04/09/14] * Edelweiss déglutit, il avait peur, il craignait sa réaction, mais voir ses lèvres, sa bouche s'approcher ainsi si près de la sienne était une torture sans nom lorsqu'il savait ne pas avoir droit de la toucher. Un voile de tristesse traversa son regard : "Je suis désolé! Puis-je, puis-je me faire pardonner? Ne me rejeter pas maitre, je vous en supplie."
[11:12:21 04/09/14] * Sayanel a une idée qui vient de lui traverser l'esprit. Ses yeux pétillent d'une lueure malsaine alors qu'il met son plan en place. Haussant les épaules avec nonchalance, "ça c'est peut-être trop tard." il sort du lit et se commence à s'habiller. [11:18:09 04/09/14] * Edelweiss sent son cœur se figer, se glacer. La peur envahit chaque parcelle de son être alors que son monde s’écroule. Ne lui avait-il pas dit qu’ils resteraient ensemble pour toujours ? Le seigneur Evelyne n’avait pas toujours été un homme de parole avec les autres, mais il avait tellement voulu croire à cette promesse… Sa gorge se serre, son cœur se brise en lent morceaux douloureux : « Maitre… » gémit-il en ne se rendant même pas compte des larmes qui ont commencé à rouler sur ses joues. Il sort du lit, s’agenouillant auprès de son maitre, frôlant sa jambe pour l’implorer, mais avait-il seulement encore le droit de le toucher : « S’il vous plait, s’il vous plait… je ferais tout, absolument tout ce que vous désirez… » comme d’habitude en soi. [11:22:48 04/09/14] * Sayanel contrôle les émotions sur son visage. Quelque part il est irrité, cependant il a vraiment de voir jusqu'où Edel est prêt à aller. Il continue de l'ignorer jusqu'à être totalement habillé et le regard froidement:"tu vas rester là encore longtemps?"
[11:32:26 04/09/14] * Edelweiss suffoque, la tête lui tourne. Impossible. Impossible ! C’était un cauchemar ! Un horrible cauchemar ! Il cherche de l’air, n’y arrive pas. Etait-ce cela qu’on appelait une crise de panique ? Il s’écrase au sol, front collé contre le parquet de la chambre, l’oiseau ne lutte pas contre le flot de ses larmes : « S’il vous plait maitre ! S’il vous plait ! » Petit tas humain, l’hybride lutte contre l’ordre qu’il lui a donné. Il ne voulait pas obéir à celui là, il ne pouvait pas ! Il ne le reverrait plus jamais sinon ! Sa poitrine se soulève par saccade, il ne trouve plus d’oxygène, mais refuse de trouver une solution plus confortable. Si son seigneur ne voulait plus de lui, alors autant mourir maintenant !
[11:38:53 04/09/14] * Sayanel regarde la crise de panique sans un mot. Il est assez étonné de la réaction de son oisillon: allait-il mourir là maintenant tout de suite? La crise lui semble assez forte. Il ne se rend pas compte qu'il reste figé.
[11:44:12 04/09/14] * Edelweiss suffoque toujours, immobile (ou presque) il ne décolle pas son crâne du sol, seulement agité de quelques spasmes paniqués. Il n’y avait plus un bruit. Sayanel était-il parti ? NON ! Redressant brusquement la tête, il se rend compte de son erreur et en est cette fois-ci soulagé, il était toujours là. Il était encore là, et il le regardait : « Donnez-moi une seconde chance, maitre, je vous en supplie, je vous en supplie » gémit-il d’une voix où perçait sa terreur.
[11:48:30 04/09/14] * Sayanel ouvre puis ferme la bouche. Il le regarde et posa sa main sur sa tête en caressant ses cheveux. Pourtant il continue de froncer les sourcils, c'était maintenant ou jamais "Donne moi une bonne raison."
[11:58:27 04/09/14] * Edelweiss se redresse un peu, savourant le contact de sa main qui était probablement le dernier qu’il pourrait jamais ressentir. Son regard marron croisa celui – si beau – de son maitre : « Je ne vis que pour vous, seigneur, je ne vous décevrais plus ! Je suis à vous ! Entièrement à vous ! » Les larmes coulaient toujours sur ses joues, mais il s’en fichait, il essayait plutôt de graver l’image de cet être si parfait au creux de sa mémoire qu’il connaissait déjà. L’oiseau se désespérait, il n’avait rien, rien à lui offrir, il ne possédait rien, si ce n’était lui, et il venait déjà de lui donner : « Ordonnez-moi et je ferais, et si vous voulez que je meure, alors je mourrais. Je vous suis fidèle, maitre, maitre… maitre… » Il ne savait quoi dire. C’est vrai après tout, qu’y gagnait le seigneur Evelyne à le garder près de lui ? Il n’était qu’un poids inutile, parfois incompétent et il avait eu le culot de se croire important. Baissant piteusement la tête, il se tût.
[12:03:17 04/09/14] * Sayanel regarde Edel sans laisser transparaître ses émotions. Il le prend ses épaules pour l'obliger à se lever. Il posa un baiser sur son front. Edel faisait presque pitié s'il n'était pas aussi mignon à pleurer! Entre deux baiser Sayanel lâche tranquillement "ça ne sera pas suffisant." De là il pousse Edel sur le lit une nouvelle fois et vient sur lui comme un prédateur s'apprête à dévorer sa proie "il va falloir que tu m'expliques deux trois petits choses."
[12:09:05 04/09/14] * Edelweiss ne peut rien faire contre son seigneur et lorsque ce dernier lui ordonne de se lever, il lui obéit sans se rebiffer. C’est là que son corps tout entier tressaillit. Ses lèvres sur son front… lui pardonnait-il ? Un espoir fou, insensé fait battre son cœur. Avait-il obtenu l’indulgence de son maitre ? Lui jetant un regard désemparé, désolé, il se sent de nouveau mourir quand l’Evelyne lui indique clairement n’être pas satisfait. Ses jambes se dérobent, et sous l’injonction de Sayanel, atterrit sur le lit. Il ne savait plus quoi faire, quoi penser. Tournait-il la page ? Voulait-il le tuer ? Il était prêt à s’offrir à lui, mais était-ce ce que voulait son seigneur ? « Que voulez vous savoir, maitre ? » murmure-t-il en luttant contre ce flot de sentiment contradictoire. Il lui semblait ne pas être totalement tiré d’affaire.
[12:12:20 04/09/14] * Sayanel s'oblige à ne pas regarder Edel dans les yeux. Il savait que celui-ci serait terrifié de ne pouvoir mettre au point ses sentiments: comment savoir qu'il était pardonné si il ne pouvait le lire dans le regard de son seigneur? L'espoir le ferait parler bien lus que les menaces Sayanel comptait là-dessus. Il caresse le corps d'Edel du bout des ongles et mordille son corps par intermittence "est-ce que tu m'aimes?"
[12:15:19 04/09/14] * Edelweiss sursaute sous ses morsures. Il ne savait plus quoi penser, quoi dire, juste apprécier une dernière fois son contact avant qu'il ne décide de son sort. Puis la question fatidique s'envole dans la pièce et pioupiou ouvre de grands yeux: "Oui" souffle-t-il sans l'ombre d'une hésitation. La réponse était tellement évidente...
[12:17:19 04/09/14] * Sayanel se fige un instant. Il réprime une question. Et reprend son interrogatoire, ses ongles s'enfoncent un peu plus mais sans le faire souffrir: pas encore. Pareillement il s emoet à mordre un peu plus fort. "Pourquoi?"
Edelweiss frisonne sous les doigts de l'Evelyne. Il lui en faut peut pour le faire réagir. Il voulait tellement de lui, tellement plus! Son regard hésitant revient se poser sur lui : "Je ne sais pas" murmure-t-il finalement "Vous êtes trop parfait pour qu'une seule réponse soit suffisante"
Sayanel ne peut pas réprimer un éclat de rire. Edel était et serai sans doute l'unique personne au monde à penser ça de lui. Pour le punir d elui avoir fait perdre son masque, il le mord sérieusement. Bon, il n'y arriverait à rien comme mieux valait partir sur autre chose : "tu devrais partir. Tu sais que je te ferai pleurer toute ta vie alors pourquoi tu ne t'en vas pas?" Cette fois-ci Sayanel ne le remarqua aps mais ses ongles s'était carrément planté dnas la chaire du petit tellement il était nerveux.
Edelweiss glapit sous la morsure, mais peu lui importe la douleur, cela le soulage même un peu de le voir revenir vers lui avec ses manière habituelles, mais c’était sans compter sur sa nouvelle question. Il reste un instant silencieux, le regardant fixement porté par une surprise sans nom : « Si tel est votre souhait, seigneur, alors faites moi pleurer tous les jours » Ses yeux glissent sur le contour de son visage, se moquant bien des ongles fichés dans sa chair, seul lui important le visage de son maitre. Hésitant tout d’abord, l’oiseau tend sa main vers Sayanel et ose lui caresser la joue du bout des doigts : « Vous êtes ce qui m’est de plus cher, bien plus que n’importe quoi, que n’importe qui. Comment pourrais-je seulement songer à vous quitter ? Je vous l’ai déjà dis pourtant… plutôt mourir que vivre sans vous. Ne comprenez vous pas que je pense chacun des mots que je vous dis ? »
[14:23:42] * Sayanel fronce des sourcils et il vient mordre le cou d'Edel. Ce garçon est étrange, il ne le comprend pas... Une chaleur inconnue s'empare du coeur du noble. Il serre l'ange contre lui, rapprochent leur corps au plus près, tout en le mordant partout. "Normalement les gens comme toi je les utilise. Jusqu'à la moëlle, qu'il ne leur reste plus qu'une fine couche de peau sur les os... Tu le sais ça?"
[14:29:22] * Edelweiss grimace un peu en sentant les dents sur sa peau, mais il reste à sa place, savourant plutôt le toucher que cela occasionne entre eux. Il frémit, gémit à la fois à cause du câlin et des morsures. Encore, je veux encore t’appartenir ! Puis il ferme les yeux, inspire longuement et répond finalement en plantant son regard sincère et déterminé dans le sien : « Oui, mais je résisterai. Je résisterai encore et encore pour rester auprès de vous, je ferais en sorte de ne jamais vous lasser, de vous soutenir dans toutes vos entreprises. » Un instant de silence s’installe entre eux tandis qu’il enserre tendrement son maitre dans ses bras : « Vous ne me ferez pas fuir, seigneur »
[14:43:00] * Sayanel Tente de réprimer ses frissons, ça c’était bizarre. Il est véritablement surpris lorsque Edel fixe le fixe. Il l’écoute sans broncher, trop étonné pour réagir de quelque manière que ce fut. La passion d’Edel est… dévorante et irrationnelle. Le silence s’installe, il est incapable de répondre quoique ce soit. Il sent les bras de son…. Son quoi ? Son amant ? Pris d’une peur qu’il ne parvient pas à contrôler il s’écarte violemment de son oiseau, un sourire figé sur le visage. Trop de fois il perdait le contrôle avec ce garçon et des fois, comme ce jours, il se demandait qui était le chef. Il fronce des sourcils en le regardant, incapable de comprendre….
[14:48:48] * Edelweiss a un instant l’illusion qu’il peut continuer, qu’il peut effleurer la peau de son maitre encore et encore, usant toujours de cette même délicatesse. C’était sans compter la violence de sa réaction. Glacée au plus profond de lui, l’hybride baisse piteusement le regard, ne bouge pas, arrête de respirer sans même sans rendre compte. Alors ça y est ? C’était fini ? Le seigneur Evelyne avait finalement prit sa décision ? Et quelle décision… Des perles salées reprennent le chemin des précédentes pour tomber avec lenteur sur ses genoux, lui qui s’était remis en position de soumission devant son maitre priait pour que les dieux lui ouvrent la porte des enfers immédiatement. Cela lui serait tellement plus doux qu’être séparer de son souverain.
Sayanel Cligne deux fois des yeux en regardant Edel pleurer. Il le laisse pleurer, ça lui fait du bien de le voir ainsi. Il a l’impression de retrouver toute sa puissance, en maître de l’univers. Il se penche pour l’embrasser puis pose un baiser sur ses paupières emplis de larmes « c’est pour moi que tu pleurs ? »
[14:58:05] * Edelweiss inspire l’air goulument à son contact, comme si seul le toucher de son maitre pouvait lui permettre de respirer : « J’ai peur » murmure-t-il finalement : « Peur que vous ne m’abandonniez.. »
[15:02:51] * Sayanel embrasse sa joue ses lèvres, il vient mordre ses lèvres. Il aimerait lui dire qu'il a peur lui aussi.... Peur de lui et des changements qu'il pouvait provoquer. En vériter il était incapable d el'abandonner et ça aussi il n'aime aps cet attachement. Il se lève du lit et lui fait signe de le suivre: "viens."
[15:05:26] * Edelweiss halète, s’étouffe presque sous des baisers qu’ils ne pensaient plus jamais recevoir. La peur toujours présente u creux de son ventre, il se laisse pourtant totalement guider, se levant lentement pour lui emboiter le pas. Où allaient-ils ainsi ?
[15:10:42] * Sayanel va dans son bureau, il recherche quelque et finit par un ressortir des cordes en cuir. Il les fait claquer une fois pour entendre le bruit. Un son clair résonne dans la salle : ça ferait bien l’affaires ! Il se rapproche d’Edel et le carresse avec les cordes. Son regard se balade sur le corps de l’angeleau, avide. « Tu pourrai aimé et être aimé Edelweiss…. »
[15:16:33] * Edelweiss déglutit difficilement en le voyant s’emparer des cordes, sursaute sous le bruit inquiétant qu’elles font, cependant il ne fuit pas. Les ordres de sont maitre étaient de le suivre, pas de s’esquiver. Et quand bien même il en serait ainsi, l’hybride n’aurait pas bougé. Sa place était trop branlante, trop peu certaine pour qu’il accepte de le quitter sans certitude. La douceur du matériel sur son épiderme fait se hérisser la peau de l’oiseau, voyant en elle un châtiment douloureux, mais rassurant : « Peu m’importe d’être aimé, messire, » souffle-t-il difficilement « car je ne peux aimer que vous… »
[15:26:29] * Sayanel Le regarde droit dans les yeux. Son regard brûle tant de désir que d’autre chose. Encore une fois et il ne douterai plus de lui. Cet oiseau devait choisir entre sa cage et le ciel bleu… … Enfin dans cette option il allait devoir l’enfermer à double tour dans le donjon. Connaissant l’effet qu’il avait sur l’hybride, il s’approche de lui et laisse son souffle courir sur sa peau nue. « Tu choisis d’être avec moi, retiens-le. Tu choisis de m’appartenir : alors qu’est-ce que je ferai avec ça ? »
[15:35:01] * Edelweiss déglutit avec peine, mais plus de peur. Non, il y avait autre chose. Une intensité dans son regard, dans son attitude qui le faisait frémir. Il l’observe s’approcher doucement de lui, ne bougeant pas d’un pouce, puis toute sa peau se hérisse là où passe le souffle de son seigneur. Comment si peu de chose pouvait-elle tant le faire réagir ? Il était nu, là, devant son maitre, à sa merci. Il ne pouvait rien lui cacher, pas mon son désir commençant à s’éveiller une nouvelle fois. Pioupiou n’aimait pas vraiment la douleur, mais il aimait tellement son seigneur que le simple fait de savoir que cela lui ferait plaisir exacerbait ses sensations : « Je ne renierai pas mon choix » répond-t-il bassement en suivant d’un air un peu inquiet la corde qui le frôle : « Vous allez…vous allez m’attacher ? » Ou bien le frapper peut-être…
[15:39:20] * Sayanel penche sa tête sur le côté en regardant Edel: "peut-être.." Il se recule d'un pas et écarte les bras comme comme un crucifié. Il lâche les cordes et le défie d'un sourire moqueur et séduisant "Mais je le ferai ainsi vêtu, non?"
[15:44:36] * Edelweiss fond devant le sourire de son maitre. Quelle résistance pouvait-il lui opposer ? Qui pouvait lui résister ? Pas lui en tout cas… Pied et poing lié par les chaines de son cœur, l’hybride s’approche doucement de son seigneur. D’abord la veste. Pioupiou connaissait son boulot, cela faisait des années qu’il le faisait et c’est donc à geste, lents, doux et précis qu’il retire le premier vêtement de l’Evelyne. Les choses se corsent un peu plus lorsqu’il s’agit de la chemise. Oh, ses doigts sont sûrs, mais il lui arrivait parfois de toucher, d’effleurer la peau de son seigneur et là… c’était un flot de frisson qui lui parcourait l’échine, une lutte intestine pour ne pas se jeter sur lui et l’embrasser immédiatement. Sayanel avait sur lui un effet physique tout bonnement impressionnant.
[15:48:47] * Sayanel s'amuse de la raction d'Edel. Il se dit qu'il a fait le bon choix en le mettant ainsi à l'épreuve. Il s'amuse à le distraire; passant sa main dans ses cheveux, ou posant un doigt à la naissance de ses fesse pour remonter lentement sur son dos. Il s'arrête parfois pour laisser le dévêtir. Une fois la veste et la chemise enlevée il ne lui reste que le bas.... Il sourit de toute ses dents pour voir si edel oserait ou s'il lui faudrait l'enourager.
[15:54:02] * Edelweiss à de plus en plus de mal à rester concentrer. Il jouait, il jouait avec lui de la plus délicieuse des manières et l’hybride se surprenait parfois à s’arrêter en plein geste pour mieux savourer ceux de son maitre, le faisant tantôt gémir doucement, puis se cambrer de surprise en haletant. Finalement la chemise tomba au sol dans un glissement feutré, et l’oiseau l’observa un instant – totalement subjugué par un corps qu’il avait pourtant admiré des centaines de fois-. Pourtant, son seigneur semblait encore attendre. Attendre quoi ? Portant son regard sur le pantalon de ce dernier, il rougit brusquement à l’image qui lui vient. Mais n’était-ce pas précisément ce que son maitre désirait ? Incertain tout en étant déterminé à lui plait, Edel tombe lentement à genoux devant lui et délasse son bas comme si c’était lui-même qui en avait fait le nœud.
[16:05:19] * Sayanel caresse la tête d’Edel en le voyant à genou. Il repense à son cadeau sur le lit : peut-être que ça devait être au tour de l’ange de lui rendre la pareille ? Ses pensées s’égarent sur divers fantasmes et sa virilité se durcit. Il mord sa lèvre inférieure : la douleur lui permet de garder le contrôle sur ses sentiments.
[16:14:26] * Edelweiss détache posément le pantalon, tentant de regrouper ses esprits, de ne pas sombrer trop vite. Etait-ce la panique de tout à l’heure qui le rendait si sensible, si désespérément accroché à lui ? Toujours est-il que, lorsque l’intimité dressée du seigneur se dévoila à hauteur de ses yeux, l’hybride envisagea plus sérieusement que d’habitude de prendre un peu de largesse. Il leva les yeux vers lui, ignora le rouge brulant de ses joues, puis avança doucement ses lèvres sur le gland de son maitre. Il y déposa avant tout un tendre baiser, puis le parcourut de sa langue avant de la prendre lentement en bouche. L’Evelyne n’était pas le seul à connaitre les points sensibles de son partenaire…
[16:22:01] * Sayanel frisonne en sentant les lèvres de son serviteur. Il laisse un flot de sensation l’envahir comme la première fois : aaah si ismaire ne l’avait pas incité à ce délice il serait resté ignare tétu comme il l’était ! Mais il avait beaucoup plus confiance en Edel et c’était avec lui qu’il avait envie de partager la suite. Leur relation prenait un nouveau tournant et il était que lui-même apprenne à faire confiance au petit oiseau. Enroulant s amain dans ses cheveux, il l’accompagne doucement le laissant, pour la première fois, prendre le contrôle.
[16:38:52] * Edelweiss sent un espoir indicible s’emparer de son cœur. Son seigneur le laissait faire, pour l’une des première fois, il ne le rejetait pas. Le cauchemar avait-il viré au rêve parfait ? L’oiseau se fit bientôt plus franc, plus osé. Il le prit totalement en bouche, se remémorant son passé, ce qu’on exigeait de lui pour satisfaire les hommes et bientôt se fit plus avide. Il voulait lui procurer du plaisir, du plaisir comme l’Evelyne lui en offrait lorsqu’il le prenait à son tour. Son cœur s’envolait, le bonheur de cette nouvelle confiance lui faisait presque perdre pied alors que l’une de ses mains parcourait ce corps sculpté par les dieux et que l’autre encourageait la virilité de son maitre. Sa langue ne cessait de bouger, redécouvrant avec cette dernière ce que ses doigts connaissaient déjà.
[16:49:39] * Sayanel poussa un râle. Sa respiration s’accélère en suivant le rythme d’Edelweiss. Il inspire et ses genoux fléchissent dangereux sous le plaisir que lui apporte l’angeleau. C’est aussi violent que la première fois et son plaisir aussi incontrôlable. Ah ce n’était pas exactement ce qu’il avait prévu, il avait espéré plus d’empire sur lui-même, plus de… Sa main enroulée dans la chevelure immaculée de son partenaire se serre. Il garde ainsi un semblant de conscience qu’il se sait capable de perdre à n’importe quel moment. Il posa sa main libre sur l’épaule de l’hybride et bredouille quelque chose. Sa voix est si basse qu’il l’entend à peine. Il voulait qu’il s’arrête. Il s’entend le dire, d’une voix infime mais sa main pousse légèrement Edel afin de faire entendre son ordre.
[17:01:46] * Edelweiss gémit en entendant, ressentant le plaisir qui envahit son seigneur. Il était sur la bonne voix, encore ! Encore ! Comme ça, et ceci, cela aussi lui faisait un bien fou. Sa langue ne cessait ses mouvements, sa bouche ne cessait d’aller et venir, il voulait toujours lui en offrir plus ! Il glapit en sentant son cuir chevelu se faire tirer en arrière, mais ne cède pas, pas après avoir droit à temps de merveilles. Il était concentré, focalisé sur ses mouvements ! C’est à peine s’il perçoit le mouvement de son amant. Le lâcher maintenant ? Hors de question ! Ignorant l’injonction faiblarde, l’oiseau persiste dans sa fellation. Il en voulait plus ! Toujours plus ! Il voulait le gouter. Enfonçant son pénis au plus profond de sa gorge, ignorant la sensation désagréable que cela lui procurait, il insiste, persiste en percevant son maitre lâcher prise. Puis enfin il gagne la partie, cueillant au creux de sa bouche, le long de sa langue et au bord de ses lèvres la semence tant désirée de son partenaire. Et il contin
17:02:04] * Edelweiss (suite) . Et il continue de pomper, ralentissant progressivement pour tout tirer de lui, avalant au fur et à mesure le précieux liquide qui naissait des entrailles de son maitre. /me jouit avec puissance… Une forte faiblesse pour les fellations donc ? Maintenant qu’il le savait… Son corps entiers se vide de toute énergie et Sayanel se tient à Edel pour redescendre. Il parvient à s’assoir sur le sol sans tomber et reprit son souffle au fur et à mesure. Il ne peut s’empêcher de sourire face au zèle d’Edelweiss : « je t’avais pourtant dit de t’arrêter. ». Il rit et vient l’embrasser. Son regard se pose sur les cordes en cuir, ah oui, il en avait presque oublié son objectif premier. « Que proposes-tu pour ta punition ? » il le regarde avec une lueur espiègle dans les yeux : edel n’avait pas besoin d’une punition mais il avait besoin de prouver son engagement…
[17:30:51] * Edelweiss a un instant peur de ce qui peut se passer. Tout est tellement bancal aujourd’hui… Mais bien vite le rire de Sayanel le rassure, et c’est presque le cœur léger qu’il accepte la punition. Se léchant instinctivement les lèvres pour savourer une dernière fois le gout de son maitre, il pose un regard intense sur son seigneur, le cœur battant la chamade. Il était heureux, tellement heureux. Heureux d’être là, heureux de voir qu’il resterait avec lui, heureux d’avoir enfin pu le prendre en bouche, heureux même qu’il le punisse comme une preuve qu’il ne l’avait pas encore lassé. Le silence s’installe progressivement entre eux, l’Evelyne attendant probablement une réponse tandis que l’oiseau ne peut aligner deux pensées cohérentes. Il était obnubilé par cet homme assis à sa hauteur et mué par un geste inconscient, il tend ses mains vers le visage se son seigneur, frôle ses joues, puis alors qu’il l’encadre doucement, se penche vers lui pour l’embrasser avec tendresse. Quitte à être puni, autant profiter de ses
[17:31:19] * Edelweiss (suite) dernières secondes de répit non ? Il lui offre alors un baiser composé d’amour, de délicatesse, de passion et de son âme, mélangeant sa langue à la sienne avec une intensité dont lui-même ne se croyait pas capable… avant de le relâcher à regret et se rasseoir sur ses talons. Son épiderme à viré au rouge cramoisi et il détourne son regard sur les cordes : « Faites moi souffrir… jusqu’à ce que vous soyez satisfait » articule-t-il péniblement.
[17:40:48] * Sayanel laisse Edel l’embrasse et va même jusqu’à répondre à son baiser. Ce garçon était vraiment incroyable quand même…. Il explose de rire et lui fait un clin d’œil : « je vois que tu n’es pas très inventif, on va me laisser la partie… créative. Avant ce la il me faut vérifier une dernière chose. Après je te croirai sur parole. » Il souffle puis regarde le plafond… croire quelqu’un. Ça c’était nouveau. Cela voulait aussi dire que toute trahison ne pourrait que soldé par une mort lente et douloureuse. Lequel d’eux deux souffrirait le plus dans ce cas ? il préfèrerait ne aps y penser, avec Edel ça allait certainement aps se produire, ce n’était aps pour rien qu’il s’apprêtait à lui faire confiance. Se levant, Sayanel va ouvrir le verrou de la porte tout en laissant fermer. N’importe qui pouvait rentrer, ou sortir. Il retourne vers Edel et se baisse pour prendre les cordes de cuir. « j’ai une cravache dans la chambre, va la prendre et reviens ici. », il s’assoit sur une chaise pour réfléchir aux évènements prochains….
[17:48:40] * Edelweiss baissa piteusement la tête. Oui il n’était pas inventif, mais torturer les gens ne faisait pas vraiment parti de son hobby. Cependant son cœur se gonfla d’espoir. Vérifier quelque chose ? Gagner sa confiance ? Ses battements s’accélérèrent, il était prêt à tout faire pour cela ! Absolument tout ! Le regardant faire avec curiosité, l’hybride reste immobile sur ses talons jusqu’à recevoir l’ordre de son seigneur. Il s’inclina brièvement, puis se mit en mouvement pour aller chercher le fameux objet. Pioupiou n’a aucun mal à trouver la cravache et lorsqu’il revient dans le bureau, il se agenouille devant lui et tend l’objet de ses deux mains, attendant la suite avec un angoisse grandissante.
[18:00:22] * Sayanel lui ordonne de s’agenouiller et de se mettre en position comme pour prier. Il li attache les poignets mais ne sert aps trop. Il s epenche pour lui expliquer la situaton « Tu peux te défaire à n’importe quel moment et sortir également. On va convenir d’un mot, un mot d’urgence que tu me diras lorsque tu voudras t’arrêter. Ne discute chosis juste un mot. » Il termien en le menaçant de son index. [18:06:48] * Edelweiss le regarde un instant, incertain. Il ne voulait pas de mot d’urgence, il ne voulait pas qu’il le croit incapable de résister, mais encore une fois c’était un ordre, et l’oiseau avait bien trop tiré sur la corde de sa patience et de sa bonté pour se rebeller. Prenant le temps de réfléchir, observant son seigneur, il cherche l’inspiration jusqu’à penser trouver : « Perfection, vous conviendrait-il ? » et il l’avoue sans aucune honte, c’était bien le premier mot qui lui venait à l’esprit en présence de son maitre.
[18:12:26] * Sayanel regarde Edelweiss, ébahis…. Perfection ? Comment pouvait-il sortir un truc pareil en cas d’urgence ? Sans doute pour se forcer à ne pas l’utiliser. Il hoche la tête afin de digérer puis le fixe à nouveau : « je vais te pousser à bout Edel. Bien plus que je ne l’ai jamais fait.A tout moment tu pourras dire « perfection » et t’enfuir par la porte. Seulement. » il se rapproche d’Edel et vient carresser sa joue du bout des doigts « si tu le fais ne reviens jamais ici. Ni dans cette chambre ni même dans cette ville, tu sais que je le saurais et je ne pourrai accepter ta présence, est-ce que c’est clair ? » [18:17:35] * Edelweiss l'observe, la gorge sèche alors qu'il hochait la tête. La peur l’envahissait progressivement. Le pousser à bout ? Mais tout ce qu’il avait subit avant alors, qu’était-ce ? L’hybride ferma les yeux alors que sa réponse avait déjà été annoncée sans être formulée. A partir de maintenant, il devait rayer le mot « perfection » de son vocabulaire, il n’en avait pas le choix ! Inspirant longuement, bloquant sa respiration d’un coup, il rouvrit les yeux, ces derniers brillant de détermination : « Je suis prêt, maitre ! ». Mais il ne pouvait la cacher totalement. Là, derrière ses prunelles brûlait une terreur qui lui tordait les tripes. Il ne connaissait que trop les compétences de son seigneur dans ce domaine…
[17:24:33] * Sayanel le regarde un peu perdu. Il avait presque pas envie de le faire… Et si Edel décidait de partir ? Il fond sur lui et l’embrasse avidement. Il place sa main sous sa mâchoire et le force à se relever par celle-ci. De là, il se retourne et marche vers la salle de bain lui faisant signe de le suivre.
[17:27:00] * Edelweiss s’attendait déjà à la douleur, alors quelle surprise de recevoir un baiser d’une intensité à couper le souffle ! Son souffle s’accélère brièvement alors qu’il gémit contre ses lèvres en se relevant. S’il voulait le torturer de cette manière… il était tout à fait d’accord. Mais au fond de lui il sait qu’il n’en est rien, et il lui emboite le pas en redoutant ce qu’à bien pu imaginer son seigneur pour le mener dans la baignoire.
[17:31:07] * Sayanel fait couler de l’eau dans la baignoire. Il l’a ferme afin de pouvoir préparer un bain. Il se retourne vers Edel : « tu le veux à quelle température ? »
[17:33:45] * Edelweiss le regarde, une lueur inquiète dans le regard. Il ne voulait pas le noyer tout de même ? Déglutissant avec peine, il songea un instant à ce qui lui permettrait de reprendre ses esprits si tout cela venait à le dépasser : « Froide, mon seigneur, s’il vous plait » ajouta-t-il en s’inclinant malgré ses liens.
[17:36:56] * Sayanel hoche la tête : bon choix. Chaude il aurait sérieusement du mal à respirer plus tard. Pendant que l’eau coule, il va dans une commode et en ressort un objet : une série de boules reliées les unes aux autres par une petite courde de cuire. Il s’asseoit sur le bord du bain et fais signe à Edel de venir.
[17:40:08] * Edelweiss se raidit sans vraiment s’en rendre compte. Il aurait préféré commencer les choses rudes tout de suite. Mettre autant de temps pour débuter les affaire pénibles l’angoissait plus encore, lui faisait songer à l’improbable, mais son maitre n’est-il pas roi dans la torture ? Obéissant comme toujours, il se dirige vers son seigneur dans une attitude aussi soumise que possible.
[17:45:13] * Sayanel tape deux fois ses genoux qu’Edel comprenne où il doit se mettre. Il lui sourit et attend patiemment que ce dernier s’exécute, le ventre sur ses genous et les fesses à l’air. Ceci fait, il claque ses fesses une fois. Il aime bien la façon qu’elles sont de rebondir sous sa tape. Il embrasse petit à petit la colonne d’Edel tout en caressant la porte d’entrée de son oiseau.
[17:49:19] * Edelweiss le regarde un peu surpris. Jusqu’ici il ne demandait rien d’impossible et c’est presque joyeusement qu’il se plaça comme l’avait indiqué son seigneur. Puis il eut un premier sursaut à la première fessé, retenant tout juste un halètement de stupeur … qui se mua peu à peu en petite saccade excitée en sentant les doigts de son seigneur à la limite de son orifice. Sa peau s’échauffe progressivement, attendant la suite avec impatience et anxiété.
[17:53:40] * Sayanel le mordille sensuellement. Il fait attention à ne apslui faire mal et s’occupe même de lui légèrement, de quoi aiguisé son désir sans le satisfaire. De là il introduit les boules en Edel dès que l’occasion lui en est donnée et le fesse une nouvelle fois.
[17:58:10] * Edelweiss gémit de plaisir. Oui ! Qu’il le torture encore comme ça ! Les yeux fermés, sa peau frisonne sous son contact alors que sa respiration s’accélère alors que… Oh ! L’hybride rouvre les yeux en sentant le corps étranger entrer en lui, mais ne dit toujours rien, ce n ‘était pas si désagréable en fait, presque appréciable, encore plus quand les boules s’enfoncent en lui une à une. Il émet un grognement appréciateur, puis se crispe à la fessée, sentant une mini décharge de plaisir électrocuter son corps.
[18:03:02] * Sayanel sourit. Ces petits jouets ont l’effet escompté. Voyant que le plaisir qu’ils engendré, il s’amuse en alternant massage et fessé afin qu’Edel sa familiarise avec le plaisir qu’elles procurent . De là il s’arrête brutalement et le somme de se lever. Il le regarde alors de haut en bas : « Viens. ». il se lève et va dans la chambre. [18:08:18] * Edelweiss soupire, gémit de plaisir. Lui qui croyait qu’il allait le pousser à bout, il était bien loin du compte ! S’abandonnant à son maitre, il est presque triste lorsqu’il lui demande de se lever. Mais c’était pour aller dans la chambre, et cela s’éloignait de la baignoire inquiétante ! Docile, il se relève doucement et se cambre de surprise. Les boules étaient toujours là, et continuaient leur effet. Il déglutit difficilement, puis se met en marche alors que tout sous corps lui somme de s’arrêter. Ses jambes flageolent, mais il s’accroche. Il doit lui obéir ! Il doit continuer à avancer.
[18:13:49] * Sayanel hausse un sourcil en regardant Edel. Apparemment il venait de comprendre pourquoi son maître le faisait marcher sans arrêt. Il était adorable à tout faire pour résister ainsi au plaisir ! C’était exactement ce qu’il voulait. Dans la chambre, Sayanel lui donne quelques instructions pendant que lui reste assis à le regarder s’activer : faire le lit, étandre les cravaches, chercher le fouet, étendre le fouet et surtout préparer «la bague ». La bague était un grand anneau en acier, pendu depuis le plafond par lequel saya aimait suspendre toute sorte de chose….
Conseil quand vous mettez un Rpcb sous spoiler : prenez la police à au moins 14 sinon on ne lis rien, et une ligne d'espace entre chaque réponse (si vous mettez en gras une réplique sur deux on vous aime <3). Sinon je vous jure que vous n'avez pas le courage de relire...
Dernière édition par Naruse le Sam 27 Aoû - 19:22, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Sam 27 Aoû - 18:15 | |
| Attention Yaoi, hard, peu et va heurter la sensibilité des plus sensibles - SAYANEL/EDELWEISS :test de confiance part2 :
[18:17:42] * Edelweiss se met subitement à gémir à chacun de ses pas. C’était trop, presque trop ! Et il se sentait d’ailleurs ridicule à prendre son plaisir – seul – devant son maitre, sans que ce dernier ne le lui procure en quoi que ce soit. Mâchoire crispé pour ne pas que sa voie prenne des proportions trop conséquentes, il obéit consciencieusement à son seigneur en se concentrant au maximum. Tant et si bien, qu’il se rend à peine compte de ce qu’il fait vraiment…
[18:23:05] * Sayanel inspecte tout minutieusement. Plus tard il n’aurait pas vraiment le temps de faire attention et tout devait être parfait. Voyant que tout était en place, il se rapproche d’Edel et pose une main dans son dos : juste le bout de ses doigts, ça devrait être suffisant au vu des jouets. Là il vient déposer un baiser tendre sur se slèvres, de quoi le distraire pour discrètement raffermir ses liens au poignets : « ton eau doit être prête, tu veux te baigner ? » question rhétorique bien sûr !!
[18:27:23] * Edelweiss frémit sous les doigts de son maitre puis ne pense à rien d’autre qu’à ses lèvres sur les siennes. Son maitre allait le rendre fou ! Ne pouvait-il pas le prendre maintenant ?! Hum ? Reprenant doucement pied avec la réalité, l’oiseau se fait un brin plus méfiant, et sous l’injonction de l’Evelyne reprend le chemin de la salle de bain et se tortillant malgré lui alors qu’il est encore la proie de l’objet enfoncer en lui.
[18:34:11] * Sayanel l’invite à rentrer dans l’eau. Il l’arrose, un peu partout pour que son corps en prenne l’habitude. Il s’amuse même à le bénir, rigolant à sa propre blague. Il l’embrasse sur le front, toujours rigolant puis le regarde droit dans les yeux « ne pleurt pas. » là il le plonge.
[18:40:08] * Edelweiss perd un peu de sa bonne humeur, c’est l’inquiétude qui prime alors qu’il entre dans l’eau, frissonnant sous le contact de l’eau gelée. Qu’allait-il faire ? Le baiser de l’Evelyne le rassure un instant, un instant seulement, car ses paroles lui glace le sang. Quoi ? Il lui vient un moment l’idée de résister à sa pression, mais il ne devait pas, non, il ne fallait surtout pas ! Et à contrecoeur il se laisse glisser sous la surface, gardant les yeux ouverts pour conserver la vision rassurante ( ?) e son seigneur. Obéir, obéir, obéir…
[18:43:57] * Sayanel le regarde s elaisser couler. La première n’était pas trp difficile : on ne savait pas à quoi s’attendre. Sayanel le laisse sous l’eau un certain temps, jusqu’à ce qu’Edel se mette à bouger instinctivement. Il le ressort. Là il le saisit par la gorge et l’intime deux foisde respirer respirer avant de le replonger de force et de le laisser plus longtemps.
[18:48:52] * Edelweiss reste sous l’eau, immobile, observant la silhouette de son seigneur au dessus de lui. Que voulait-il faire ? Qu’était son but ? Il reste ainsi un certain temps, puis commence à manquer d’air. Que devait-il faire dans ce cas ? Signalant à son maitre en remuant qu’il arrive à sa limite, il est soulagé de constater qu’il est autorisé à remonter. Pourtant tout ne se passe pas comme il l’avait espéré. Non ! Cherchant de l’air, pioupiou est rapidement bloqué dans ses inspirations et vite contraint à retourner sous la surface. Que se passait-il ?! Non ! Il tente de respirer une troisième fois, mais rien n’y fait. Faire confiance, faire confiance et subir et peut-être, peut-être pourrait-il l’obtenir à son tour … Et pourtant il ne pouvait s’empêcher de s’inquiéter. Jusqu’où l’Evelyne connaissait-il sa limite ?
Sayanel sent le corps d’Edel sursauter. Cette fois-ci il ne s’arrête pas à ce premier indice de noyade, de ses deux maisn, une serrant la gorge et l’autre maintenant son torse, il oblige Edel à rester sous l’eau. Il sent que ce dernier commence à se débattre sérieusement : son cerveau lui envoyé des signaux de détresse et la raison devait le quitter. C’était le cas dans toute asphyxie et le noble n’attendit que ce moment pur remonter un Edel totalement désorienté à la surface. Il le gifle violemment et lui ordonne de respirer. Il le laisse prendre une inspiration profonde, sachant pertinemment que la panique lui ferait perdre inutilement de l’oxygène uen fois sous l’eau. Ni une ni deux, les soubresauts de d’Edel reviennent d’emblés, beaucoup plus tôt que précédemment…
[19:58:25] * Edelweiss se débat instinctivement, son corps ayant beaucoup plus de mal à faire confiance que son esprit. Quelle personne sensée d’esprit noierait un ami ?! Ses poumons le brûlent, peu à peu une seule idée se met à hanter son esprit : de l’air ! Sa poitrine se saccade brutalement alors que sa bouche reste désespérément fermée, encore suffisamment lucide pour savoir qu’il ne faut pas inspirer. Le poids sur sa gorge le gêne, enfonce désagréablement sa trachée alors qu’une force implacable le maintient sous l’eau. Il le sait pourtant, il le sait, l’oxygène n’était qu’à quelques ridicules centimètres de lui… Puis de l’air ! De l’air ! Perdant quelques précieuses secondes pour le remarquer, il inspire goulument avant qu’une brûlure cuisante ne lui martèle la joue. Hein ?! Son esprit, se perd, il ne comprend plus rien. Il ne comprend pas. Et vite, trop vite, il est de retour sous l’eau. Il donne un violent coup d’épaule, cherche à se débattre tandis que des grosses bulles lui échappent et viennent éclater à la surface. [19:58:42] * Edelweiss (suite) L’oiseau tire sur ses liens, mais il est bien trop attaché pour espérer s’en défaire. Non, non ! Donnant de violent coup de pied, il a le vague espoir qu’ainsi, la baignoire serait suffisamment vide pour lui donner un peu de répit…
Sayanel ressort Edel de l’eau. Cette fois-ci il le sort d’un coup sec et le jette quasiment par terre. Il le laisse à terre, peinant à reprendre son souffle alors que lui se lève et prend le bout de la corde en cuir qui lie ses poignets. De là, il part vers la chambre el tirant sur la corde afin de traîner Edel qui a du mal à le suivre. Il passe la corde par l’anneau et l’accroche à un contre poid afin qu’Edel se retrouve sur la pointe des pieds. Il prend le fouet et je regarde un Edel haletant, que la demi-pendaison n’aide pas. Il claque le fouet une fois sur son dos une fois. Sa voix s’élèvant dans la pièce : « respire ! »
[20:17:58] * Edelweiss n’en peut plus ! Il n’en peut plus ! Il va mourir ! MAITRE !!! Et comme si le cri de son âme avait été entendu, l’oiseau retrouve le contact avec l’air libre. Il n’a pourtant guère le temps de reprendre ses esprits que déjà il est à demi-trainé au sol et trébuche plusieurs fois avant de se remettre debout tandis que les gouttes d’eau luisant de ses cheveux, glissant sur sa peau continuent de l’aveugler. Les bras en l’air, l’hybride se rend alors compte qu’il ne peut toujours pas les bouger et accentue sa panique. Seul la douleur sur son corps semble le réveiller et obéissant à cette voix qu’il admirait tant. Il inspire brutalement. Crachotant après avoir avalé quelques gouttes de travers, il secoue la tête pour chasser le plus gros de l’eau. Le seigneur ne l’avait pas tué, il ne l’avait pas tué ! Soulagé tout autant qu’angoissé, Edel peine à reprendre une respiration décente, sa poitrine haletant encore violement sous le coup de sa presque noyade.
Sayanel sourit en voyant ainsi Edel. Ça c’était lui dans toute sa splendeur, c’est ainsi qu’il aime et l ne le pourrait pas autrement. Il toune autour d’Edel en agitant son fouet comme une menace, pourtant son sexe dressé montre clairement qu’il y prend du plaisir. Ses yeux eux brûlent de le voir ainsi, soumis au moindre de ses fantasmes. Il lui parle d’une voix suave, séductrice et pourtant authoritaire : « tu aimes ce qui se passe Edel ? »
[22:34:45] * Edelweiss respire enfin normalement (ou presque), il craignait le fouet, il le respectait, il en avait peur, en cet instant il avait même peut de son maitre… Ses yeux marrons le suivent un instant observant son seigneur, ses réactions physiques : « Non » murmure-t-il piteusement. Non il n’aimait pas ça, il n’aimait pas souffrir ainsi : « Mais j’aime bien plus vous faire plaisir, et plus encore voir que cela vous plait ». Il hésite un instant, puis rectifie ses propos : « Alors … peut-être que …. Peut-être que oui, j’aime ça… »
Sayanel ricanne en entendant l’explication d’Edel. Il le trouve tellement pathétique ainsi suspendu et tout… Il le fouet une fois sur le ventre. Et recommence à tourner autour de lui. Quasiment en transe il ne l’écoutait plus vraiment et à dire vrai… là maintenant tout de suite il en avait plus rien à foutre. « Tu devrais te voir.. » Il le fouetta sur le dos. Et continua de tourner comme si Edel était dans une cage, c’était tellement facile. « On aurait ne petite pute. » Il le fouettait sans prévenir, le plus souvent dans des zones sensibles mais il s’amusait surtout à le fouetter ses fesses de temps en temps, sachant pertinement que cela créer des sensations paradoxales les une aux autres si bien que la douleur et le plaisir devenaient difficilement dissociable et pourtant aussi puissant l’un que l’autre !!
[22:51:00] * Edelweiss sursaute, glapit de douleur. Il tente de se soustraire à la douleur, à la morsure du fouet, mais il ne peut pas. Il ne peut pas et pire encore… Ne peut se boucher les oreilles. Son cœur se fend sous les propos de son seigneur. Une pute. C’est tout ce qu’il était à ses yeux ? Seulement cela ? Comment pouvait-il seulement avoir cru être plus ? Il déglutit, empêche ses larmes de couler et inspire. Il pouvait tenir, il devait tenir ! Peu importe ce que pensait son maitre de lui, de son côté l’hybride l’aimait de tout son cœur, de tout son corps. Des cris commencent à lui échapper. Il avait mal, mal ! Mais des fois, des fois oui il aimait ça… Il se mord la lèvre, criant tantôt de douleur, puis de plaisir.
Sayanel éclate de rire en le regardant combattre ses émotions ! C’est cela ! Abadonne ! Qu’il se brise sous ses coups, il ne prendrait que plus de plaisir à voir son âme s’émiettait ainsi. Il continue les insultes humiliantes, les accompagnants de coups bien placé décider à ne pas en rester là. Son cœur bat la chamade, il est dans son élément et tout son être exulte d’un plaisir tel qu’il s’y perd complètement. Entre deux coups il s’approche d’Edel et vient susurrer à son oreille « Tu t’entends ? ». il claque ses de ses mains nues pour le faire gémir de plaisir et rigole en continuant de jouer avec « tu devrais avoir tellement honte Edelweisssss. » Il continue en répétant à quel point l’hybride devrait être dégoûté de lui-même, sa voix s’emporte à mesure qu’Edel gémit de ses coups et sous ses insultes ! Ah ! Enserrant tout le corps de ce dernier vient lui mordre le dos de la nuque et parle d’une voix enrouée par un désir profond, incontrôlé et impatient : « qu’est-ce que tu veux Edel ? Dis le, dis le putain ! ». L’entendre crier et supplier était une musique si douce à se soreilles….
[23:08:28] * Edelweiss frisonne, détourne le regard sous celui de son maitre. Qu’il cesse ! Qu’il arrête ! S’il vous plait ! Pourquoi ? Pourquoi faire cela ? Honte ? Oui il avait honte ! Il était humilié, se sentais disgracié. Et ses mots, ses mots… L’oiseau se pince les lèvres, n’en pouvant plus alors que des larmes coulent sur ses joues. Une lame en plein cœur ne lui aurait pas été plus douloureuse. Son torse se soulève par saccade, cherchant de nouveau un souffle bloqué non seulement par la douleur, mais aussi par le chagrin qu’il lui provoquait. Un instant le mot « perfection » s’insinua dans son esprit, mais il le chassa tout aussi rapidement. C’était hors de question, hors de question de dire, faire une telle chose alors que de nouveau le cuir mordait sa chair. Sa voix vira dans les accents aigue du plaisir et ses joues s’empourprèrent de nouveau, le faisant se mépriser lui-même pour ce qu’il était. Obéissant sans même s’en rendre compte aux injonctions de son maitre. Sa peau trésaille, ses yeux si expressifs, si peinés, [23:08:41] * Edelweiss (suite) si brisés croisent celui de l’Evelyne et il hésite. Il ne savait plus quoi faire, il ne savait plus si il devait le dire, si son maitre n’allait pas le mépriser plus encore. Mais son propre corps le rattrape, lui hurle un ordre d’une tout autre ampleur : « Je vous en supplie, je vous en conjure, prenez moi, maitre ».
Sayanel pousse un râle de plaisir intense en entendantle smots d’Edel. C’était exactement ce qu’il voulait entendre. Il enroula une de ses maisn dans les cheveux et l’aggripa avec force. L’autre libre elle, alla tirer sur le petit bout de cuir en un coup sec toutes les boules sortirent de l’orifice pour acceuillir la virilité de Sayanel bien éveillée. Le noble alors s’abandonna par des coups de reins aussi profonds que rapide à mesure que le plaisir montait en lui. Se serrant contre Edel, Sayanel poursuivit sa danse en plaçant une min sur les hanches de l’oiseau pour mieux le stabiliser et optimiser leur plaisir.
[23:24:02] * Edelweiss eut un bref cri de douleur lorsque l’objet sortit de lui avec brusquerie, puis un autre de surprise et de plaisir lorsque son maitre l’empala. Enfin ! Enfin ! C’était là pour lui une sorte de délivrance. Il s’en fichait bien d’avoir mal à cet endroit, il en avait eu que trop l’habitude. Mais il subissait là ce qu’il aimait par-dessus tout : les assauts de Sayanel. Sa voix se mua peu à peu en cri rauque et profond. En gémissement d’excitation et de plaisir qu’il accueillait les yeux fermés pour pouvoir se concentrer dessus plus encore. Bras en l’air, il ne pouvait que subir, pourtant il ne devint bien vite qu’une grande boule de plaisir. Son sexe se raffermit, sa peau frissonna à son contact brûlant alors que l’eau gouttait encore de son corps. Il était loin à présent le mot perfection… Au diable l’humiliation, au diable la honte : « maitre, maitre ! Encore ! S’il vous plait ! Encore ! J’aime ! J’aime ce que vous faites ! » Le déshonneur lui collait la peau, le rouge de son propre dégout se répandait sur 23:24:22] * Edelweiss (suite) ses joues jusqu’à sa nuque. Mais il ne pouvait pas lutter. Au final oui, son maitre avait raison : il ne valait pas mieux qu’une pute…
Dernière édition par Naruse le Sam 27 Aoû - 19:21, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Sam 27 Aoû - 18:22 | |
| Attention Yaoi, hard, peu et va heurter la sensibilité des plus sensibles - SAYANEL/EDELWEISS: test de confiance part3:
Sayanel s'enfonce encore profondément et se libère peu de temps après Edel. Faitgué il posa sa tête sur le dos d'Edel et l'embrasse. Il le décoche de l'anneau et le regardant il s'inquiète ".... ça va ?"
[22:39:03] * Anaé // Edelweiss se laisse emporter par ce plaisir si intense, si subite, il n’était plus que bonheur, que sensation et le simple fait de sentir son maitre venir en lui suffit à briser sa dernière résistance. Libérant sa semence sur le tapis de la chambre, il frémit sous le contact de son seigneur… avant que son cœur ne s’emballe une nouvelle fois. Il s’inquiétait, il s’inquiétait pour lui ! La tête dans les nuages, heureux comme peu de gens en ce monde, l’hybride lui rendit un sourire d’enfant : « Oui ! Oui, maître ! » Il avait tenu, il n’avait pas céder, à aucun moment, mais cela avait-il suffit ? : »Vous ai-je satisfait, seigneur ? »
[22:40:35] * Gideon // sayanel le regard. Il fixe et plonge ses yeux profondémment dans ses yeux. "Tu peux te lever? Viens" il fait signe d'aller dans la salle de bain...
[22:43:03] // Edelweiss était courbaturés de partout, ses muscles tendues hurlaient de douleur et suppliaient de se reposer, mais l’oiseau les ignora. Les ordres de son seigneur étaient ultimes et une fois libre, il lui emboita le pas clopin-clopant. Mais une inquiétude sourde était toujours là. Son maitre n’en avait visiblement pas terminé avec lui, alors jusqu’où irait-il ?
[22:45:00] //Sayanel lui montre la baignoire "L'eau est froide mais au vu de tes blessures ça te fera beaucoup plus de bien que l'eau chaude. il lui fait signe d'y rentrer.
[22:50:52] // Edelweiss a un instant d’hésitation. Etait-ce pour son seul bien ? Ou s’agissait-il de la suite du teste ? De toute façon cela lui importait guère puisque le résultat en serait le même. Il s’approcha donc de la baignoire et y entra le premier pied… qui se crispa au contact de l’eau glacé. Retenant un geste de recul, il s’y enfonça plus profondément et y mit le deuxième en cachant sa réticence. Le toucher de l’eau sur ses blessures était brûlant, presque insupportable, mais son maitre n’en avait pas moins raison et il continua de s’y couler en serrant les dents. Une fois qu’il y fut totalement rentré, il avisa son maitre de ses grands yeux innocents pour attendre la prochains injonction.
//Sayanel va chercher quelque chose dans la commode de bain quand Edel a le dos tourner. Il revient vers lui. Prenant ses cheveux, le noble les attaches rapidemment afin de libérer le dos de son serviteur à sa vue. Les traces de fouets sont encore visibles. Sayanel se penche et utilise l’éponge qu’il est allé chercher pour l’imbiber d’eau et délicatement nettoyer le dos D’edel. Il a sourire nostalgique « ça me rappel de bosn souvenirs… »
[20:43:25] // Edelweiss frémit au toucher de son seigneur. Cela lui faisait mal, mais ce n’était guère étonnant. Baissant docilement la tête pour lui offrir une nuque et un dos dégagé, l’oiseau sourit en voyant son maitre faire de même. Son cœur se mit même à battre un peu plus vite. Il était tellement beau ! Il grimace un peu sous un coup un peu plus piquant que les autres, puis lui répond doucement en se remémorant ces doux instants, ses premiers jours auprès de lui lorsqu’il n’était qu’une petite chose sans importance : « Ah moi aussi maitre… »
// Sayanel continue. Il s’attarda sur les blessures qui font mal à Edel. Il avait étéextremement craquant lors de ce petit test…. Une véritable perle. Dans un instant de contemplation, il se laissa aller à ses récents souvenirs avant de se rappeler une chose : « Raconte moi ton expérience. »
[20:59:19]// Edelweiss ronronnerait presque si les blessures dont il souffrait ne lui faisait pas si mal. L’oiseau frissonnait, hoquetait parfois ou inspirait brusquement pour retenir un petit cri, puis attendait patiemment qu’il ait fini. Mais la reprise de son seigneur le laissa pantois. Une expérience ? « Quelle expérience ? »
//Sayanel Hausse les sourcils « ton test évidemment ! » Parfois Edel avait vraiment la mémoire de son apparence…
[21:06:53]// Edelweiss hésite, réfléchit, se mordille la lèvre, cherche les mots pour décrire ce qu’il a subit, pensé, ressentit : « Ça fait mal » réplique-t-il doucement « mais pas que physiquement… » Sa souffrance mentale avait même été pire qu’il n’aurait pu imaginer et le simple souvenir le rend d’ailleurs encore mal à l’aise.
// Sayanel vient embasser son cou. Il ferme les yeux « C’est normal, tu n’es pas censé éprouver du plaisir dans ses conditions… » … Il tût le fait que normalement, il auait dû continuer jusqu’à ce que sa vie ne soit plus qu’un fil fragile que son âme ne soit pas capable de soutenir. Malgré cette omnision il tente d’être le plus honnête possible, c’était le deal non ? « J’essayerai de ne aps te faire aussi mal physiquement à l’avenir. ». Ayant terminer avec le dos, il le somme de se retourner. De là, il recommence son nettoyage en commençant par le torse : « et tes blessures mentales ? Soit plus clair. » Parler était sans doute la première phase du rétablissement.
[21:23:05] * Edelweiss sent un poids se retirer de sa poitrine. C’était la dernière fois, la dernière fois qu’il souffrait ainsi. Tant mieux ! Par tous les dieux, merci ! Puis il se redressa, offrant avec délice le reste de son corps à son maitre. Il savoura un instant les yeux fermés ce moment derépit, mais la demande de son maitre le fit tressaillir. Il n’avait pas envie d’en parler, il voulait oublier cela, c’était horrible, c’était … mais c’était le sir Evelyne qui avait parlé. Inspirant profondément, l’oiseau reprit sans ouvrir les yeux : « Je…j’avais l’impression que je n’étais rien pour vous. Non, pire : que vous me méprisiez du plus profond de votre âme. » La gorge serrée, il respira un bref coup pour se donner du courage et ouvrit ses yeux brillant de désespoir pour les poser sur son idole : « J’avais honte de moi. J’étais, je suis, prêt à tout faire pour vous… » Il renifla une première fois alors qu’une larme coulait sur sa joue en revivant la blessure glaciale qui avait détruit son coeur : « mais même si je [21:23:18] * Edelweiss (suite) si je ne vaux rien, même si je sais que je n’ai rien le droit d’exiger de vous… je ne veux pas que vous me détestiez. S’il vous plait… » Parce qu’il y a quelques minutes, il le détestait non ? Pourquoi l’avoir insulté ? Pourquoi tant chercher à le briser ?
// Sayanel le regarda pleurer… Ah l’amour est tout ça, il avait toujours eu du mal à comprendre comment on pouvait pleurer pour ça. Il vient embrasser s alarme et le regarde. Sayanel l’emabrasse, lui –même ne comprend pas son geste. Tant pis, il n’avait pas besoin de s’expliquer envers Edel. « Ne crois aps tout ce qu’on te dit dans ces moments là. Le but est de te détruire. Je connais le moindre de tes points les lus sensibles, bien sûr que je peux te faire réagir peut importe ce que TU ressens. Tu m’appartiens Edel, et le jour où je penserai ce que je t’ai dans cette pièce crois moi tu le sauras. » Il pose un baiser sur sa joue. « Tu te souviens pourquoi on a fait tout ça ? » Pourquoi est-ce qu’il était si inquiet pur ce… son second ?
[21:36:58] * Edelweiss ne savait pas trop s’il devait se sentir soulagé, rassuré ou inquiet de ce que venait d’affirmer son maitre. Il n’avait compris qu’une chose, il devrait prier de tout son être pour que cela n’arrive jamais. S’abandonnant alors à son baiser, l’oiseau en aurait presque gémit sans en comprendre la raison. Il avait besoin de lui, besoin de ses bras, besoin d’être rassuré malgré tout, car il ne comprenait pas, non décidemment il ne comprenait pas pourquoi le seigneur Evelyne continuait toujours à s’embarrasser de lui. L’hybride, toujours attentif à son maitre avale difficilement sa salive. Il se fait sage exemplaire, avait-il touché la récompense finalement ? : « Oui… » murmure-t-il le souffle coupé.
// Sayanel le serre contre lui. Il se dirige dans le bain mais le lâche dès qu’il entre en contact avec l’eau : il avait oublié à quel point elle était froide. Voyant l’état de son oiseau il sourit. Edel était incorrigible. « Je te fais confiance mon Edel. Je ferai en sorte de ne pas te trahir et j’en attends de même pour toi… » Il fronce les sourcils. Si cet homme pensait un jour se défaire de lui… Merde ! Pourquoi devait-il avoir de l’affection pour quelqu’un ? Il reprend sson éponge et termine de s’occuper de son second. De là il se lève et va prendre une serviette. Il l’étend, faisant signe à edel de se lever.
[21:51:21] * Edelweiss est aux anges, un bonheur pur enivre tout son être. Au diable les courbatures, au diable ses brûlures, au diable tout le reste et l’eau glacée : il était dans les bras de son maitre. Mon dieu comme il était heureux ! L’espace d’un instant l’oiseau cru même que son cœur allait imploser, pire encore lorsque le seigneur Evelyne confirma par des mots sa promesse : « Je ne pourrais jamais vous trahir, mon seigneur, jamais… » cela lui était d’une telle évidence ! Docile, il se lève donc et sort de la baignoire pour se diriger vers son maitre. Il gouttait de partout, ses lèvres avaient doucement commencé à bleuir sous le froid et maintenant qu’il était sortit, Edel se rendait compte qu’il devait lutter pour ne pas claquer des dents. Mais il s’en fichait ! Oh comme il s’en fichait ! Imbécile heureux, l’oiseau ne se départissait pas de son sourire éblouissant. Un million de petits cœur papillonnaient presque autour de lui. Il était sur un nuage et sans conteste : le plus enchanté des hommes. Sayanel lui faisait confiance.
//Sayanel pouffa de rire en le voyant dans un tel état. Il l’essuya, lui parlant de la pluie et du beau temps. Puis fixant son regard dans le sien. Il resta un moment silencieu… visualisant la distance entre la salle de bain et le lit de la chambre : « Tu as encore assez de force pour te tenir à moi ? »
[22:00:27] * Edelweiss sourit de plus belle en voyant son maitre de si bonne humeur. S’il avait été un chien plutôt qu’un oiseau, sa queue aurait battu la cadence à toute allure, bien que pour l’instant elle restait plutôt inerte et un peu vexée d’avoir presque été tuée dans la glace. Lui rendant son air enchanté, l’hybride répondit par l’affirmative, et s’avança un peu pour lui faire un câlin : « On dirait que oui, vous m’avez donnez des ailes ce soir » murmura-t-il à on oreille.
//Sayanel regarde Edel réprimant son choc : quelle audace ! Il le sourit, le prend dans se sbars et le porte comme une princesse. Conscient de sa force, Sayanel ne traîne aps en chemin afin de déposer Edel sur le lit le plus vite possible. Aaaaah au moins il serait content. Il lui ébourille les cheveux : « je te brosserai les cheveux demain, je suis un peu fatigué là. ». se faufilant dans le lit il lui montre son bras valide afin qu’Edel se rapproche.
[22:11:58] * Edelweiss est surpris au plus haut point en se retrouvant dans les bras de son maitre. Que ? Ooooooh, c’était trop mignon ! Merci ! Merci ! Merci ! Tout sourire, emplit de bonheur, l’hybride ronronne sous la main de son seigneur… puis écarquille les yeux de stupeur. Il lui jette un regard indécis. Pour de vrai ? Vrai de vrai ? Il avait le droit ?! Un sourire indescriptible aux lèvres, Edel se pencha donc sous l’invitation de son maitre et se blottit contre lui : « Bonne nuit, maitre, je vous souhaite de beaux rêves »
//Sayanel le tape sur la tête. Donner leur un doigts ils vous bouffent le bras !! il sourit en regardant la réaction d’Edel : ce mec était drôle s’ne était hilarant. « Tu veux dormir ? »
[22:16:49] * Edelweiss se fait tout piteux, mais il ne comprenait plus, ne lui avait-il pas indiqué de prendre place auprès de lui ? Se reculant comme un petit animal prit en faute, l’oiseau baissa la tête sur les couvertures : « Je veux juste rester près de vous. Vous aviez dis que vous étiez fatigué et … vous voulez que je vous masse ? » Cela pourrait l’aider à s’endormir. Lui aussi était exténué, mais il se souciait bien peu de son propre cas, ce qu’il voulait avant tout, c’était le bonheur de son maitre.
//Sayanel lève lesyeux en l’air. Si Edel le massait il allait surtout s’endormir au milieu ! Il le serre contre lui et dépose un baiser sur son front. « Tu veux savoir quelque chose ? Exceptionnellement je répondrai à toutes tes questions. ». Il ferme les yeux, le serre contre lui mais agis comme si de rien n’était.
[22:25:46] * Edelweiss ouvre des yeux ronds et balbutie un peu. La question le prenait de cours, il y en avait tant qui se bousculait dans son esprit, tant qu’il n’avait osé poser de crainte de l’incommoder ou même pire… Il en avait le droit ? Il n’allait pas se fâcher ? Inspirant profondément, l’hybride se décide finalement sur celle qui tourmente le plus son esprit : « A quel point aimez-vous lady Lamia-Aelez, maitre ? » Les pensées de son seigneur se détournerait-il totalement de lui en faveur d’elle, un jour ? Il ne l’avoua pas, mais cette question lui avait provoqué mille angoisses.
// Sayanel le regarde choqué…. HEEIIIIIN ? « De quoi est-ce que tu parles ? » Qu’est-ce que Ismaire venez faire dans cette conversation ? Qui aimait qui, Lui, ismaire ? Edel parlait comme si c’était déjà le cas mais pour une fois Sayanel ne le suivait aps du tout. Il ne comprenait pas la question.
[22:32:58] * Edelweiss se dandine un instant sur le lit : « Hé bien … » il se racle la gorge : « Je n’avais jamais eu l’occasion de pouvoir vous prendre en bouche avant, vous … vous êtes souvent avec elle, les hommes la trouvent très séduisante » parce que lui était à mille lieux de se soucier du physique d’une femme quasi inconnue « et elle est elle-même très entreprenante. Et puis … vous avez eu des relations avec elle, n’est-ce pas ? »
// Sayanel lâche sans réfléchir « j’ai des relations avec beaucoup de gens pourtant pas tous…. » il souffle. Non effectivement, Ismaire était différente. Elle était…. Mais amoureux ? Elle le boufferait à la moindre occasion avant de couper sa virilité et de la distribuer en morceau aux corbeaux ! « Disons qu’on est très loin de ce stade elle est moi. ». L’Amour, l’amour, s’il avait un jour aimé quelqu’un alors sans doute aurait-il su répondre à cette question.
[22:39:50] * Edelweiss hoche la tête, un peu rassuré. Il aurait – peut-être – un peu plus l’esprit tranquille maintenant. Puis, continuant dans sa lancé, il reprend : « A qui d’autres faites-vous confiance maitre ? » /me //Sayanel répond au tact au tac, « Personne. » Celle là était facile. « Enfin un peu à Loinwhite. Il m’a appris beaucoup de chose. » confiance n’était aps dans on vacobulaire d’ordinaire [20:54:37] * Khalys // Edelweiss est soufflé par la réponse et reste un instant coi… avant qu’un autre bonheur indicible ne s’empare de lui et fasse battre son cœur tellement vite que le rouge lui en monte aux joues, pour finalement se terminer par un sourire d’enfant comblé. Mais s’il avait mis temps de temps à faire confiance à l’hybride alors … : « Pourquoi m’avoir choisi ce jour là ? Pourquoi moi, parmi tous ces autres esclaves ? Pourquoi m’attacher auprès de vous alors que les autres que vous aviez pris… » Il ne savait même pas ce qu’ils étaient devenus. Mais ce pourquoi l’avait tellement intrigué.
Sayanel sourit en le regardant, on aurait dit un enfant. Il pose le dos de sa main sur sa joue. Il le regarde, pourquoi l’avait-il choisi ?.... A Part le fait qu’il était beau ? Sayanel lui répondit le plus sincèrement possible « parce que de tous, tu es le seul que j’ai VU. » le seul qui avait capté son attention en un coup d’œil et le seul qu’il avait eu envie de garder. Comment expliquer ce besoin irrépressible de possession ? C’était dans sa nature et il n’avait jamais eu besoin d’expliquer sa nature : « tu étais, es, se corrigea t-il…. Magnifique. Tu trembler et tu ne regardais rien autour, tes yeux étaient si vides… » Ce n’était pas ni la compassion ni la pitié qui l’avait frappé mais bien l’assurrance que cet enfant un jour lui appartiendrait corps et âme. Il haussa les épaules en le regardant. « Tu pense ssouvent à ton passé d’esclave ? »
[21:22:59] * Khalys Edelweiss écoute attentivement, il n’était pas sûr de tout comprendre, mais tout comme la voix des dieux n’était pas accessible aux hommes, celle du seigneur Evelyne lui était parfois incompréhensible. Cela ne l’empêche pourtant pas de l’accepter comme tel, se gonflant même un petit peu d’orgueil pour avoir réussi à capter l’attention de son maitre une fraction de seconde suffisante pour l’intéresser. Puis il secoua doucement la tête en baissant le nez sur ses draps : « Non. Je … je n’aime pas trop y penser, et c’était tout le temps la même chose, ou presque. » A cet époque, il n’était qu’une chose. Un jouet pervers pour satisfaire des envies encore plus retorses. Le souvenir le fit frémir et il se force à songer à autre chose. Il était sauvé. Son seigneur l’avait sauvé, c’était tout ce qui comptait.
Sayanel vient le serrer contre lui. Ah, Edel tremblant, pleurant et suppliant…. Les connards avaient dû s’amuser ! Ah, par chance il avait su leur arracher ce bijou il pouvait vraiment en être fier ! il vient déposer un bisous sur sa joue « arrête de pleurer, tu es là maintenant alors finalement ce n’est aps si mal ! Pourquoi étais-tu esclave ? qui t’as vendu ? » il ne s’était jamais posé la question !
[21:33:25] * Khalys Edelweiss sent son cœur s’accéléré instinctivement. C’était plus fort que lui, jamais il ne s’habituerait au contact fantastique de son maitre vénéré : « Je ne pouvais espérer meilleure situation, seigneur. » Renchérit-il au comble du bonheur. Mais la question, suivante le fait se pincer les lèvres. Là non plus ce n’était pas un bon souvenir : « Mon père. » Lâche-t-il dans un murmure : « Il n’a pas aimé voir mes ailes… » et déjà qu’il ne l’aimait pas beaucoup…
/Sayanel hoche la tête. Peut-être qu’une visite familiale était de rigueur ? « Tu as des frères et sœurs ? Tu n’as jamais penser à te venger d’eux ? » dans l’enthousiasme il avait posé ses questions un peu rapidement… Avec un peu de chance Edel ne ferait pas le reprochement.
[21:45:58] * Khalys // Edelweiss regarde son maitre un peu interloqué. Se venger ? « Non, pourquoi faire ? » Ils ne l’en accepteraient, ni l’aimeraient plus de toute manière : « J’ai huit frères et sœurs » finit-il par dire : « Mais ma mère est morte. »
Sayael lève les yeux. Pourquoi ? Feu, pleur et sang ça ne lui parlait pas ? Morte ? Ah un de moins déjà. Bah de toute façon s’il ne souhaitait pas se venger ce n’était pas la peine d’y penser. « ça ne devait pas être marrant. Tu t’e stransformer à quel âge ? »
[21:55:10] * Khalys // Edelweiss se pince les lèvres : « Non, ce n’était pas très marrant. Nous étions déjà beaucoup et ma naissance n’était pas désirée alors… » Il haussa les épaules : « Ils ne m’aimaient pas beaucoup, mais c’était un mal pour un bien ! » Continue-t-il en souriant. Car en étant maltraité avec eux, la vie lui avait offert un autre chemin, un chemin qui l’avait poussé dans les bras de son seigneur et rien que pour cela, il ne regrettait rien. Ni ses tortures, ni ses souffrances. Il se met alors à réfléchir et compte sur ses doigts en se remémorant ses années glaçantes : « Je ne suis pas sûr, mais je crois que j’avais cinq ans ».
Sayanel hoche la tête. Il souffle… et se demande s’il soit dire quelque chose gentil ou pas. Histoire de ne pas voir son oiseau sombrer dans de mauvaises pensées… Et puis non. Une relation de confiance voulait dire qu’il devait aussi le comprendre. Et il doutait qu’il existait quelqu’un qui le comprenait aussi bien (quoique il y a avait cete connasse… elle lui ressemblait beaucoup). « ça me rappel ma mère ? tu sais pourquoi les gens sont bêtes ? ».
[22:01:50] * Khalys // Edelweiss pose son regard sur son idole et le contemple silencieusement : « Non » dit-il en secouant doucement la tête. Et il était bien curieux de le savoir.
//Sayanel lui caresse les cheveux en parlant « parce qu’ils ont besoin qu’on leur dise comment vivre. Ma mère était une idiote qui pensait que vivre c’était aimer ou être aimé. Tes parents suivent les règles régie par un dictateur plutôt que de penser par eux-même. As-t-on avis pourquoi interdisons votre existence ? »
Dernière édition par Naruse le Sam 27 Aoû - 19:20, édité 2 fois |
| | | Naruse Êtres magiques
Emploi ou situation : Vagabonde Localisation : Torcken est un lieud d'aventures et d'audelà!
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Sam 27 Aoû - 19:15 | |
| Attention (non celui est juste une discussion, très soft donc) mais il n'y a aps la fin donc ne prenez aps le seum en arrivant vous êtes prévénus ;p - SAYANEL/EDELWEISS: petit guide sur la domination :
[22:13:17] // Edelweiss aurait pu ronronner de plaisir, tout oublier, s’oublier lui-même sous la caresse de son seigneur, mais le sujet était important et le petit oiseau se força à se concentrer : « Parce que la magie peut-être dangereuse ? Elle a tué beaucoup de monde alors le roi prend des précautions ? » L’hybride releva les yeux, espérant ne pas décevoir son maitre tandis qu’au fond de lui, il percevait une réponse plus fine, plus précise et surtout plus intelligente.
Sayanel éclate de rire « Si la famille royale était les magiciens les plus puissants penses-tu qu’ils auraient condamnés la magie ? Oh un roi dans une bonté temporaire peut-être, mais tous ceux qui ont la tête sur les épaules non. Le principe du pouvoir Edel, c’est le contrôle. Tant que tu contôles une personne tu as autant de pouvoir sur elle que tu peux le désirer. Afin de contrôler le peuple il faut être capable de se position en membre dominant. La magie n’est aps comme le sang. Une famille ne peut-être entièrement doté de dons extraordinaire. Le pouvoir royal devient alors bancale et faible. Les gens sont bêtes, ils sont persuadés que toutes ces histoires à la cours ne les concernent aps. Que tant qu’ils paient leur dîme tout ira bien. La vériter, c’est qu’il suffit de pas grand-chose pour que le système entier soit renverser. » Il chaos, l’anarchie étaient des sujets passionnants ! La destructions était une obsession pour les gens comme lui toutefois un détail l’empêchait de se ranger de ce côté. « Le tout est de savoir jusque quel point tu veux être contrôlé. » pour savoir jusqu’où tu veux te libérer.
[22:42:04] / Edelweiss répond instinctivement : « Je ne veux pas être libéré de vous. » et presque immédiatement se mord la lèvre, ce n’était pas du tout le sujet ! Ses joues rougirent brutalement en se rendant compte de sa bêtise et il revint rapidement au thème plus sérieux en demandant : « Et vous, jusqu’à quel point voulez-vous les autres sous votre contrôle ? Qu’est-ce que cela vous apporte ? Maitre, voulez-vous… prendre la place du roi ? »
Sayanel regarde le débordement d’Edel avec surprise. Il ne s’attendait pas à la réaction mais elle lui plaisait bien. Beau coup même. Dès que ce dernier a fini de parler, il vient l’embrasser avidemment. Collant son corps contre le sien. « Je n’aime ni l’idée qu’on me contrôle, ni l’idée qu’on puisse en avoir envie ou qu’on puisse penser en avoir. Cependant. » Il s’arrête et continue d’embrasser Edel avec passion et insistance : voyons s’il parvenait quand même à retenir toutes les informations ? Parviendrait-il à réfléchir « Il faudrait être idiot pour vouloir devenir roi, c’est une place beaucoup trop exposée… » il embrasse son cou, mordille so torse tout en caressant son corps du bout des doigts. « A ton avis qu’est-ce que ça m’apporte de laisser les autres contrôler une part de ta vie ? »
// Edelweiss devait bien se l’avouer, dès que les lèvres de son seigneur touchèrent les siennes, il perdit un peu le fil de la conversation. Oh, cela ne le dérangeait pourtant pas le moins du monde, c’était même tout l’inverse ! Il nageait dans le bonheur ! Et ses mains, ses mains ! Le cœur de l’oiseau s’était mis à battre tellement vite qu’à n’en plus douter, le seigneur Evelyne ne pouvait l’ignorer. Etait-ce pour cela qu’il jouait subitement avec son corps ? Bah ! Qu’il fasse donc ce qu’il veut, il était tout à lui ! Gargouillant de plaisir lorsque les dents du maitre vinrent le titiller, il papillonna subitement des yeux pour essayer de se remémorer la question : « Euh… » Lâche-t-il plein d’éloquence : « Vous… » Ah ! Mais comment pouvait-il se concentrer s’il le touchait ainsi ?! « Cela vous permet de leur donner l’illusion qu’ils veulent, pour gagner plus de pouvoir encore ?
Sayanel le regarde amusé et impressionné. Il sourit et pour le féliciter vient l’embrasser tendrement « oui, cela permet également de gagner du terrain sur d’autre domaine le temps de trouver une solution. L’idéale est d’atteindre une position nécessaire est indispensable. Que ta mort leur sois aussi peu profitable que ton vivant. Tu comprends ? » Il recommence, et sentant son propre désir monté il serrer son cœur contre le sien.
// Edelweiss hoche doucement la tête : « Je pense, je crois, oui… » Mais son esprit est parti bien plus loin, dans des contrées bien plus simples et velouteuses que ces oppositions nobles et politique. L’hybride venait de plonger dans un monde parfait d’amour ou s’entremêlait le désir et la plus pure fidélité. Le corps chaud de son seigneur blottit contre le sien ne l’aidait d’ailleurs guère à s’en sortir et timidement, il finit lui aussi par enlacer son maitre adoré. Prenant ainsi son courage à deux mains, il approfondit le baiser et va jusqu’à l’allonger tendrement sur les soyeuses couvertures de son lit. Au diable la fatigue, au diable les courbatures, il pouvait pousser les limites de son corps jusqu’à la mort si cela lui permettait de l’avoir un peu plus rien que pour lui.
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| | | Ewald Conseiller du roi
Emploi ou situation : Conseiller du roi / Dirigeant de la rébellion
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Sam 27 Aoû - 19:31 | |
| Rpcb Ekar/Aden (dites vous qu'à partir du moment où il y a Aden... ça part en couilles! Et ce n'est pas un jeu de mot) - Yaoi:
Aden lui jette un regard dédaigneux. Il était désolé ? Qu’est-ce qu’il en avait à faire qu’il était désolé ? Si son but était de le blesser, les excuses ne servaient à rien ! C’était pathétique ! Mais cela l’avait néanmoins aidé à prendre sa décision : il allait le bouffer ! Il allait dépecer ce gamin incapable d’assumer ses actes ! Ses projets furent néanmoins bousculés par l’intervention d’Ekar qui – le prenant une nouvelle fois par surprise – lui impose de nouveau la douleur. Il retient à peine un glapissement de souffrance où une pointe de plaisir se fait entendre. Pourtant le vampire refuse de céder, se redressant sur son séant, il toise son amant et le défi du regard : «Tu veux recommencer ? Tu crois que ça va suffire à me faire céder ? Il faudra plus que quelques flammes pour te donner à accès à mon corps ! » Et bouffi d’orgueil, Aden n’esquisse pas le moindre geste pour échapper au contact brûlant d’Ekar.
Akané // Ekar ne soutient le regard d'Adden à grande peine. Pourtant il sentait dans ses tripes qu'il avait intérêt de continuer, d'essayer, de lui montrer ce qu'il valait. C'est donc lorsque ses paumes étaient bien chaudes et rouges qu'il en appliqua une au coeur et l'autre à la gorge. Il serra ses doigts autour de celle-ci avec un cri pour se donner du courage.
/Aden voit les mains du garçon devenir incandescentes … et se dit un instant qu’il a peut-être fait une bourde. Mais il est trop tard pour reculer, trop tard pour admettre son erreur et il bande sa volonté en serrant les dents. Qu’il vienne ! Et c’est ce qu’il fait. Les paumes d’Ekar rejoignent sans surprise l’emplacement déjà entamé et … attend, pourquoi il n’en dirigeait qu’une sur deux ? La stupeur n’a guère le temps de se peindre sur le visage du vampire. Son regard surpris croise celui déterminé du jeune homme, puis tout disparait autour de lui. Sa poitrine est en feu (au sens littéral du terme cette fois), sa respiration est difficile, l’odeur insoutenable et sa gorge, sa gorge … Il ouvrait la bouche pour hurler sans qu’aucun son n’en sorte, chaque fibre hurlait sa souffrance alors que son propre sexe se durcissait sans qu’il ne s’en rende compte. Il avait mal, très mal. Ses pupilles se dilatent, il ouvre grand les yeux et plonge dans ceux d’Ekar. La tête lui tournait, sa mâchoire se crispe, le sang battait furieusement à ses tempes, puis de nouveau tout tangue. Aden lutte pourtant désespérément, ayant le vain espoir ou la vaine certitude que le gamin allait céder le premier. C’est du moins ce qu’il se disait au moment même où son corps commença à choir sur le lit, sans force. Vaincu.
Akané // Ekar sourit, content que ça fonctionne, content de le voir résister, et sentir sous lui le sexe de son ami se tendre. Lorsqu'il le sent s'affaisser, il se penche sur lui cesse de se concentrer, laissant seulement ses mains déverser leur reste d'energie. "Finalement, je t'ai mon cher Aden." Il l'embrasse, sur la joue, sur les lèvres avant de lui tapoter la joue en espérant qu'il ne s'était pas évanoui... Il se surprend à avoir ouvert ses cuisses de l'autre, bandant. Se pinçant les lèvres, il rapprocha ses hanches et entra en lui, la gorge serrée. C'était peut-etre la dernière fois qu'il allait faire l'amour. Apres cela, Aden le tuerait ou le torturerait jusqu'à plus soif avant de le castrer et de l'envoyer en pièce détaché au prince. Pourtant il s'enfonça en lui avec douceur et un... certain désir. un desir de fou sans nul doute.
Aden n’en pouvait plus, son corps avait lâché et il luttait contre la fureur des flammes qui semblaient être rentrée jusqu’au plus profond de son être. Sa gorge réussit finalement à émettre un râle partagé entre l’agonie et le plaisir, incapable de prononcer le moindre mot cohérent, il parvint cependant à rouvrir les yeux en sentant la main d’Ekar tapoter son visage. Il l’avait ? Comment ça il l’avait ?! NON ! NON DE ! AH l’enfoiré ! Il grogna, tenta de bouger sans que le moindre muscle n’obéisse, voyant avec horreur ses propres cuisses s’ouvrirent pour faciliter le passage du jeune homme. Il avait encore une chance, encore la possibilité de le tuer. Il leva faiblement la main, tenta de frapper Ekar pour le faire reculer, mais elle était tout aussi costaude que le reste de son corps entrain – lui semblait-il – de tourner dans tous les sens et son coup ressembla plutôt à une légère caresse. Puis il le sentit. Le sexe de son amant avait franchit la barrière interdite. Aden ouvrit des yeux immenses sous le coup de la surprise en percevant sa peau s’écarter pour laisser le passage. Il se cambra alors sentant le phallus d’un autre découvrir une intimité qu’il n’avait jamais offerte auparavant. La sensation lui échappait, la douleur de cette entrée inacceptable était par contre, autrement plus savoureuse pour son corps pourtant non préparé. Le monde avait cessé de danser autour de lui, il se sentait toujours trop faible pour agir, mais ses yeux brûlant de haine et d’un plaisir incontestés se posèrent sur Ekar. Il le tuerait probablement, ses pensées étaient encore trop brouillonnent pour qu’il sache comment, mais il le ferait… Et quelle honte, son propre pénis avait la dureté de la pierre : la sodomie, si son esprit se révoltait, son corps la réclamait.
Akané // Ekar prend la main d'Aden qui essaie de le caresser ou de le frapper, affrontant sont regard enigmatique. Il continue des va et vient doux, embrassant sa peau sensible, la caressant - tout en évitant les endroits brûlés. Il attire la tête d'Aden à lui et l'embrasse, avec pudeur d'abord, puis plus passionnnément, continuant de le posséder ^^
Aden rejette la tête en arrière, la mâchoire crispée, les dents serrées. Des grognements profonds surgissent de sa gorge blessée. Il ne savait plus que faire, il en voulait à mort à cet impertinent, il voulait le dépecer et faire de lui un jouet sanglant qui regretterait son geste jusqu’à la fin de ses courts jours… mais son corps tressautait de plaisir à chacun des lents coups de reins de son partenaire. Le vampire ne pouvait ignorer le corps étranger qui le transperçait, qui s’enfonçait profondément en lui en éprouvant sa sensibilité exacerbé. Et lorsqu’Ekar se pencha sur lui, le noble était prêt à laisser aller toute sa fureur… Leurs lèvres se touchèrent, se joignirent et Aden l’embrassa avec ferveur, son propre corps réagissant à l’exact opposé de son esprit tandis que ses jambes enveloppèrent les hanches du jeune homme. Encore !
Akané // Ekar l'embrasse langoureusement, répondant au désir d'Aden avec plus de passion maintenant, s'avisant à faire des va et vien plus rapide. "Aden..." Il l'embrasse une nouvelle fois, à défaut de pouvoir lui déposer des baiser dans le cou.
Aden grogne, halète, pose son regard sur son amant, évitant soigneusement d’aviser ses propres jambes écartées qui n’ont pas le moindre désir de le repousser. Il gémit, glapit, non ! Non pas déjà ! Ça ne pouvait pas se passer comme ça, il ne pouvait jouir aussi rapidement, pas dans cette position ! Et pourtant, pourtant le plaisir mêlé à la douleur montait inlassablement, inexorablement. Il cria en tâchant de se retenir, chercha un repère pour reprendre pied alors que l’extase l’emportait, sa main s’agrippa à quelque chose, des cheveux lui semblait-il, puis se fut la libération et il lui sembla imploser. Un liquide chaud se répandit entre les deux amants avant que le vampire ne comprenne qu’il n’en était l’origine. L’humiliation était à son comble, et pourtant quelle délivrance !
Akané // Ekar sourit, l'accompagne dans sa jouissance et vient doucemnet l'embrasser. Lui, il n'en avait pas encore fini. Il continue, venant mordre son épaule, venant lécher sses mamelons, frolant parfois malgrés lui la blessure béhante. Libéré de la peur, il accélère encore, agrippant sa taille.
Aden ahane, sa peau se hérisse au moindre frôlement, ressentant tout et plus encore. C’était impossible, impossible ! Cette voix gémissante, presque suppliante ne pouvait pas être la sienne ! Il grogne lorsque le jeune homme le mord, se tortille sous ses caresses, ferme les yeux en suivant ses gestes et agrippe les draps en sentant la cadence augmenter. C’était bon ! Encore ! Plus ! : »Ekar… je … vais te … tuer ! » Halète-t-il difficilement. Sa respiration se raccourcit, se fait plus laborieuse, mais pas à cause de la douleur…
Akané // Ekar a la gorge qui se sert, il ralentit un peu, ses paroles l'ayant glacé le sang. "Je... Je m'doute..." Mais il pensait être sorti d'affaire. Il ne comprenait plus trop, il aimait, ou il n'aimait pas ? Ekar continue encore mais sent que ses efforts ne servent plus à rien. Il ne jouirait pas.. C'était trop bête ! Le plaisir ressentit lui arrache cependant quelques derniers gémissement afin qu'il ne s'allonge sur Aden pour l'embrasser et sortir de lui...
Aden serre ses doigts plus forts sur les draps, non de dieu ! Il allait s’étouffer de plaisir ou quoi ?! Mais peu à peu le rythme ralentit et le vampire reprend doucement et péniblement sa respiration alors que le pénis sort de lui en lui tirant un dernier gémissement. Il fixe le plafond tandis que son souffle lutte contre les brûlures de sa gorge pour reconquérir une allure correcte. Il reste ainsi de longues secondes, puis sans vraiment s’en rendre compte, ses bras se soulèvent et enlacent le jeune homme, remontant son visage pour l’embrasser langoureusement. En cet instant, ses pensées n’avaient plus lieu d’être, il n’était qu’un corps épuisé par l’orgasme.
Akané // Ekar reste allongé sur lui, dans ses bras, sous baiser toride auquel il répond. S'efforçant de ne pas réfléchir, se blottit dans ses bras, et attend, patiente qu'Ade reprenne totalement ses esprits. Il pose sa tête contre son épaule et laisse ses yeux dérivés sur la pièce qu'il n'avait pas eu le temps de détailler.
Aden laisse ses lèvres quitter celles d’Ekar, presque à regret, ses mains caressant doucement son dos, ignorant le poids du garçon qui ravive parfois la douleur de ses blessures. Il était posé, fatigué, mais se sentait étrangement bien. Puis la réalité frappe de nouveau le vampire et il bascule son amant sur le côté pour le fixer d’un air mortel. Sa main s’empare de sa gorge, serre progressivement, puis la relâche d’un coup : « Putain ! Je t’en avais pas cru capable ! » Et il se laisse de nouveau choir sur le lit, grimaçant sous l’effort que cela lui avait demandé.
Akané // Ekar le laisse faire détournant le regard. La peur lui saisissant le ventre et la gorge. Mais son corps se détend soudain. Avant même qu'il n'est compris ce qu'il se passait : Aden ne voulait pas se venger ? Il se redresse et le regarde d'un dubitatif.
* Aden lui jette un coup d'oeil bref, puis revient croiser son regard: "Quoi?" demande-t-il en interrogateur blasé
* Akané // Ekar vient se blottir contre lui. "J'ai bien cru... que tu me tuerais cette fois." Il pouffe, riant jaune.
Aden caresse doucement ses cheveux, tire légèrement dessus pour le forcer à monter son regard vers lui. Il plonge ses yeux dans les siens, inspirent longuement, puis répond: "Ce n'est pas l'envie qui ma manqué ..." Nouveau soupir: "Mais tu as profité de l'avantage que je t'ai offert... et tu as gagné" Le constat lui tira une grimace, ou peut-être était-ce la douleur de sa gorge ? "Dans tous les cas, je te montrerai à quel point tu es faible les prochaines fois que je te passerai dessus ...."
Akané // Ekar fait un petit sourire, se sentant frissonner par cette promesse, il pose la tête sur son épaule. "J'espère bien."
Aden reste un instant immobile, puis grogne. C’est que le gamin l’avait brûlé fort ! Inspirant de nouveau pour regrouper ses forces, il reprit d’une voix rauque provoquée par les flammes : « Va au meuble là-bas » lui indiqua-t-il : « Tu trouveras une fiole verte dans le deuxième tiroir, prend là et ramène là ici ».
Akané // Ekar se lève et va jusqu'au meuble Il ouvre le tiroir et écarquille les yeux devant la quantité de fiole et de boites en bois. "C'est quoi tout ça ?" fait-il en cherchant des yeux.
Aden grogne : « Contente toi de ramener la fiole verte un peu transparente » réplique-t-il en tendant le bras dans sa direction en un geste évident pour qu’il se dépêche.
Akané // Ekar prend la fiole et la brandit tout en refermant le tirroir. "Celle-ci ?" Il revient sur le lit et se met s'asseoit sur Aden. "Tu la veux vraiment ?" Il la lève au-dessus de sa tête, joueur. [/b] Aden jette un coup d’œil au garçon, acquiesce et tend le bras dans sa direction pour s’en emparer avant de voir avec surprise la petite bouteille s’éloigner. Il fronce les sourcils et regarde le garçon trônant sur lui. Un instant leur regard se croise s’affronte, puis le vampire se met vivement en mouvement, se redressant sur son séant pour tenter de s’en saisir d’un geste brusque.
Akané // Ekar la lâche avant qu'Aden ne lui prenne des mains, elle tombe dans son autre. "Tu ne veux pas que je t'aide ?" demande-t-il.
Aden regarde Ekar avec surprise, peu habitué à ce qu’on lui propose de l’aide de façon spontané : « Si, si tu veux… appliques-en en priorité sur la gorge. » dit-il en se rallongeant tranquillement.
Akané // Ekar ouvre la fiole et sent le contenu. Il grimace : "J'en met sur mes mains ou directement sur ta peau ?"
Aden essaie de rester stoïque face à Ekar, mais un sourire lui échappe en le voyant grimacer : « Tu en mets sur les brûlures et tu fais rentrer le produit au maximum. C’est destiné à apaiser … et à guérir. » La marque n’allait pas disparaitre dans les heures qui venait, certes, cela mettrait même probablement plus d’une semaine avant de s’envoler, mais c’était mieux qu’être marqué à vie.
* Akané // Ekar imbibe sa main et l'applique doucement sur la blessure, se pinçant les lèvres de devoir faire mal à Aden "pour son bien". XD
Aden se crispe sous la main d’Ekar, mais ne dit rien. Il avait au moins découvert une chose, la douleur des flammes n’était pas ce qu’il y avait de plus excitant. Le vampire serre donc le temps, mais ne tarde pas à sentir le liquide agir. Au moins pourrait-il parler plus librement à présent !
Akané // Ekar s'applique, faisant une tête sérieuse -inhabituelle chez lui. Il continue en descendant sur son torse. "Tu... je n'avais jamais attaqué quelqu'un avant... ça ne sent pas très bon... la chair brûlée."
Aden grimace alors qu’un morceau de sa chair à vif est un peu plus sensible que les autres : « Je n’avais jamais été brûlé non plus… mais sa fouette carrément ! » Pourtant, le vampire se détend doucement, maintenant que le produit faisait tranquillement effet, il se sentait mieux : « A quoi te servait ton pouvoir alors, si ce n’était pas pour tuer ? »
Akané // Ekar se pince les lèvres. Il a encore gaffé. Mais c'était devant Aden, alors... "Si, si, c'était pour tuer, dit-il tranquillement, mais en fait, c'était pour ouvrir des serrures, ce genre de choses..."
Aden fronce les sourcils : « C’était pour tuer … mais pas pour tuer ? Tu développes ? »
Akané lui jette un coup d'oeil, un peu soulagé qu'Aden n'est pas compris. "Disons que ça l'était. C'es tout."
Aden fronce les sourcils, prend la fiole des mains et la pose à côté du lit : « Que caches-tu ? »
Akané // Ekar se pince les lèvres. "C'est juste que... on devait souvent rentrer chez des gens et voler des choses, tu vois ? Je faisais fondre les serrures et les coffres."
Aden hausse un sourcil : « Oh ! Tu étais un voleur ? » Mais sitôt qu’il a refermé la bouche, le vampire reprend, presque incrédule : « Akané aussi ? »
Akané // Ekar secoue la tête. "Non, on volait parfois des documents, mais on était miliciens. Tu sais, on se faisait payer pour diverses choses..." Ekar évitait soigneusement son regard.
Aden soupire, laisse courir ses doigts sur le torse marqué du garçon, puis reprend à voix basse : « Dois-je me fâcher Ekar ? Je suis peut-être un connard, mais je ne me mêle pas de politique, je n’irais pas tout raconter au premier venu dès que je serais sorti…. Alors que caches-tu ? Que ne veux-tu pas avouer ? »
Akané // Ekar frisonne, il ferme la bouteil et la laisse rouler près d'eux. "Je ne peux pas le dire. J'ai promis de ne pas le dire. Je fais suffisament de gaffe comme ça..." Il détourne les yeux. "Je ne veux pas jouer avec ça."
/me //Aden hausse un sourcil, hausse les épaules autant que cela est possible en étant allongé sur un lit, puis reprend : « Alors fait moi oublier ma question… »
Akané // Ekar baisse la tête, se penche vers lui. Il n'en avait pas vraiment envie mais il passa les mains sur sont torse et vint l'embrasser avec un sourire narquois."A vos ordres, mon seigneur."
Aden ferme les yeux, laissant les lèvres du garçon se joindre aux siennes. Après de telles parties de jambes en l’air, il n’était pas sûr d’être de nouveau paré à l’acte, mais il s’abstint de commentaire puisque pour l’instant tout cela lui allait très bien.
Akané // EKar l'embrasse, la gorge un peu serré de mettre en danger la réputation du prince. Rien que d'être avec Aden déjà... Il secoue la tête. Il devait satisfaire les désirs d'Aden. Il l'embrassa, passant sa langue contre la sienne, passant ses mains doucement sur sa peau tout en s'allongeant sur lui.
/me // Aden répond au baiser, appréciant son savoir-faire, mais finit par l’interrompre en posant son doigt sur le front du garçon : « Arrête. » Sa voix avait sonné comme une injonction, et c’en était une : « T’es pas dedans là. » Il se redresse, puis grimace en sentant ses muscles encore endoloris et son fessier un peu à vif : « Tu peux partir si tu veux, après tout j’ai déjà eu ce que je veux… » Mettre des bâtons dans les roues àsa relation sérieuses : « Je reviendrai te voir quand j’en aurai de nouveau envie… »
Akané // Ekar baisse la tête et lui donne un léger baisé. "Tu sais où me trouver de toute manière..." Il cherche une horloge du regard et fronce les sourcils - essayant de se rappeler comment ça se lit. Il saut soudain sur ses pieds. "Ho mon dieu ! Je suis en retard !" Il se lève et... "Ha... Je peux t'emprunter des vêtements !"
/me // Aden croise ses bras derrière sa tête, le jauge du regard un moment avec le souhait de le lui interdire… avant de se dire que cela pourrait être pas mal que sa relation sérieuse tombe dessus. Sait-on jamais ? Et puis le prince le prendrait surement mal et le vampire tenait à rester un minimum dans ses papiers : « Sers-toi » répond-t-il finalement.
Akané // Ekar lui demande dans quel meuble, puis prend rapidement de quoi s'habiller. Il sort de la chambre et, en ouvrant la porte, une chape de plomb descend suer ses épaules. Il avait trahi Gideon, il était en retard à son entraînement, il n'avait même pas pris le temps de manger ! Il court dans les couloirs du château, jusqu'à sa chambre. Il a celle d'Akané. Personne. Le prince allait lui passer un savon !!
Aden prend complètement son pied, il savait parfaitement ce que sentait le garçon et s'en amusait au plus au point! Puis désirant changer, il retourner le jeuen homme sur le dos, l'enlace dans ses bras et le prend de nouveau en sentant clairement le membre durçit du jeune homme frotter contre ses abdos. La sensation était loin de lui être désagréable
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| | | Ewald Conseiller du roi
Emploi ou situation : Conseiller du roi / Dirigeant de la rébellion
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Sam 27 Aoû - 19:52 | |
| Aden/Ekar encore une fois. L'ordre est rétablit ^^ - Un pouet SM:
Aden fronce les sourcils, réfléchit, sur que cela devait lui parler puis . Aaaaah! Oui! C'était lui! Surpris, il profite à peine du baiser: "Tu n'as jamais pris totalement ton pied avant moi?" Il sourit: "Ouais, c'est assez flatteur, j'aime bien l'idée..."
Ekar le regarde surpris et fronce les sourcils. "Ha... c'est vrai que tu... j'aime bien que..." bafouille-il avant de reprendre l'air de rien : "Il m'a... torturé salement mais j'ai pris du plaisir aussi..." Il vientnse coller contre aden. "Qu'as-tu prevu ?"
Aden le regarde : "Il y en a eu un avant? Pourquoi t'a-t-il torturé?" Il se met alors à caresser machinalement l'épaule d'Ekar, puis hausse les siennes: "Je ne sais pas encore, tu es tenté par quelque chose?"
Ekar acquiesce, puis detourne les yeux a la seconde question. "Je n'ai rien envie... je... je croyais que tu choisissais pour moi..." Et pourtant aden se montrait doux et de plus en plus sympatique. Tout le contraire de ce qu'il lui avait promis. Et... il avait honte de l'avouer, mais il aurait voulu etre a nouveau enchainé, a sa merci !
* Aden sourit en voyant le garçon fuir devant son regard: "Menteur! Tu es un piètre menteur...." il prit son menton dans ses doigts et le contraignit à le regarder "Avoue ce que tu veux vraiment..."
Ekar frissonne, essaie de se redresser et fuir son regard. Mais il avait peur de le mettre en colère. "Je... je veux... que tu... t'occupes de moi."
Aden plisse les yeux : "Vraiment?" Ses doigts glissèrent sur sa joue, frôlère son torse et il sortit un petit bout de langue pour se lècher les lèvres avec appétit: "Comment? Comment aimes-tu que je m'occupes de toi?"
Ekar lève les yeux vers lui, secoue lentement la tête. Il ne voulait pas... "Soumets... moi..." Sa gorge se serre à l'ecoute de ses propres paroles. Qu'est-ce qui lui prenait ?
Aden sourit, l'embrassant doucement : "Bien, tu es un brave garçon..." Il se lève de son lit et lui indique alors le sol de la chambre: "A genoux, jambe écarté que je te vois dans toute ta splendeur..."
Ekar a l'impression que sa respiration se bloque mais il se redresse et descend du lit a son tour. Il passe devant aden sans oser le regarder en face et s'agenouille comme demandé, allant meme s'appuyer sur ses mains. Il baisse la tete, la redresse, se demandanr ce qu'il est en train de faire !
Aden le toise, debout, face à lui et exige: "Redis ce que tu voulais, plus fort."
Ekar secoue la tête. Il la baisse un moment. Puis, le coeur battant la chamade, il dit tout haut. "Je veux... que tu me... soumettes."
Aden sourit, il était bien dressé ce gamin: "Tête baissé, mains sur les genoux, genoux sur les fesses. Et ne bouge pas" Il se retourne alors tranquillement et va farfouiller dans l'un de ses tiroirs. Y trouvant ce qu'il souhaite, le vampire revient avec un large collier du cuir et un chaine en fer qu'il attache avec dextérité autour du cou du garçon...
Ekar se met dans la position demandé mais pâlit à vue d'oeil en voyant le collier. "Non..." gemit-il. Qu'avait-il encore imaginé ? Pourquoi n'avait-il pas pu tenir sa langue. Il leve une main et prend doucement le poignet d'aden. "Non..." repete-t-il d'une voix faible.
Aden le regarde, surpris de cette rebuffade... puis la giffle par d'un coup, le faisant chanceler sur le côté: "Ne crois pas pouvoir me donner des ordres!" Et immédiatement il tire sur la laisse sans douceur et le fait venir à lui pour l'embrasser avec un désir nouveau. Il lui offrit un baiser empreint de désir, mais aussi d'une violence qui n'éttendait que d'être libéré. Mordant sa lèvre inférieur, il le relâcha finalement pour contempler sa pauvre petite chose
Ekar sent encore la claque brulante sur sa joue. Il n'a qu'une envie, se jeter dans ses bras pour quemander de la douceur. Mais une autre partie de lui même, lui fait baissé l'echnine et detourner les yeux comme un chien battut.
Aden se penche vers lui: "Il va falloir que tu demandes pardon..." Mais à peine a-t-il fini sa phrase qu'il le retourne brutalement et lui assène une fessée douloureuse: "Je t'ai dis de demander pardon!" Et malgré ses gestes, pas une fois il n'a lâché la laisse, le forçant ainsi à se cambrer pour ne pas l'étouffer
Ekar a le souffle sacadé, a l'impression de s'etouffer. Il met ses mains devant ses fesses pour que aden cesse. "Pardon.. je suis desolé... Arrete !" Il se fige, sachant qu'il n'aurait jamais du prononcer ce mot !
Aden s’arrête net : « Ta gueule ! » et il lâche subitement tout ce qu’il tient pour retourner fouiller dans ses affaires. Le vampire se fiche pas mal de savoir si Ekar le regarde ou pas, il ne sait qu’une chose : il allait falloir lui expliquer un peu le fonctionnement des choses ! Sortant de son tiroir une corde en cuir et de nombreux autre objet, il les dépose au pied du lit et contraint son amant à lui montrer son dos. De là il lui lie les mains dans le dos, puis rejoint ses liens au collier pour l’empêcher de les descendre plus bas pour se protéger. Il reste ainsi à l’observer, longuement, détaillant son corps alors que le siens réagissait à cette vision délicate puis le fesses violemment une nouvelle fois : « Je ne sais pas si tes mots vont suffire mon garçon ! » Appuyant alors d’une main sur sa nuque, il enfonce en lui et sans ménagement un gode certes fin, mais dont les bords sont munies de très légères extensions. Pas suffisamment pour le blesser, mais assez pour qu’il sente chacun des petits clous arrondis glisser en lui : « Bouge ! » Exige-t-il d’un ton mauvais.
Ekar le regarde avec une imprehension grandissante, mais avec une légère exitation au fond de ses tripes. Il se mord les lèvres, inquiet cependant, devant tout cet atiraille. Il ne se débat plus, se laissant attaché et regardé. Puis, il sait ce qui va lui arriver en sentant sa main dans sa nuque. Déjà ? Aden n'avait rien compris a... Il tressaillit en sentant un corp inconnu en lui avec des petites et fines extrémités froides sembler vouloir lui déchirer les entrailles. *Qu'est-ce...* se demande-t-il, tressaillant. Il sursaute à l'ordre d'Aden. Bougé ? Mais comment ? Il ferme les yeux et réfléchit rapidement. Il devait satisfaire Aden... Il opte pour faire ressortir un peu l'objet, lentement, puis, après une seconde d'hésitation - et serrant les dents - de l'enfoncer plus en lui. Les mains liés et la sourde douleur, il perdait un peu l'équilibre mais tient bon.
Aden sourit, satisfait. Sa main tenant l’objet reste ferme lorsqu’il s’empale doucement dessus, pas encore… pas tout de suite… Caressant son dos en guise de récompense devant ses gestes un peu hésitant, il l’encourage à persévérer, puis l’aide un peu en enfonçant l’objet un peu plus à chaque fois, jusqu’à l’avoir en lui tout entier. Il reste ainsi un long moment, va et vient, et enfin lâche le gode sans le lui retrier : « C’est mieux ainsi » constate-t-il froidement : « Maintenant, suis-moi » et il fait quelques pas pour rejoindre le côté de la chambre en se positionnant à côté d’une épaisse tenture : « Mais toi devant. » dit-il en attendant qu’Ekar parvienne à l’endroit désiré.
Ekar essaie de calmer sa respiration alors que des sentiments et des sensations contradictoires tourbillonne en lui. Il n'essaie pas de retenir ses gémissements, s'abandonnant en entier à Aden. Puis il lui jette un coup d'oeil, tremblant légèrement en sentant encore en lui. Haa... il voudrait que cet instant avec Aden dure à jamais. Il se lève difficilement, manquant de tomber, grimaçant en sentant cette chose qui le génait autant qu'elle lui faisait mal. Il marche lentement vers Aden, fuyant son regard et se met là on lui demande. C'est seulement là, qu'il relève les yeux vers ceux d'Aden, une attente et une peur intestine se peignant sur son visage, sa bouce mi-close trahissant son désir.
Aden observe le garçon, glisse son regard sur son torse haletant, puis sur son sexe dressé malgré lui. Un sourire moqueur se peint sur ses lèvres, puis il tire sur un cordon situé à côté de la tenture. Le vampire s’amuse un instant du regard surpris qu’Ekar se jette à lui-même, et se faufille alors derrière lui, se frottant à son dos : « Admire-toué ordonne-t-il en tenant fermement son menton pour ne pas qu’il échappe à son reflet. Portant son regard sur le miroir, le noble rit dans le creux de son oreille et effleure le collier du garçon du bout des doigts. Il descend ensuite sur sa poitrine, lui tord un mamelon, puis continue son chemin vers son sexe en le chatouillant doucement. Il passe alors sa main derrière lui et lui retire le gode avec lenteur : « Ne détourne pas ton regard ! » dit-il en l’embrassant derrière l’oreille : « Je vais te pénétrer… » Et positionnant son sexe, il entre doucement en lui.
Ekar écarquille les yeux, détourne son regard et sent Aden s'appuyer derriere lui. Il veut se presser un peu plus contre lui lorsqu'il sent les doigts d'aden. Se regarder ? Il regarde son reflet, cette petite chose soumise à un pervers avide de pouvoir, et son sexe grandissant. Il rougit, se retient de detourner le regard. *Ne fais pas ca aden...* Mais c'etait trop tard. Il sent deja le sexe d'aden entrer en lui, sa main le retenant. Il n'arrive pas à se regarder, à regarder ce visage lamentable qui lui rendait l'image d'un garçon avide de sexe et de soumission.
Aden ricane contre son oreille : « C’est ta nature, ce que tu es, admets le… » Il souffle sur son oreille, en mordille le lobe, puis reprend sensuellement en y ajoutant une pointe glaçante : « Et c’est maitre, lorsque tu me parles ! » L’une de ses mains maintint toujours son visage tandis que l’autre accroche les bras du garçon pour ne pas qu’il perde l’équilibre : « Regarde toi, regarde toi où je devrais encore te punir… et crois-moi, cette fois tu n’aimeras pas ! » Sa voix avait vibré à la menace, mais très vite ses coups de reins gagnèrent en profondeur sans accentuer sa rapidité. Son but n’était pas la jouissance, pas tout de suite : « Dis-moi que tu aimes ça, dis-moi à quel point tu aimes ça ! » Car il avait appris à connaitre le corps d’Ekar, appris à le faire réagir et appris à le faire venir en appuyant sur ses sensibilité, lui infligeant une douleur délicieuse…
Ekar halete, la douleur dans ses tripes rependant des vagues de desir insidieux en lui. Oui, il aimait, il aimait se retrouver soumis, a sa merci. "Oui ! Oui ! j'aime que... tu... sois en moi ! J'aime que tu me fasses mal !" Lache-t-il. Il frissonne subitement en voyantbles crocs d'aden dans le miroir puis les sentir sur sa peau, voir aden sur le point de le mordre... Il ne peut s'empecher de gemir et d'aller plus contre lui. "Oui..." gemit-il.
Aden sourit, quel brave garçon quand il le voulait ! Il ne se laisse pourtant pas tout de suite aller à ses désirs plus qu’évident. Non. Non il allait d’abord lui faire monter la sauce. Le vampire continue de faire vagabonder ses canines le long de se peau de manière bien visible, puis accélère sa force et sa cadence : « Tu as le droit de jouir » murmure-t-il doucement tandis que sa main empoignait le sexe d’Ekar pour le masturber avec brutalité. Il embrasse la peau, le lèche par endroit et sa propre impatience grimpe en flèche. Il perçoit pourtant la réaction physique du garçon et reprend doucement, « Je vais te mordre…fort » Et c’est ce qu’il fit. Ses crocs percèrent sa peau pâle avec une facilité déconcertante et il serra sa mâchoire bien plus qu’il n’en avait besoin avant d’avaler son sang par petite gorgées enivrantes.
Ekar se pince les lèvres, continue de gemir en cadence. Il regarde son refflet avec moins de fuite. Il hoche la tête en entendant Aden. Oui, mais il ne voulait pas tiut de suite, il voulait que ca continue. Il se demande a quel moment il allait le mordre. L'attente... et les paroles prennent de promesses du vampire. Il lache un crie bestial en sentant la douleur de la morsure et essaie de degager malgré lui.
Aden resserre sa mâchoire sur sa gorge, le retenant près de lui avec ses dents, puis il le libère doucement en ne lui ayant pris que quelques gorgées : « A genoux » ordonne-t-il. Le vampire lui retire alors les liens, puis passe ses bras devant et les attache une nouvelle fois : « Met toi en levrette et continue de t’observer » Le garçon se fait obéissant (sans en avoir vraiment le choix) et une fois en place, le noble tenant toujours solidement la laisse pour le maintenir tête haute, le toise méchamment. Il le domine de toute sa hauteur, lui laissant jouir de la vue du haut de son corps, puis tout en souriant, tout en tirant sur son collier par l’intermédiaire de la chaine, rentre en lui avec une lenteur indécente. Il se mit en mouvement ainsi, cherchant à le contraindre, à le forcer de supplier pour avoir plus.
Ekar hoquette en ne le sentant pas va venir. Que faisait-il soudain ? Il tourne un peu plus le tete vers. Il s'etait retiré trop vite de lui, il en voulait encore. "Aden..."fait-il d'une voix suppliante. Mais il ignore si Aden veut l'entendre. voyant son visage satisfait, il continue "Enfonce-toi, prend-moi fais-moi jouir..." *Ne me lache pas comme ca.*
Aden lui assène une forte fessée : « C’est maitre ! » réplique-t-il d’un ton cinglant. Mais là, tout de suite, il n’avait pas vraiment le cœur à punir… ce qu’il voulait c’était répondre à ses désirs, ses souhaits, ses envies si semblables aux siennes et ses gémissements étaient tellement excitant. Serrant les dents, il pose alors ses mains sur ses hanches et les forces à venir s’empaler sur lui avec violence, ramenant son propre bassin vers lui avec force pour le prendre plus en profondeur. Et il continua avec cette cadence insoutenable encore et encore…
Ekar ne sait pas où se tenir et sent son corps se tendre. Perdant un peu l'équilibre mais soutenu par Aden il jouit. "Maî... tre... Maître ! MAITRE !!"
* Aden esquisse un sourire, mais se concentre de nouveau sur son œuvre en relevant le regard sur le miroir, s’observant lui-même entrain de pénétrer le garçon. Mais ce cri, ce cri… Il serre les dents, serre ses doigts sur corps, lutte un instant, puis se lâche enfin pour se déverser en lui avec un cri de soulagement. L’affaire finit, il donne un dernier coup de rein, puis s’assoit sur ses talons en forçant le jeune homme à suivre le mouvement pour ne pas sortir de lui tout de suite. Non, à la place de cela il laisse le temps glisser entre ses doigts, se contentant de caresser le dos du garçon docile assis sur ses cuisses.
Ekar halete, savoure, s'oublie. Il n'a que faire de son reflet dans le miroir. Il le regarde avec indifférence, pui tourne son regard d'Aden. "Enlace-moi, maître. Enlace-moi."
Aden sourit devant tant d’obéissance, glissant le bout de ses doigts le long de sa colonne vertébrale : « Tu oublies le mot magique… »
Ekar frissonne, essayant de se rapeler. Il n'avait jamais entendu cette expression. "Je... je ne sais pas... ce que ça veut dire, maître..." souffle-t-il hésitant.
Aden fronce les sourcils : « Ça veut dire que tu ne peux pas me donner des ordres comme ça, tu dois me vouvoyer, et dire s’il vous plait » !
Ekar a un petit sourire : "Comme t... Comme vous voudrez, maître." Il le regarde avec plus d'assurance. "Pouvez-vous... m'enlacer, vénéré maître ?" Il disait cela sans une honce de moquerie ou d'ironie, tout à fait sérieux.
Aden sourit : « Bien ! Tu apprends vite Ekar. C’est très agréable, tu mérites ta récompense… » Et tirant sur ses cheveux avec douceur, il le redressa et passa ses bras autour de son torse pour se coller à lui. Il sentait encore la peau chaude de ses émotions précédentes et profita du contact pour l’embrasser doucement dans le cou.
Ekar ferme les yeux, appréciant son contact, et sa récompense. "C'est drôle, tu sais... vous savez être doux parfois..." Il bascule sa tête en arrière. "Vous me fait du bien."
Aden lève un sourcil, peu persuadé de vraiment savoir être doux : « J’ai appris à conserver certaines de mes conquêtes les plus intéressantes » constat-il sobrement « Je ne pense pas être vraiment doux. »
Ekar ricanne. "Je ne vais pas m'en plaindre, mais j'aime que vous soyez doux après." Il se contorsionne pour essayer de l'embrasser.
Aden lui rend son baiser, puis sort finalement de lui et le force à s'allonger à même le sol où il le rejoint :"Il faut bien te féliciter d'être si bon élève..."
Ekar pose sa tête au sol, retenant un soupire, à moitié de lassitude à moitié de bien être.
Aden reste sur le sol et caresse les cheveux du garçon d’un geste machinal, se demandant bien ce qu’il allait pouvoir faire aujourd’hui.
Ekar tourne la tête vers lui. Il n'essaie pas de se rapprocher, ni de continuer leur ébat, comme à son habitude. Mais il tente de sourire.
Aden soupire de lassitude et se relève en s'étirant :" Tu peux partir, j'imagien que ton prince où ta "relation sérieuse " va avoir besoin de te voir aujourd'hui. Il faut bien que tu lui dises à quel point tu as aimé après tout
Ekar perd son sourire et se redresse. Il jette un coup d'oeil vers la porte puis baisse le regard. "Je... je n'ai pas à dire si c'est terminé. C'est à vous de choisir..."
Aden fronce les sourcils: "Et j'ai choisi..."
Ekar acquiesce. Il se sentait bizarre. Le corps en paix, décontracté, et pourtant il ne voulait pas quitter cette chambre. Le monde extérieur lui faisait soudain peur. Un monde lumineux et en paix, où il devrait faire bonne figure devant le prince, Valézy, Gideon et les autres, alors qu'il ne savait plus où il en était... Il se redresse et remet lentement ses vêtements.
Aden -totalement nu - ouvre son armoire pour chercher de quoi s'habiller. Le choix est grand et il a du mal à se décider. Il jette alors un bref coup d'oeil derrière lui et avise le garçon : "Eh bien? Pour un garçon contraint tu n'as pas l'air très pressé?"
Ekar serre les dents et s'asseoit sur le lit pour mettre ses bottes. Il secoue la tête, puis se dirige vers la porte.
Aden hausse les épaules, ayant décidément bien du mal à cerner ce jeune garçon (comme la plupart des gens en fait!) et il se concentre de nouveau sur sa garde robe
Ekar sort de la chambre et retourne directement dans sa chambre.
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| | | Ewald Conseiller du roi
Emploi ou situation : Conseiller du roi / Dirigeant de la rébellion
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Sam 27 Aoû - 20:00 | |
| Les choses se passent toujours mal avec Aden... Voici le pauvre Alister dans les griffes d'Aden U-U Il n'y a malheureusement pas la fin. - nia:
Aden s'étire paresseusement, puis décide que l’hypocrisie des gens est bien trop grande à l'intérieur des murs. Non, mieux vaut aller se promener un peu dehors...
Alister s'étale dans l'herbe pour observer les nuages, ne sachant pas trop quoi faire d'autre.
Aden se balade toujours tranquille, puis voie finalement une silhouette dans l'herbe. Tiens donc, peut-être la connaissait-il? Peut-être pourrait-il jouer un peu... Il s'approche doucement
Alister s'étire un peu et ferme les yeux. Puis subitement, il sent une odeur vaguement familière. On dirait celle de... il ouvre les yeux et se redresse, paniqué.
Aden approche toujours, puis reconnais le garçon. Il détaille un peu son air paniqué, puis rit au éclat d'un air malsain: "Alors gamin, on fuit son travail?"
Alister aurait aimé fuir, mais à la place il se recroqueville sur lui-même, n'osant pas le regarder. Il répond d'une petite voix: " J'ai fini ce que j'avais à faire..."
Aden lui sourit, dévoilant ses crocs: "Tu as donc tout le temps nécéssaire pour rester avec moi... c'est parfait! Viens là..."
Alister se mord la lèvre. Il n'aurait pas du lui dire ça... Il fait non de la tête, se trouvant très bien là où il est.
Aden dévoile un peu plus ses crocs et s'approche d'un pas assuré: "Ta pétasse de maitresse m'a manqué de respect la dernière fois. Je vais devoir lui montrer par ton intermédiaire qu'on ne se joue pas de moi impunément..."
Alister se redresse d'un bond en le voyant s'approcher et recule pas après pas: " Je vous interdis de parler d'elle comme ça!"
Aden rit: "Et comment vas-tu m'en empêcher si tu persistes à me fuir? J'imagine qu'elle a pris des serviteurs à son image tu me diras: Incapable defaire les choses correctement. Des petits trucs lâches et faiblard qui aime se faire défoncer le cul!"
Alister recule encore. Ekar lui avait dit qu'il ne devait pas se laisser faire... mais qu'est-ce qu'il peut faire contre lui? Rien du tout... Il ne se sent vraiment pas de taille: " Je... Je ne suis pas lâche!" Aden s'approche encore, il est tout prêt à présent: "Vraiment? Alors pourquoi fuis-tu? Pourquoi n'es-tu capable de rien d'autres que parler lorsque j'affirme que ta maitresse est une petite pute?" Il fait mine de réfléchir, puis ajoute : "Je pourrais peut-être revenir sur ce que j'ai dis la dernière fois, elle s'est mal excusé après tout ... Oui, je vais lui dire d'écarter les jambes et je passerai l'éponge sur son comportement..."
Alister déglutit, tremblant un peu. Il serre les poings et se surprend à la repousser: " Je ne vous laisserez pas la toucher!"
Aden rit de la pauvre tentative du garçon. Il s'ampre de ses poingtes, les force à les descendre le long de ses hanches et se penche vers lui pour l'embrasser, mordillant sa lèvres avec délices: "Et que vas-tu bien pouvoir faire pour m'en empêcher?" Lui susurre-t-il en mettant fin au baiser
Alister tente d elui mordre la lèvre avant de se débattre pour le faire lâcher prise.
Aden sourit, puis à une idée. Il lâche l'une de ses mains, puis lui ordonne le plus sérieusement du monde :"Vas-y... frappe moi..."
Alister se pince les lèvres, ne sachant pas si c'est une bonne idée. Il reste un noble, il aura des problèmes s'il le fait. Mais en même temps c'est un ordre... Il feinte vivement sur la droite pour tenter d elui asséner un coup au niveau des côtes, comme Ewald lui a appris. Aden ne tente même pas d'intercepter le coup, savourant la douleur en silence, yeux fermés... Oui, le garçon avait réussi à lui procurer des frissons de plaisir et d'excitation. S'emparant de nouveau de ses poignets, il le fait brutalement tomber à terre et se glissant entre ses jambes, l'embrasse goulument
Alister lui mord la levre violemment et se debat pour se liberer, jouant des pieds.
Aden grogne de plaisir en sentant la morsure sur sa lèvre, si seulement il pouvait mordre plus fort! Peu importe ses pieds, peu importe qu'il se débatte, cela rendait les choses autrement plus amusantes! Sa main gauche s'empare alors de l'entre jambe du garçon et la malaxe avec fermeté. Il n'avait aucun espoir de l'éveiller, mais c'était tellement drôle!
Alister se crispe en sentant sa main sur son entrejambe. Il tente de le repousser avec ses pieds et de liberer ses mains, pris de panique.
Aden sourit, étouffe un cri de stupeur lorsqu'un genoux d'Alister remonte suffisament pour se loger dans ses côtes, puis se reprend en riant. Cool!!! Maintenant les poignets d'Alister, il passa sa main libre dans le dos du garçon et la descend sur le haut de son pantalon pour le faire glisser lentement vers le bas, ses doigts frôlant ses fesses au passage
Alister gemit, essayant de se trainer pour lui echapper: "Non... pas ca... "
Aden ricane : « Oh si … ça ! » Et alors qui le tire vers lui pour coller son bassin à ses hanches, il se penche vers lui pour l’embrasser : « Dis-toi que c’est entièrement la faute de ta maitresse ! » Sa main libre continue alors de descendre son bas et bientôt le garçon se retrouve les fesses à l’air libre. Riant de le voir à sa merci, le vampire glisse en lui un premier doigt.
Alister se crispe a nouveau et se tend dans l'spoir de s'loiger de lui: " Non... ce n'est pas vrai... " Ce ne sera jamais la faute d'Eli... Il sent les larmes lui monter aux yeux et se debat encore pour le repousser.
Aden est heureux de voir l’humidité venir dans ses yeux. C’était tellement jouissif ! Tellement bon ! « Tu lui diras n’est-ce pas ? Tu lui diras que je t’ai pris comme un chien en son honneur ! » Et tout en parlant il avait délassé son bas, laissant son propre pantalon glisser jusqu’à ses genoux. Une nouvelle fois il le tir vers lui, prend le temps de se positionner, puis le pénètre brutalement.
Alister gemit de douleur, les larmes coulant sur ses joues: " Non... s'il vous plait..." Il se debat encore mais beaucoup moins, n'en ayant plus la force.
Aden s’amuse de voir ses larmes, c’était si beau, si bon, si excitant, si grisant de voir cet air se peindre sur son visage, de sentir sa volonté, ses forces le quitter : « Alors appelle-là, peut-être qu’elle viendra ! » Et il ponctua sa phrase d’un nouveau coup de reins puissant.
Alister fait non de la tete. Non... il ne criera pas apres Eli. Hors de question... Il serre les dents pour s'empecher de gemir, ses doigts s'enfoncant dans l'herbe.
Aden rit, puis ralentit la cadence pour s’arrêter un instant : « Pauvre petit garçon… Pauvre petite chose ridicule. Me sens-tu ? » Bien sûr qu’il le sentait ! Quelle question rhétorique, mais cela ne semblait pas être suffisant pour le vampire et il pose une main sur ses yeux afin de l’aveugler et de ne lui laisser plus que la sensation de son sexe le pénétrant. Il se met donc en mouvement, lentement, très lentement et coulisse en lui avec un sexe dressé par la situation : « Vois comme tu es fais pour ce genre de chose, vois comment tu n’es qu’une pauvre petit enculé… »
Alister se cambre en le sentant recommencer. C'est encore plus horrible de ne rien voir. Il se debat un peu, essayant de retirer sa main en bougeant sa tete.
Aden s’éclaffe en le voyant se débattre et il resserre sa prise sur ses yeux : « Oh non ! Ne crois pas que je vais te laisser voir autre chose ! » Et il poursuit son œuvre. Allant et venant en lui en grognant de délice. Il était si étroit, si serré : « Ce n’est pas désagréable de te voir souffrir de face tu sais… c’est même encore mieux… » Et enfin le vampire accélère un peu la cadence pour le prendre avec plus de force, ignorant le mince filet rouge qui coulait de l’orifice de son « amant » [/b]
Alister gemit a nouveau et est parcouru de soubresaut, son corps n'etant que douleur. Des larmens n'arretent pas de couler sur ses joues: " non... arretez... " Il est pris d'un haut-le-coeur tellement la douleur est insupportable.
Aden s’amuse de voir l’état du garçon empirer. Sa joie devient infinie, son excitation plus grande encore et il se donne à cœur joie dans les fesses d’Alister. Il va, il vient, il lui donne de violent coups de bassin pour le marteler avec plus de force, aller plus profondément en lui. Son désir grimpe, grimpe, grimpe, atteint des sommets ! « Haaaaaa ! » Dans un cri de jouissance, le vampire se répand à l’intérieur du garçon en observant- le sourire au lèvres- les larmes du garçon couler sur ses joues : « C’est fou ce que s’est bon de te baiser ! » Et il retire sa main de ses yeux, tout en restant à l’intérieur du jeune homme.
Alister garde les yeux fermés, détournant la tête. Il ne veut pas voir son sourire satisfait, il ne veut plus le voir du tout. Il n'ose plus bouger, autant pour ne pas avoir mal que pour se faire oublier.
Aden se redresse lentement et le toise avec un sourire ironique: "Je ne bougerais pas. Si tu veux te retirer, c'est à toi de le faire ...
Alister se cambre sous la douleur, gémissant. Pas encore... il recule lentement, se trainant pour s'éloigner de lui.
Aden rit aux éclats en se retrouvant finalement le pénis à l’air. Il s’essuie sur le vêtement du garçon, se lève, puis se rhabille : « Ça coule ! » Indique-t-il platement du menton en désignant son entre jambe : « N’as-tu donc aucune dignité ? »
Alister garde la tête tournée, ne voulant toujours pas le voir. Il ne lui répond même pas, n'en valant pas la tête.
Aden pouffe dans son coin, content de sa propre blague : « N’oublie pas d’en parler à ta poufiasse ! » et se disant il s’en retourne d’où il vient, laissant là le petit tas informe qu’il avait créé.
Alister ne dira rien à Eli... pas la peine de parler, son corps et déjà assez meurtri comme ça. Il va reste allongé là... attendre que ça passe. Il a juste le courage de remettre son pantalon non sans grimace.
Alister préfère faire l'insconscient malgré ses tremblements. De toute façon, il n'a pas vraiment la force de bouger.
Aden s’amuse : « Si tu ne veux pas … alors je peux continuer » et il se remet très lentement en mouvement.
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| | | Ewald Conseiller du roi
Emploi ou situation : Conseiller du roi / Dirigeant de la rébellion
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Sam 27 Aoû - 20:04 | |
| Et un très court Ismy/Edel ^^ - Pouet:
Ismaire profite que Sayanel ne soit pas là pour enlever le pioupiou *-*
Edelweiss panique: "Au secouuuuur! Maiiiiiitre!"
Ismaire l'enferme chez elle : "Pour s'acquitter d'une dette qu'il a envers moi, tu dois me satisfaire cette nuit !"
Edelweiss panique : "De quoi?!!!! Quelle dette?! C'est impossible!"
Ismaire lui lance un regard glaciale : "Tu n'auras qu'à lui demander par toi-même."
Edelweiss secoue la tête : "Seigneur Evelyne ne m'a jamais offert à personne, mê^me pour une nuit, je ne peux vous croire"
Ismaire se rapproche de lui et lui caresse tendrement la joue : "Justement, c'était soit toi où ton maître n'était plus de ce monde. Je lui ai fait une belle faveur et j'espère que tu seras répondre à mes attentes et les siens par conséquent."
Edelweiss se fige, observe la jeune femme en face de lui et son regard devint mauvais comme jamais il ne l'avais été. Enserrant brusquement la gorge de l'inconnue, il murmure d'une voix plus glaciale que le plus froid des hivers: "Vous avez voulu tuer mon maitre?"
Ismaire sourit en voyant son regard, pour ensuite prendre son poignet et exercé une pression suffisante pour le blesser : "A toujours vouloir chercher des problèmes, on les trouve mon cher. Mais j'ai encore besoin de lui, alors je veux comme toi le laisser en vie, la condition, tu l'a connait"
Edelweiss lâche en grimaçant: "Je n'ai aucune preuve de ce que vous avancez!" Lance-t-il d'un ton mauvais
Ismaire se libère tranquillement de son étreinte et s'installe sur son sofa : "C'est toi qui voit. Mais si tu n'es pas coopératif, Sayanel en subira les conséquences, tu en es conscient ?"
Edelweiss se pince les lèvres. Elle était tellement sûre d'elle... tellement convaincu de ce qu'elle disait. Et puis pourquoi mentirait-elle pour l'avoir, lui? :"Pourquoi étais-je le prix de sa vie? Je n'ai aucune importance..."
Ismaire sourit : "C'est ce que tu crois, trésor." elle se lève et laisse une main couler dans ses magnifiques cheveux blancs :"Tu ignores ta valeur !"
Edelweiss se dégage de la main de la jeune femme. Il n'aimait pas son contact, il n'aimait pas qu'une autre personne que son maitre le touche ainsi. Les yeux sur le sol, il répond pourtant : "Mais si je vous tue maintenant, alors l'affaire sera réglée de la mailleure des manières. »
Ismaire s'amuse de sa réaction : "Cela ne satisfera pas ton maitre non plus, malheureusement."
Edelweiss est sceptique: "Je vois mal comment la mort d'une personne ayant voulu le tuer pourrait lui déplaire..."
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| | | Sayanel ♞ Graphiste et modérateur
Emploi ou situation : Au service de sa majesté le Roi Localisation : Un endroit plein de charmes et de belles rencontres ^^
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Jeu 1 Sep - 19:43 | |
| Attention Yaoi, très soft, genre tout mignon! XD in medias res : alors de mémoire, Gideon se sent pousser des ailes (ou des couilles en l'occurence), alors qu'il faisait un promenade en cheval avec Ekar il décide de passer au galop et de fausser compagnie à ses gardes en espérant pouvoir enfin voir l'extérieur du château et surtout le lac. - EKAR/ALISTER/GIDEON : souvenirs du lac partie1:
Gideon regard Ekar désolé "ça ira, vous me suivez pour m'empêcher de faire une bêtise.", pourtant il ne s'arrête pas pour parler aux gardes, mais lança à nouveau son cheval pour se diriger vers le lac.
Alister finit par tomber sur une perdrix et se met à la poursuivre, décidé à la rapporter pour Eli.
Ekar se pince les lèvres se rongeant les sangs, mais suivant Gideon. Il regarde derriere lui, "Ils nous rattrapent !"
Alister déboule de la forêt à la suite de la perdrix.
Gideon galope plus rapidemment il prend tous les chemins tortueux qui lui tombent dessus. L'herbe sous ses sabots changent et se fait lus touffu, Gideon file jusqu'à une petite colline qu'il s'apprête à sauter malgré les réticences de sa bêtes
Alister finit par perdre sa proie dans les hautes herbes et essaie de retrouver sa piste.
Ekar suit Gideon, mettant sa raison de côté. Il fait en sorte de ne pas se faire distancer. Il passe la petite colline avec difficulté, la pente etait reche. *Allez ! Monte !* Soulagé que son cheval la passe enfin, il s'elance a la suite de gideon.
Alister ne retrouve pas sa perdrix mais découvre un lapin à la place et se met directement en chasse. Il le course dans les hautes herbes jusqu'à en sortir en trombe, poursuivant le lapin sur le chemin.
Gideon voit une tâche blanche filait devant lui. Il se tend violemment quand quelque chose d'autre passe devant son cheval. L'animal se cambre, Gideon s'accroche avant de tomber. il reste sonné avant de voir le cheval paniqué, gideon a juste le temps de se rouler sur le côté et manque de se faire écraser.
Ekar n'a pas le temps de réagir que son cheval s'arrête brusquement. Il se tient à la crinière pour ne pas tomber, puis descend enn trombe de sa monture. Il fait de grands gestes devant le cheval pour l'eloigner, criant, puis se precipite sur son compagnon. "Gideon !" s'écrit-il en lui prenant les épaules, "Tu vas bien ?"
Alister manque de se faire écraser par un cheval qui arrive au galop. Il saute de justesse sur le côté pour éviter le coup de sabot avant de reculer un peu pour ensuite jette un coup d'oeil aux deux humains.
Gideon voit son cheval s'enfuir. Et mince, il avait vraiment foiré sur ce coup là. Gideon attrapa le bras d'Ekar et tenta de rattraper son souffle. "Tout va bien" le rassura-t-il.
Ekar a les yeux écarquillés : "Tu es sûr ?" Il regarde autour d'eux. Les gardes finissent par arriver, les encerclant, la main sur leur garde. "On peut savoir ce que vous faites ?" Il s'adressait à Ekar comme si c'était son idée...
Alister va se mettre à l'abri dans un buisson, se faisant tout petit. Gideon s'accroche à Ekar "On va voir la mer.", lorsque les gardes semblent vouloir il se comporte délibéremment comme un enfant gâtée pour mieux faire comprendre la situation"Vous m'en auriez empêcher! Et pourquoi est-ce que je n'aurais pas le droit de la voir! Même Lana sort plus que moi!"
Ekar a le coeur qui bat à cent à l'heure. Il n'ose rien dire, rien faire. Un des gardes démonte, le chef, et s'approche du comte. "Vous n'avez jamais demandé à sortir, et nous devons veiller à votre sécurité. Rentrons au château, Messire, vous pourrez demander à Monsieur le conseiller la permission." Ekar se retient de lever les yeux au ciel. Alister regarde furtivement ce qui se passe et remarque qu'il s'agit de Gideon et d'Ekar.
Gideon fait celui qui écoute. "Très bien, je vous écoute et je jure que la prochaine je ne me comporterai pas aussi puérilement. Pour aujourd'hui par contre j'aimerai quand meme voir le lac." Gideon montra Ekar d'un geste de la tete "j'ai laissé cet homme me suivre parce qu'il a subi un entrainement de sa majesté elle-même." Ekar le suivant difficilement, il espérait que les gardes comprendraient qu'il lui avait mené la vie dure. Après tout c'était connu, les nobles n'étaient que des capricieux n'hésitant pas un instant à mettre les domestiques dans l'embarras.
Ekar se pince les lèvres. Un entrainement, oui, mais il n'etait arme que d'un long poignard. Le chef des gardes hésite. Il avait vu le garçon se battre et il se defendait bien. "Deux de mes hommes devraient vous accompagner."
Gideon lève les yeux en entendant le garde. "Si j'avais Vraiment voulu m'enfuir, j'aurais une de ces sorties cachette dont nous avons le secret." Il joint les mains et regarde les gardes avec des yeux de chiens battus "juste cette fois.....On sera rentrée avant le couché du soleil!" s'empresse-t-il de rajouter
Ekar regarde l'attitude de Gideon et ne peut s'empecher d'en être amusé. Il se pince les lèvres et acquiesce. "Il ne lui arrivera rien ! Soyez rassuré !" Le garde retient un soupire, et acquiesce. "Allez-y, allez-y... mais revenez avant le crépuscule !" Il se dit qu'il va se faire taper sur les doigts en rentrant.
Gideon saute de joie "Merciiiiiiii! Vous êtes les meilleurs garde de toute la garde royale qu ce monde n'ait jamais porté!" Il aute partout en gesitculant des bras et chante haut et fort "le Lac ♥, le lac ♥ le laaaaaaaaaaaaac!"
Ekar s'empeche de sourire, regardant les gardes avec asssurance et serieux. Il les regarde repartir. Un fois qu'ils ont disparu, Ekar s'approche de lui et lui attrape une main pour sauter et rire avec lui. "Oui ! Allons-y tout se suite !"
Alister regarde discretement et remarque que les gardes sont partis. Gideon prend Ekar dans ses bras, ils tourboillent. C'est un exploit pour lui d'être hors du château. Ils tournent tellement que Gideon finit par perdre ses repères et sin équilibre.
Ekar est surpris et le laisse faire, tournant même avec lui. Il se sent vaciller et il n'arrive pas à retenir Gideon. Riant, il tombe sur lui. Il essaie de se relever mais sa main tombe sur son torse fin, puis ses hanches. "Excuse..." rit-il avant de s'arreter net en remarquant quelque chose de touffu dans les fourets. "Hm... c'est quoi ça?"
Alister s'apprête à sortir discretement pour rejoindre la forêt mais en tendant l'oreille, il se doute qu'Ekar parle de lui et se dépêche de se dissimuler dans le buisson.
Gideon rigole avec Ekar et tourne sa tete vers l'endroit où regard son ami. Quelque chose court mais il n'a pas le temps de l'attraper. Il regard alors Ekar, une leur de défi dans les yeux "on l'attrape?"
Ekar sourit, trouvant l'attitude de Gideon amusante. Il hoche la tête et fait signe à son compagnon d'attendre. Il reste accroupi, faisant un arc de cercle pour le contourner. Il fait signe à Gideon de faire la même chose. Quand Gideon commence à bouger, il s'apprche doucement...
Alister les observe depuis le buisson puis plisse les yeux en comprenant ce qu'ils essaient de faire. Sans leur laisser plus de temps, il bondit hors de sa cachette pour détaler.
Gideon laisse échapper une exclamation lorsque le chacal s'enfuit, cependant il se jette sur l'animal dès que ce dernier passe près de lui Alister évite Gideon d'un bond sur le côté.
Ekar se précipite vers l'animal, souriant en voyant que Gideon a ralentit le jeune... félin ? Il le suit à travers les bosquets, se prend quelques branches dans la figures mais continue, pour faire plaisir a Gideon.
Alister file rapidement bien qu'il ne connaisse pas bien ce coin.
Gideon peste contre son inutilité, il se met à la pousuite d'Ekar et du chacal avec beaucoup d emal
Ekar poursuit le petit animal, se disant que ce n'était pas très gentil de le poursuivre ains, mais il voulait voir Gideon sourire et sauter de joie. Il dérape sur une pierre et a une idee. Il attrape la pierre et se dégage des fourrés. Il s'arrete soudain et vise la tete de l'animal, essayant de le heurter a la tête.
Alister se faufile dans un tronc d'arbre mort au sol pour éviter le projetil et y reste pour se cacher, épuisé par sa chasse précédente et cette course-poursuite.
Gideon leur court après, en essayant de les suivre il glisse puis tombe la tête la première. Lorsqu'il se relève il ne voit plsu personne "euh.... Ekar?"
Ekar s'est remis à la poursuite du chacal et se jette litteralement devant le trou pour voir si la bestiole a reussi a trouver une sortie. Et non, elle est là, le regardant avec de grands yeux effrayé. "Gideon ! Ca y est ! Elle est là !" Il tourne la tete vers l'endroit d'où il vient, s'égausillant à nouveau : "GIDEON !!"
Alister observe Ekar sans bouger, se reposant un peu.
Gideon il finit par retrouver son ami près d'un tronc d'arbre. "hm? tu l'as trouvé?" son inquiétude oubliée, il s'accroupit pour voir l'animal "salut toi!"
Ekar répond à chaque appelle de Gideon, riant, grisé qu'il le cherche et qu'il ait sous les yeux ce qu'il voulait attraper. Lorsqu'il s'approche enfin, il dit : "Il est là ! Mais le pauvre est terrorise !" Il s'allonge près du trou, regardant l'animal.
Alister les regarde, restant allonger. Quel crétin de s'être réfugié là... Heureusement qu'il n'y a aucun moyen de savoir que c'est lui, surtout avec Gideon en face.
Ekar se decalle un peu, "Oui, il est mignon, non ? Allonge-toi !"
Gideon se colle à Ekar pour voir voir le petit bout "aaaaaah! Tu nous as fait courir tu sais!" Il regarde Ekar et rougit: son visage se retrouve assez proche de celui de son ami.... il reprend et continue d'un ton enjoué "c'est toi qui l'a trouvé c'est à toi de lui donné un nom!"
Alister plisse les yeux. Un nom et puis quoi encore! Il n'en a qu'un de toute façon. Ils vont l'appeler comment? Cacahuète?
Ekar sourit, le regardant. Il rougit un peu en sentant son corps contre le sien, il voudrait l'embrasser, caresser sa peau douce. Il retrouve ses esprits : "Un nom ? Mais il n'est pas à nous..." Il se redresse et tend la main vers l'animal.
Gideon sent son coeur s'emballer et cesse inconsciemment de respirer. "C'est juste pour se souvenir d'aujourd'hui." il recommence à souffler lorsqu'Ekar se lève puis il regarde tendrement l'animal "tu veux venir au lac avec nous? il paraît que c'est magnifique!"
Alister tressaillit en sentant la main d'Ekar sur sa fourrure et le pince avec ses crocs sans vraiment lui faire mal.
Ekar tourne la tête vers Gideon. Se souvenir d'aujourd'hui... Il sent une légère morsure sur son doigt, mais ses yeux sont plus intéressés par le visage de Gideon. Il retire sa main du trou, et vient caresser sa joue dubrevers de son index et son majeur, se pinçant les lèvres.
Gideon papillonne des yeux pour enregistrer l'information. Il cesse litteralement de respirer mais se laisse aller. Ses lèvres frôlent à peine les doigts d'Ekar. L'instant semble se suspendre.
Alister écarquille les yeux en les voyant tous les deux, se demandant ce qui leur prend d'un coup.
Ekar sent sa gorge se serrer, des sensations agréables se propageant du revers de ses doigts jusqu'à son épaule, lui faisant redressé le coin de ses lèvres. Il appuie ses doigts sur les lèvres de Gideon, un frisson le parcourant, continuant cette douce caresse continuer dans l'autre sens : à l'endroit qu'il a déjà touché. Doucement, la respiration lente, sans mouvemenr brusque, relevant les yeux vers ceux de Gideon.
Gideon snet so corps entier se figer sur place. Sa tête commence à tourner, son coeur bat jusqu'à ces tempes. il parvnt à se reculer d'un pas pour se libérer de l'emprise d'Ekar. Il reprend bruyemment sa respiration. Il marche pour reprendre son souffle "Allez Alister on y va."
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| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Jeu 1 Sep - 20:02 | |
| - EKAR/ALISTER/GIDEON : suvenirs du lac partie2:
Alister rabat ses oreilles en arriere et garde la gueule grande ouverte, surpris. Comment il sait? Il n'a rien dit... et ne ressemble pas a sa forme humaine... alors comment? Il s'agite un peu, essayant de reculer.
Ekar ne comprend rien, juste qu'il a du aller trop vite. Il baisse la tête vers le sol et se redresse, avant de se lever. Il n'ose pas regarder Gideon, se demandant pourquoi il parle d'alister. Peut-etre une confusion de sa part du à l'émotion...
Gideon se baisse voyant que le chacal n' pas l'intention de les suivre. "Allez on va voir, le lac!" il lui tend une main pour l'appâter, il regarde Ekar pour lui demander de l'aide et voyant l'état de ce dernier il s'explique "Les deux m'irritent.... c'est vrai quoi! il m'a fait tombé de mon cheval quand même! Mais ils sont tous les deux attachants alors cest normal qu'ils aient le même nom non?" il lui sourit.
Alister dresse l'oreille en entendant la reponse de Gideon et soupire de soulagement. Ouf... il ne sait rien au final!
Ekar se pince les lèvres, un peu rassuré par son sourire, et se raccroupit pour prendre l'animal. Il l'attrape d'une main ferme mais sans trop serré, et le tire malgré ses protestation. Il plaque contre lui le tend que l'animal se calme, jettant un coup d'oeil à Gideon avant de se lever.
Gideon claque dans ses mains avant de pointer du doigt une direction au hasard. "Les amis, direction le lac!" puis se met en marche reprenant la chason du lac.
Alister se debat un peu sans parvenir a s'echapper. Il finit par abandonner et se laisse porter.
Ekar caresse la tete de l'animal en voyant qu'il s'est calmé. "Vous voulez le prendre ?" Ils commencent à descendre la petite colline. "Ho ! N'oublions pas le cheval !"
Gideon regarde Ekar avec des yeux plein d'excitation: "Je peux! aaaah c'est génial! Dans me bras Alister!" il prend doucement l'animal d epeur de lui faire mal. Puis se rapelle la tragédie du matin "mon chevaaaaaaaaal...."
Alister se retient de soupir et se laisse faire, attendant la premiere occasion pour s'echapper.
Ekar va chercher son cheval et sourit à Ekar. "On va le retrouver ! Il n'a pas du aller très loin. Tout en continuant leur chemin, il regarde Gideon s'occuper de l'animal.
Gideon pat pat Alister, il suit Ekar et fixe son dos. Tout à l'heure, qu'est-ce qu'il aurait pu se passer tout à l'heure? ça il aimerait bien le savoir... Serrant Alister très fort dans ses bras il prend son courage à deux mains "Ekar?"
Alister remue un peu, trouvant qu'il le serre trop fort. Il lenpince legerement au bras pour lui faire comprendre
Ekar, perdu dans ses pensées, se retourne, s'apercevant que Gideon avait ralenti. "Oui ?" Il fait un sourire en coin, voyant la gêne de Gideon.
Gideon rougit et serre Alister fort contre lui "Euhm... Je.... comment dire....Est-ce que?" il s'arrête peut-être qu'il devrait le demander plus tard. "Est-ce qu'on aura le temps de voir le lac avant de rentrer?" Aaaaaaah quel dégonglé!
Alister mord plus franchement le garcon sans toute fois lui faire mal, trouvant qu'il le serre bien trop fort.
Ekar fait un sourire pincé, l'attendant. Il regarde son visage rouge, ses yeux se détournanr souvent des siens. Il sent dans ses tripes que Gideon n'est pas insensible à sa présence, qu'il est comme lui. Mais il ne veut pas le brusquer, seulement... peut-etre... Il fait un sourire un peu plus franc, le regardant avec douceur, et le prend doucement par la taille - ses mains étant occupées a étouffer l'animal.
Gideon se laisse aller dans les bras d'Ekar, il serre Alister encore plus et se faisant mordre plus franchement il lâche l'animal par accident. "Aïe..." puis se massant le bras il regard ekar avec des yeux de chien battu
Alister s'ebroue et profite pour s'eloigner.
Ekar fait un large sourire, fondant sous les yeux larmoyants de Gideon. Il le serre un peu plus, leurs hanches se touchant, leurs corps se frôlant. Il se penche sur lui et l'embrasse sur la tempe.
Gideon gémit une fois puis s'arrête tout de suite. Il regard Ekar dans les yeux, un regard emplis de question silencieuse "Ekar...."
Alister les observe d'un peu plus loin, toujours aussi surpris. Quand Eli va apprendre ca...
Ekar se pince les lèvres, hésitant à l'embrasser, mais c'était trop tôt... Il pose sa joue contre sa tête, passant une main dans son dos, laissant son corps se rapprocher de celui de son comte.
Gideon frisonne face à toute cette tendresse. il se serre contre Ekar et l'enlace de ses bras.
Alister glapit a plusieurs reprises, comme si c'etait un rire nerveux. Il s'aplatit et cache le sourire jaune avec sa queue.
Ekar a la gorge serrée, il a peur de faire un faux pas et de le voir à nouveau s'éloigner. Il passe son autre bras autour de Gideon lorsqu'il sent ses bras indécis autour de lui. Il le regarde dans les yeux, remontant toujours sa main dans son dos, jusqu'à sa nuque. Retenant son souffle, il passe ses doigts dans ses cheveux.
Gideon se plonge dans les yeux d'Ekar: comment tout ceci pourrait-il être mal? Qu'il y avait-il de mal dans toute cette tendresse? Il penche sa tête pour sentir les doigts d'Ekar sur sa peau et ferme ses yeux à leur contact. C'était ce qu'il voulait. Son poul s'accélère, il cesse à nouveau de respirer.
Alister continue de les observer, rouler en boule.
Ekar arrête ses doigts en le voyant fermer les yeux, son coeur se mettre à battre plus fort. Son visage s'approche de celui de son ami, donné à lui. Il s'arrête, reprend les caresses dans les cheveux doux du comte. Son autre main le pressant doucement contre lui. Ses doigts quittent ses cheveux pour caresser les joues du garçon, son menton...
Gideon rouvre ses yeux en sentant les doigt d'Ekar se promener sur son visage. Il s'aggripe à son ami et le regarde dans les yeux. Se mettant sur la pointe il vient déposer un baiser dans le cou de son ami puis le regard pour chercher son approbation
Ekar retient son souffle en sentant les lèvres du garçon se poser dans son cou. Le ventre se tordant, il baisse la tête et approche à nouveau son visage du sien, regardant ses lèvres, ses yeux, lui aussi cherchant une approbation. Se demandant si c'était le moment.
Gideon se lève aussi haut qu'il peut afin de laisser ses lèvres froler celle d'Ekar. Il laisse un souffle chaud réchauffer ekar. N'osant pas faire le premier geste, il n'avait jamais fait ça. Et s'il foiré tout en un instant? Alister va faire un tour pour retrouver le cheval de Gideon et une proie a ramener pour Eli.
Ekar frissonne, presse la main dans le dos de Gideon, l'autre main posée sur son épaule. Ses lèvres venant frôler les siennes avec douceur. Ekar sent une sourde excitation descendre dans son bas ventre tandis qu'il se penche pour appuyer fermement leurs lèvres l'une contre l'autre. Il reste ainsi une, deux, trois secondes avant de finir son baiser, sans pour autant s'éloigner de ses lèvres tendres et agréablement douces.
Alister suita piste du cheval, le retrouvant bien plus loin.
Gideon sent ses jambes se dérober sous lui. ilpose ses lèvres de nouveau et murmure le nom d'Ekar dnas un souffle. Des nouvelles sensations naissent en lui. Ses hanches s'élancent tandis que son coeur supplie.
Alister reprend sa forme humaine pour approcher le cheval en douceur. Il laisse le temls a l'animal de s'habituer a son odeur et sa presence avant de le ramener. Il se transforme rapidement, reprenant le chemin en sens inverse avec les rennes dans la gueule.
Ekar répond à son baiser, son désir se renforçant. Il l'embrasse à nouveau en l'entendant dire son nom. Il le colle contre lui, le serrant dans ses bras, le tenant fermemant, craignant que son membre virile tendu ne surprene Gideon. Il le regarde dans les yeux. "Gideon..."
Gideon tremble comme uen feuille, incapable de gérer le flot de sensation qui l'envahie. Il se raccroche à Ekar pour tenir, réfugiant son visage dans le cou de son ami.
Ekar a la gorge serrée, n'ayant jamais provoqué ce genre de réaction chez un homme. Il soutient le jeune comte, le gardant contre lui, le soutenant, ressentant ses tremblements - légèrement inquiet. Au bout de longues secondes, il demande la voix rauque. "Ca va ?"
Gideon sourit à Ekar. il avait du mal à respirer, ne tenait presque plus debout et tremblait comme dément. Pourtant pour rien au monde il ne demanderai à Ekar de le lâcher. Il hoche la tête en guise de réponse et laisse tout son corps se poser contre son ami.
Ekar répond à son sourire, comprenant qu'il lui fallait du temps. Il le garde donc dans ses bras, appréciant son contact, de sentir son souffle, les battements de son coeur affolé. Il dépose quelques baisers dans ses cheveux.
Gideon reprend petit à petit le contrôle de son corps. Ses tremblements diminuent progressivement avant de cesser. Il répondit aux baiser d'Ekar tendrement avec un sourire.
Ekar est soulagé en voyant que Gideon se calme. Il leve même son beau visage vers lui, et ekar depose un baiser sur ses lèvres. Il lui sourit. "Ca va mieux ? Tu veux... toujours... au lac ?"
Ekar est rassuré en le voyant se calmer, en sentant qu'il l'embrasse à son tour à chaque nouveau baiser. Souriant, il l'écarte un peu pour relever sa tete et l'embrasse à nouveau, d'une manière plus passionnée : donnant de petits baisers sur ses lèvres, en prenant une ebtre les siennes, goutant ainsi sa salive, le gout de ses levres.
Gideon ressent chaque baiser comme un cadeau et se laisser totalement. Il frisonne au baiser d'Ekar, le serre plus fort contre lui laissant échapper un gémissement dans son abandon.
Ekar le serre plus fort aussi, son gémissement étant doux et erotique à son oreille. Il quitte ses lèvres pour déposer des baisers sur ses joues, dans son cou. Ses mains, avides, se mettent à parcourir son dos, sa nuque avec passion, se faisant pressante sur son corps, chaque caresse pressant leurs troncs l'un contre l'autre. Ekar le regarde cependant, essaie de se calmer en sentant son désir s’enflammer à nouveau. ** le serre plus fort aussi,..
Gideon bis sent ses muscles se tendre. Son érection se fait plus grande. il rougit sous le regard d'Ekar, un peu honteux de son propre corps et tente de dissimuler son désir croissant en serrant les jambes.
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| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Jeu 1 Sep - 20:07 | |
| - "EKAR/ALISTER/GIDEON souvenirs du lac partie3:
Ekar l'embrasse tendrement, glissant une main sous le haut de Gideon pour lui caresser sa peau nu, être plus proche de lui. Son autre main descend sur fesse avec désir, le pressant contre lui.
Gideon bis répondant à son baiserpose une main sur le torse d'Ekar, il se demande s'il peut le toucher lui aussi il commence par caresser son cou, ses doigts viennent se balader sur le menton d'Ekar puis sa joue et à la naissance de ses oreilles.
Ekar sourit, apréciant le contact de ses doigts. Il continue ses caresses dans son dos, du bouts des doigts, laissant Gideon le toucher où bon lui semble. Ses yeux le dévorant du regard.
Gideon bis se rapproche d'Ekar, il adore sentir ses mains sur lui. Il tire légèrement sur le Tshirt de son ami. Il voulait plus, sans savoir trop quoi exactement.
Ekar regarde ses mains, il enlève son haut, et se rappelle soudain qu'ils sont au milieu d'un chemin. Il prend la main de Gideon et récupère son cheval. "Viens." Il l'entraînement rapide un peu plus loin puis le reprend dans ses bras, l'embrassant dans le cou.
Gideon regard Ekar avec tendresse et désir. Il vient alors mordiller la lèvre inférieur d'Ekar puis l'embrasse pour de bon
Ekar répond à son baiser avec un sourire, content qu'il ne se désiste pas. Il le serre contre lui, tout en l'embrassant et l'allonge sur l'herbe réchauffée par les rayons du soleil.
Gideon s'allonge sur le sol. il se rend compte qu'ainsi il peut regarder Ekar dans les yeux sans avoir à lever la tête. Satisfait, il vient poser sa jour sur celle de son ami avant de mordiller son lobe.
Ekar se perd dans ses yeux et rit, surpris, sentant ses dents sur son lobe. Ca le chatouille, et... l'exicite ? Réagissait-il normalement ? Eloignant cette question, il prend la main de Gideon, remonte ses doigts sur son bras, son épaule, son cou, avant de descendre le long de son torse la main plate.
Gideon imita Ekar en caressant ses bras, ses épaules. Ses mains descendirent le long de son dos avant de rencontrer le pantalon de son ami. Surpris de son oubli il baissa son regard vers le tissu avant d'apercevoir le membre durcit d'Ekar, lui rappelant son propre état. Soudainement embarassé, Gideon rougit brutalement, se crispant et déviant le regard un peu honteux.
Ekar suit son regard, se pinçant les lèvres que ça le mette si mal à l'aise. Il lui caresse les cheveux et vient s'allonger sur lui, leurs membres virils serrés dans leurs pantalons, l'un contre l'autre. Il tourne son visage pour l'embrasser, passant ses doigts sur ses lèvres. "Gid... on est pas obligé d'aller plus loin... C'edt déjà un grand pas pour toi." Il fait un sourire en coin, espérant ne pas le mettre encore plus mal à l'aise, mais qu'il se dise qu'il le comprenait.
Gideon regarde Ekar avec un sourire penaud. Il ne sait pas vraiment qui serait le plus gêné : Ekar d’être éconduit ou lui qui devrait gérer toute sa frustration. Il se met à jouer avec le tissu du pantalon d’Ekar, cherchant ses mots il se décide à parler mais n’ose pas affronter le regard de son ami. « je ne sais pas si… si je saurai bien faire. »
Ekar sent son hésitation et prend de grande inspiration pour calmer son ardeur. Ce qui n'est pas facile avec les mains de Gideon qui bouge le tissu de son pantalon. ^^' Il sourit tendrement à sa réponsd, caressant une mèche de cheveux : "Je te guiderais... et tu as tout temps pour apprendre." Il se penche à son oreille : "Je veux juste que ce soit toi."
Gideon rougit devant la confession d’Ekar. Il ne peut s’empêcher de sourire, celui-ci s’agrandissant à mesure qu’il accepte sa décision. Gideon hoche la tête une fois, puis vient déposer un baiser sur les lèvres d’Ekar. Il lâche son pantalon et s’excuse avec un sourire espiègle.
Ekar répond à son baiser, se disant qu'il devrait faire quelque chose de soft avec lui. Il réflechit mais n'a pas beaucoup d'idées. Il serre ses hanches contre les siennes, l'embrassant langoureusement, sa main se pressant sur son torse imberbe.
Gideon répond au baiser, il pousse un gémissement en sentant les hanches d’Ekar sur les siennes. Pourtant il plaque ses mains sur les épaules de ce derniers comme pour l’arrêter. Il va enfouir son visage dans le cou de son bien aimé pour s’explique « je ne pense pas tenir très longtemps… ».
Ekar se fige puis à petit rire. "Très bien." Il se redresse et enlève avec délicatesse son pantalon puis son sous-vetement. Il se déshabille aussi, pour le mettre à l'aise et se libérer de ses vêtements. Il soupire d'aise et approche une main de la virilité de son ami, se penchant vers elle en le regardant dans les yeux et commençant à la lécher.
Gideon retient son souffle devant la nudité d’Ekar. Il se fige lorsqu’il sent une main sur son sexe puis soupire d’aise face à cette nouvelle sensation. Rompant le contact visuel, il se cambre aux premiers coups de langue.
Ekar done de nouveaux coups de langue et prend le bout ente ses lèvres, descend doucement, appuyant sa langue de dessus. Ses yeux s'attarde sur le peu de poils qu'il a puis il commence des va et viens, le prenant profondement en bouche
Gideon ne peut retenir des gémissement de plus en plus fort. Il tremble légèrement sous le plaisir et plaque ses maisn contre sa bouche pour limiter les sons.
Ekar continue ses caresses, accompagnant le plaisir de Gideon avec ses mains parcourant son ventr, ses hanches.
Gideon se mord le dos de la main. Son corps ne li répond plus, et sa raison se dissipe un peu plus à mesure que le plaisir grimpe. il relâche sa main pour appeler Ekar, sa seule façon d elui annoncer qu'il allait bientôt se libérer.
Ekar comprend le message et approche lentement ses mains de la verge tendue. Attentif aux réactions du garçon, il retire ses lèvres pour les remplacer de ses mains quelques secondes avant son éjacultion.
Gideon sent son membre chaud se vider. il soupire d'aise uen fois terminé puis regard Ekar en cachant son sourire embarrassé.
Ekar continue un peu de le caresser puis revient s'allonger sur lui, caressant ses jambes contre les siennes, lui caressant le torse avec passion. Il le regarde avec des yeux de feu. Il hesitait à lui demander de se retourner ou d'écarter les jambes pour qu'il le prenne de la meilleures façons.
Gideon s'abandonne à la passion d'Ekar en répondant à chacun de ses caresses. Son coeur rate quelqes fois sous le regard de ce dernier, pourtant Gideon sent que quelque chose lui échappe. il dépose plusieurs baiser sur le coup avant d'un déposer un sur son oreille puis de susurrer: "quelque chose ne va pas?"
Ekar a la gorge qui se serre. Il l'embrasse dans le cou. "Je voudrais... commence-t-il la voix enrouée par le désir... te prendre." Il glisse la main entre ses jambes et vient toucher ce dont il parle.
Gideon tressaille sur le verbe. Il n'est pas sûr de bien comprendre... deux garçon pouvait aussi le faire? Il fait de grands yeux ronds à Ekar, tentant désespérement de forcer son esprit à imaginer comment.
Ekar se pince les lèvres et se dit que c'est une mauvaise idée. Pourtant, ses lèvres articulent : "Je te montre..." Il enfonce doucement ses doigts dans gideon, se mordant la lèvre inférieur, crispé.
Gideon s'accroche à ekar. Son coeur s'emballe, mêlant peur et désir à la fois. il hoche malgré tout et répond d'une petite voix "d'accord..."
Ekar l'embrasse doucement. "Si ça fait trop mal, tu n'hésite pas à m'arrêter !" Il se pince les lèvres et optent pour la position face à face. Il 'embrasse à nouveau, préparant le corps du garçon au plaisir en caressant son ventre, ses hanches, ses cuisses, descendant ses lèvres sur son torse. Il mamelon entre ses dents, le mordillant, écartant lentement les cuisses de son amant.
Gideon hoche la tête en entendant Ekar, il gémit sous les assauts d'Ekar et sent le désir monter à nouveau. Respirant lentement il se laisse faire et s'offre à Ekar timidement.
Ekar approche ses hanches de celle d'Ekar et remonte légeremenr ses jambes tout en les caressant. Il lui embrasse le torse avant de poser une main sur ses cuisses et entrer en lui. Il vient doucement, faisant des va et viens caressant pour passer plus facilement.
Gideon gémit sous le baiser d'Ekar. Il inpire brutalement en sentant ekar entrer en lui. Gideon reprend le controle en inspirant doucement, il tente de s'accrocher au sol mais celui lui glisse entre les doigts.
Ekar continue, pressant ses doigts sur les hanches de Gideon, retenant un gemissement de plaisir. Il y était enfin, dans Gideon. Il était enfin entièrement à lui. Il se penche un plus sur Gideon et vient plus profondément en lui par des mouvements souples des hanches, venant l'embrasser.
Gideon se concentra pour répondre d'Ekar. Gémissant à chaque coups de reins, il laissa sa voix virer dans les aigus à mesure que le plaisir montait. La douleur toujours présente elle, il s’aggripa au corps de son amant, enfouissant son visage dans son cou et dans un court moment d’égarement, Gideon mordit faiblement Ekar.
Ekar pousse un râle de satisfaction en le sentant prendre son plaisir, en sentant qu'il n'a plus qu'à continuer ses va et viens pour augmenter plus haut leur plaisir mutulle. Il sent les mains fines de son compagnon l'attraper avec force, le visage contre son cou et... Il ne peut que gémir de plaisir face à la morsure de son ami, et c'est avec un relant de vitalité qu'il se redresse un peu pour continuer leur danse érotique.
Gideon accueille Ekar dans le plus grand abandon. Peu habitué à la chose, il ne cherche plus à se controler pour vivre le moment présent avec Ekar.
Ekar bis accélère ses mouvements, ne pensant plus son plaisir qui est sur le point d'exalter. Dans un gémissement, il se serre contre lui, lui mord la lèvre intérieure, se libérant en lui. Le souffle court, il regarfe Gideon avec un sourire béa.
Gideon tremble de plaisir sous les sensations que lui procure Ekar. Il accepte son étreinte et se serre amoureusement contre lui. Il sourit en tendant le souffle avait d'éclater d'un rire cristallin, véritablemet heureux "je n'avais jamais pratiqué ce genre de sport!"
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| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Jeu 1 Sep - 20:18 | |
| - EKAR/ALISTER/GIDEON : souvenir du lac partie4:
Ekar ricanne, le serrant contre lui, "Je le pratique depuis des années !" Il enfouit son visage dans son cou, le corps soulagé, détendu.
Gideon rigole avec Ekar, il sent tout de même une jalousie irrationnelle monter en lui en entendce dernier...Des années hein! D'une voix légère teintée de tristesse il regarde le ciel "le soleil se couche". Aaaaah si cette journée pouvait durer éternellement!
Ekar ne veut pas l'entendre. Le soleil ne pouvait pas se coucher. Ils ne pouvaient pas déjà rentrer au château. Soudain, il sent quelques gouttes lui tomber dans le dos, puis c'est la saucer. Il se redresse, "Ce n'était pas le coucher de soleil !!" rit-il . Gideon grimace, il gesticule des bras comme si cela pouvait le protéger de la pluie. Il détestait la pluie. "aaaaaah! Allons nous couvrir!"
Ekar se relève, récupère leur vetement et cherche leur dernier cheval. Il le rejoint nu comme un vers et degoulinant d'eau et montre la forêt. "On sera plus à l'abri !"
Gideon regard Ekar avec un sourir amusé: ils avaent l'air malins comme ça! Une bande de fous qui couraient nus dans les bois! Il hoche la tête pour dire qu'il a cmpris et cours se réfugier vers la forêt.
Ekar bis le suit, et s'enfonce un peu sous les arbres, avant d'attacher leur cheval à une branche. Il essai de faire de trie dans leur vetement mais fait tout tomber. Il rit en voyant que leurs vetements son recouvert de saletés.
Gideon rigole en voyant leur vêtement: ahah on allait croire qu'ils étaient partis en guerre. étouffe un éternuement: non vraiment la pluie n'était pas son amie. Il se rapproche d'Ekar afin de profiter de chaleur corporelle. Se rapprochement lui rappelle les récents événements., une question lui traverse alors l'esprit mais il se demande s'il devrait la poser.
Ekar bis abandonne leurs vêtements en voyant Gideon se rapprocher. Il l'enlace avec douceur, leurs peaux collant l'une contre l'autre. Il lui caresse doucement le visage avant de l'embrasser.
Gideon répond au baiser avec tendresse. Il laisse ses balandaient sur les bras de son ami, le silence s'installe avant qu'il ne gagne le courage de parler "Est-ce que hm et bien euhm.... voyant qu'il ne pourrait pas poser sa question il décide de changer au dernier moment... pourquoi?'
Ekar bis fait un petit sourire : "Pourquoi quoi ? Si tu as une question, pose-la moi. Rien ne pourra me choquer !"
Gideon rougit devant l’honnêté d'Ekar avant de se dire que c'était exactement ce qui lui plaisait chez le jeune homme "sommes-nous des amants?"
Ekar bis fait un sourire pincé, lui caresse les cheveux, réfléchissant. "Je... Je t'apprécie beaucoup, et tu me fais rire... Tu m'as tout de suite plus. Mais... heu... je n'ai jamais eu ce genre de relation avant." c'est relation avait toujours resté physique.
Gideon fronce des sourcils, il se demande quelle genre de vie Ekar avait mené jusque là. Il se colle contre lui et lui embrasse le cou, le torse espérant que tout ceci l'amène à se confier plus facielment "et maintenant tu veux quoi?"
Ekar se mord les lèvres. "Je... voudrais..." commence-t-il puis se ravise, demandant : "Et toi ? Tu as déjà aimé quelqu'un ? Qu'est-ce que tu en dis ?"
Gideon regard Ekar avec suspicion. C'est qu'il cachait véritablement quelque chose! "Je répondrai à ta question quand tu aurras répondu à la mienne." Il se retourne pour lui faire face et s'asseoit sur ses genoux. "Alors, tu veux quoi?"
Ekar se tord la bouche. "Je veux être avec toi..." dit-il lentement, l'enlaçant. Il détoune les yeux, repensant à Aden. Il redoutait sa réaction si d'un seul coup il mettait fin à leur relation qui venait de prendre une nouvelle tournure.
Gideon sent comme un voile se poser sur les yeux d'Ekar. il n'insiste pas et s'évertue à lui remonter le moral "je veux être avec toi aussi! Quelle coïncidence!" Il lui sourit d'un sourire espiègle.
Ekar bis l'embrasse avec passion, le trouvant trop choux. Il pose son front contre le sien, lui caressant le dos.
Gideon il ricane et se laisse bisouter. tout d'un coup il prend une grand einspiration, regarde Ekar avec panique en mettant une main devant sa bouche "Et les autres? Tu penss qu'on parviendra à garder le secret?"
Ekar le regarde, secouant la tête. "Je n'en sais rien... Il le faudra en effet..." Il sourit soudain. "Mais je n'ai aucune envie de me cacher !" Il l'embrasse sur le visage, lui carressant les cheveux. "Je veux que toi sois à moi !" rit-il.
Gideon se met à rire bêtement. Appartenir à Ekar... L'idée lui plaisait, elle lui plaisait beaucoup! Il le serre contre lui. Il tente de ne pas penser à Elizabeth, sachant pertinemment qu'il serait incapable de garder le secret bien longtemps. "Il ne doutent vraiment de rien pour toi"?
Ekar ricanne : "Tu parles de qui ? Akané et Valézy le savent très bien !" Il ajoute rapidement, plus sombrement : "Ils l'ont su dés le début."
Gideon se fige, dès le début c'est à dire? "Ah bon? ils l'ont su comment?"
Ekar : "Tout le monde le savait où j'étais... et... des gars me serraient souvent dans un coin. Je devais avoir..." Il réfléchit, ne sachant plus trop. "dix... onze ans..."
Gideon borde Ekar, il ne se doutait pas qu'il avait pu avoir une enfance aussi difficile. Lui qui était toujours si enjoué... "Et tu l'a toujours su? Que était attiré par les hommes?"
Ekar secoue la tête. "Je l'ai vraiment su quand un mec que j'aimais bien a commencé à me toucher, et que j'ai réagi à ses avances." C’était après qu'il avait appris que ce garçon qu'il aimait bien avait agi sous les ordres d'un jeune homme qui le serra le premier dans un coin sombre.
Gideon hoche la tête. l'histoire d'Ekar semblait triste et pourtant Gideon avait envie de tout savoir sur lui... Il était encore trop tôt pour savoir le plus sombre. Ils avaient le temps maintenant "comment as-tu rencontré le prince?"
Ekar se pince les lèvres. "Je l'ai rencontré deux trois ans après son arrivé chez nous. On a travaillé une ou deux fois ensemble mais on ne s'est pas entendu tout de suite. Je faisais parti des personnes qu'on évitait, qu'on craignait d'approcher. Enfin, bref, fait-il avec un sourire, il m'a sorti d'un mauvais pas quelques temps plus tard et depuis je ne l'ai plus quitté."
Gideon ne comprend plus rien. Arrcihé chez qui? Travaillait ensemble? Akané n'avait été reçu comme prince? Son instinct de fouineur lui dit de ne surtout pas relever. il s'abstient de poser toutes question craignant de ne trahir son amant dans son désir d'en savoir plus.
Ekar soupire, restant silencieux. Il réfléchit à ce qu'il vient de dire à Gideon, espérant qu'il n'avait rien dis de compromettant.
Gideon fait la moue, puis soupire, bien sûr que ç allait arriver! "aaaaah ne t'inquiète pas. Tes secrets resteront tes secrets je ne les utiliserais pas! Au moins je dois rien à personne d'autre que moi!" il lui fait un clin d'oeil.
Ekar a l'impression de tout pouvoir lui, enfin tout ce qui le concernait car hors de question de dire quoi que ce soit à propose du prince ! Il l'embrasse au coin des lèvres. Mais pour le moment, il voulait parler de l'avenir. "Bien. On peut continuer à jouer aux bons amis ! et vous au seigneur ! Mais on pourra se retrouver où ? Dans ta chambre ?"
Gideon ♥ lève les yeux pour réfléchir... "Dans am chambre, la plupart du temps ça devrait aller. Il faudra faire attention à Alister et Elizabeth ils rentrent et sortent comme bon leur plaisent! Après j'imagine... Il regard Ekar avec une pincée de provocation, J'imagine que je peux bien te révéler deux ou trois secrets du château pour se retrouver à l'abri des yeux et des oreilles!"
Ekar sourit, amusé par ses paroles. "Je connais quelques passages secrets et des pièces peu fréquenté grâce au prince ! Mais je serais ravis d'en apprendre davantage." Il se penche pour l'embrasser. "Y a-t-il un moyen de me retrouver dans votre chambre quand je le désire." Il sourit, plaisantant.
Gideon ♥ fais de grands yeux ronds.... Bonne question. "ça serait plus simple c'est vrai... Mais Elizabeth se douterait immédiatement de quelque chose si elle nous voyait ensemble alors que je ne lui aurai rien dit" Il réfléchit puis sourit "tu veux les clefs?"
Ekar sourit. Cette preuve de confiance le touchait. Mais, s'il savait qu'il était un ancien voleur, le lui aurait-il proposé ? Il lui caresse le visage. "Si la pluie ne se calme pas, il faudra bien rentrer au château... et que dira-t-on pour nos vêtements plein de saletés ?"
Gideon ♥ sourit gêné, rentré.... Il n'osait pas dire que ses feses lui faisaient mal de chien et qu'il amerait bien rester assis jusquà la fin de ses jours! Il se demandait encore comment il était parvenu à se lever tout à l'heure. "On n'aurra même pas besoi de l'expliquer! J ne compte le nombre de fois où on est rentré dans un état bien plus lamentable avec Elizabeth."
Ekar lui sourit, admirant son beau visage juvénil. Il penche la tête. "Dans un état lamentable, toi et Elisabeth... j'aurais aimé voir ça." Il rit. "Et nos vêtements vont être pénible à remettre !" Il ricane encore, les yeux plongés dans les siens.
Gideon ♥ rougit sous les yeux d'Ekar et le regard tendrement. Le sentiment amoureux ets encore assez nouveau pour lui mais il adore sentir ces papillons dans son ventre! Il gonfle des jours pour feindre l'indignitation "à chaque fois on se fait réprimander! Comme si c'était de ma faute!" puis il prend un vêtement et le laisse tomber tellement il ressemble à rien c'était une chemise ou un pantalon? "Effectivement...."
Ekar ricanne : "On peut essayer de les nettoyer au lac, suggère-t-il, mais il faudra vous tremper."
Gideon ♥ a les yeux qui billent : le laaaaaaaaaaaaaac
Ekar sourit tendrement en voyant ses yeux pétiller. Il se redresse, prenant cela pour un oui. Il se lève et l'aide à se revelver, d'une main tendu. Puis, il reprend leurs vêtements en grimaçant et les pose sur la selle de leur cheval. Il prend les rênes et tend la main à Gideon, le voulant près de lui.
Gideon ♥ s’accroche à Ekar pour se lever puis il marche… lentement. Il décide d’adopter la marche en canard, très utile pour limiter les maux fessiers durant un déplacement. En voyant Ekar sur le cheval, ses yeux se remplissent d’admiration avant qu’il ne se rappelle être le seul à avoir mal. Il saisit la main d’Ekar, monte difficilement et laisse échapper un glapissement face à la douleur en s’asseyant.
Ekar lui jette un coup d'oeil en talonnant leur cheval. "Tu as mal ?" demande-t-il. Il baisse un peu la tête. "Désolé... au moins tu as apprécié, hein ?"
Gideon ♥ devient rouge cramoisie devant la question, il regard Ekar avec de grands yeux"hein?"
Ekar se pince les lèvres. "Tu sais, je ne l'avais jamais fait... avec heu... un novice."
Gideon ♥ éclate de rire! "La première fois que j'entends ce mot pour qualifier ma situation.. efnin mon ex-situation" il ricanne puis dévise son cou pour le regarder "tu as l'air d'avoir beaucoup d'expérience!" Il manque de demander sa premi-re avant de se rappeler des conditions de celle-ci... il décide e changer de sujet "Et ça fait quoi de prendre la virginité d'une jeune pur et innocent?" demande-t-il avec un pointe d emoquerie.
Ekar pouffe. "C'est très... jouissif ! Tu ressemblais à jeune demoiselle prête à être défleurée !" Il rit.
Gideon ♥ fait la moue, on le confondait suffisament avec Elizabeth pour ne pas être sûr d'apprécier la cmparaison "tu as déjà défleurée une demoiselle toi?" puis il tappote l'épaule de son amant pour protester "et même pas vrai! J'ai fait preuve de courage et de fierté!" il riait car il n'y croyait pas une seconde.
Ekar sourit : "C'est vrai." Il rit : "Je n'ai jamais touché à une femme de ma vie ! et n'en ait pas la moindre envie !" Ils sortent de la forêt, la pluie est devenu moins forte. "Hé ! regarde ! C'est ton cheval ! Il est revenu !"
Gideon ♥ applaudit son cheval "Très bien! Brave bête! Amenons la au lac avec nous!"
Ekar s'approche lentement du cheval, restant sur le sien et se penche pour attraper les rênes de l'autre, trouvant cela étrange que les rênes ne soient pas sur l'encolure. Il repart, caressant la main de Gideon autour de sa taille. Ils descendent jusqu'au lac.
Gideon ♥ chante sur le chemin jusqu'au lac. Il heureux d'avoir retrouvé le cheval ce qui ne lui vaudra aps de remontrance de la part du conseiller! Arrivé devant l'étendu d'eau il se tait, figé sur place.
Ekar ricanne d'abord en l'entendant chanter, puis il l'écoute avec un sourire sur les lèvres. Arrivé au lac, il se demande pourquoi Gideon ne démonte pas. "Hé ? Ca va ?"
Gideon ♥ regarde Ekar un sourire Béa aux lèvre et les yeux larmoyants "C'est magnifique! Waaah c'est génial! C'est tout bleu Ekar tu t'en rend compte!" dit-il en pointant les doigts vers le lac, il essaye de descendre du cheval.
Ekar se tourne vers le lac, tellement grand qu'il n'en voit pas l'autre rive. "Ce lac doit être immence ! L'horizon s'étence d'ici, à là-bas !" fait-il en montrant du doigt les deux points dont il parle. Il regarde Gideon qui s'agite derrière lui pour essayer de descendre. Il lui tend la main.
Gideon ♥ hoche frénétiquement la tête. il accepte la main d'Ekar et descend, puis oubliant son corps en convalescence, il s'élene vers le lac, ralenti sur le bord avant de plonger un pied dans l'eau puis de le retirer tout e suite "elle est super froide!"
Ekar rit en démontant. Il le suit : "On est trempé jusqu'aux os ! ca devrait aller !" et il prend subitement dans les bras, un bras sous les genoux, l'autre aux épaules. "J'emmène ma frêle princesse dans l'eau !" rit-il en s'enfonçant dans l'eau.
Gideon ♥ s'accorche à Ekar de toute ses forces. il rigole quand ils arrivent dans le lac. et il profite de l'eau "héhéhé! c'est magnifique!"
Ekar rit et le dépose alors qu'il a de l'eau jusqu'aux cuisses. Il avance encore un peu, prudent, ne sachant pas si le dénivelé était rapide. Voyant que non, il prend la main de Gideon. "On nage un peu ?" La pluie faisait des clapotis autour d'eux.
Gideon ♥ le regarde. Il ne sait aps nager, mais ça ne doit pas être très compliquer non? Même les chiens savent le faire. Il descend des bras de son amant et se rend compte que l'eau lui monte beaucoup plus haut, normal il est plus eptit il se retourne vers Ekar ".... Ah je déteste être petit!"
Ekar rit, le poussant devant lui, l'enlace par derrière, collé contre lui, frisonnant à cause de l'eau froide. Puis il fléchit un peu les jambes et tourne Gideonr vers lui. Leurs têtes sont à la même hauteur. "C'est mieux comme ça ?"
Gideon ♥ tape Ekar sur la tête "noooooooon! Espèce de sale gosse! " Il éclate de rire, l'embrasse et se libère de son étreinte, il commence à courire dans le lac "éhéh attrape moi si tu peux!".....? tiens on est plus lent dans l'eau!
Ekar ricanne. Il n'avait pas rit ainsi depuis longtemps. Il se frotte la tête puis part à la poursuite de Gideon, continuant de rire - bêtement.
Gideon ♥ court comme il peut, il sent son pied glisser sur une pierre: engloutit par la différence de niveau, il coule d'abord, avant de réussir à remonter à la surface puis couler à nivouveau. comprenant qu'il va se noyer, il commence à paniquer.
Ekar se dépêche de le rattraper, il s'étend dans l'eau et l'attrappe par le bras, pour le tirer vers lui. "Calme-toi ! Je te tiens !"
Gideon ♥ déglutit se débat encore un peu, il ne comprend tout de suite qu'il est sorti d'affaire. avant de s'accrocher à Ekar, planta inconsciemment ses ongles dans sa peau. Il reprend sa respiration et peu à pue ses esprits.
Ekar a du mal à nager avec ce poids supplémentaires. Il retient sa respiration, coulant parfois, mais réussi à revenir où ils ont pieds avec quelques coups de jambes. Il rit en retrouvant le contact du fond. "Hé bien ! Il faut faire attetion où tu mets les pieds !"
Gideon ♥ souffle, un bon coup. en remarquant que ses pieds touchent. "aaaah, c'est si compliqué de nager!" il se rapelle qu'il devra prendre des cours plus tard. Et regard Ekar, son rire lui donne le sourire mais il soudainement rès faitugée avec sa mort soudaine et propose de laver leur vêtement.
Ekar le garde dans le creux de ses bras et le ramène sur la rive, souriant.
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| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Jeu 1 Sep - 20:34 | |
| Alors notre petit couple à nouveau, Gideon retroue Ekar après que celui-ci ait fricoté avec un jeune vampire sanguinaire.... - EKAR/GIDEON : le troisième amant partie1:
Ekar est à deux doigts de le repousser encore, mais se mord la lèvre. Il soupire, fermant les yeux.
Gideon se serre plus fort pour le sentir contre lui. Soncoeur accélère et s'il perdait Ekar? Peut-être que lui n'était pas amoureux, dans la panique il ne souviens plus Ear avait-il assur d'être son amant ou pas? il le lâche, ne tenant pas à ce qu'Ekar se rende compte d eson état "est-ce que ça va?"
Ekar rouvre les yeux et se retourne, le regardant l'air abattu. Il baisse les yeux, hochant la tête. Comment pouvait-il lui dire... qu'il était pris dans une ralation maître-esclave sexuelle et qu'il y prenait son pied ?
Gideon prend la tête d'Ekar entre ses mains, il n'aime pas le voir comme ça. un peur irrationnelle s'empare de lui.c'était pas bon, pas bon du tout. D'une voix qui se voulait rassurante gideon plonge ses yeux dans ce regard perdu... "est-ce que tout va bien?"
Ekar prend une de ses mains et son revers. Il vient ensuite embrassé Gideon. "Ne crois surtout pas que t'y es pour quelque chose."
Gideon penche la tête sur le côté, "ah?" mais Ekar ne voulait aps lui en parler. Il vient poser son front sur son torse et y dépose un baiser malgré la chemise. il n'avait jamais autant détestait un vêtement. il hoche la tête pour dire qu'il comprends. Son coeur lui donne l'impression qu'il ve transpercer son corps, "est-ce que c'est en rapport avec la chemise?"
Ekar se pince les lèvres, hochant la tête. Il ne veux pas lui mentir, il le croit suffisament intelligent pour arrêter ses questions. Cependant, ils étaient amoureux, non ? Rien ne pourrait les séparer ? Il enlace Gideon en silence.
Gideon respire pur forcer son coeur à battre. il Ekar à son tour. Ne pas chercher à savoir était contre sa nature. Poutant il ne pouvait clairement aps aller plus loin sans le regretter. Gideon reste ensilence un temps dans ses bras, il hésites encore "est-ce que tu m'aimes?"
Ekar devient rouge, sent son ventre se tordre. Il sourit béa. "Je t'aime beaucoup... Je... j'ignore si c'est de l'amour..." Il lui caresse le visage. "Et toi ?"
Gideon rougit en voyant Ekar... d'un coup il s edit qu'il a l'air vraiment bête, il va cacher son viage dans ses mains "Moi aussi.... Enfin bref!" Il se tourne et cherche quelque chose dans la chambre pour changer de sujet "alors tu veux faire quoi?"
Ekar se pince les lèvres. Il a seulement envie d'être près de lui. "J'ai un jeu de carte." dit-il mollement.
Gideon hausse un sourcil avant de sourire "de chez toi?"
Ekar hausse un sourcil. "Ha, heu... non, c'est Alister qui me la apporté... J'ai des dés, c'est tout."
Gideon regarde "tu n'a aps pu emporté grand chose avec toi?"
Ekar prend une mèche de cheveux dans ses doigts. "Je n'ai jamais possédé grands choses." Il s'écarte un peu et ouvre un tirroir. "Regarde ! j'ai plein de vêtements depuis que je suis arrivé ici et regarde !" Il montre ses bracelets d'argent, en beaux cuirs et autre. "Tu as vu toutes ces merveilles !" Il regarde Gideon et perd un peu sa joie. Gideon devait trouver tout ça ridicule.
Gideon sourit devant l'enthousiasme d'Ekar! il l'encourage à lui montrer plus en se rapprochant pour voir et rigolant les différente vêtements. "Tu me fais un défiler?"
Ekar soupire, lui jette un coup d'oeil. "Tu sais bien que non." répond-il.
Gideon le regarde avec une lueurs provocatrice "Hm? Peur que tes nouveaux vêtements ne t'aillent pas?"
Ekar lève un instant les yeux au ciel. "Je les ai fais faire chez un tailleur. Ils me vont !"
Gideon restât bouche bée. "Carémment! Excusez moi Monsieur!"
Ekar soupire : "C'est le prince qui l'a voulu. Il a tout payé." Il n'était pas fier mais il n'avait aucun argent. Et puis puisqu'il était au service du prince, c'était un moyen comme une autre de le payer.
Gideon hoche la tête, oui c'étai normal après tout. "Et bien, tu es son suivant non? Et non son domestique, tu le représentes d'un certaine manière dis que..." il plisse les yeux remarquant quelque chose pointant le doigts vers le cou d'Ekar il demanda inquiet "c'est quoi ça?"
Ekar touche son cou et touche le bandage. Evidement, même s'il avait relevé le col de sa chemise, les bandages se voyaient. "Je me suis blessé." dit-il vaguement. Il pioche un bracelet fin en cuir avec de petites pierres bleus. "Il te plaît ?" demande-t-il en lui montrant.
Gideon s'approcha d'Ekar pour voir le bandage. il se laisse distraire par le bracelet "ah c'est jolie!"
Ekar sourit et lui prend le poignet. "Je te le donne." Il lui accroche.
Gideon le regarde surpris. "Hein? C'est gentil mais pas besoin tu sais?" ille regarde avec un sourire avant de retomber sur son cou. "aaaah Où est ta trousse de secours! Qu'on s'occupe de se truc!", il se dirige vers ce qui ressemble à uen salle de bain et cherche du regard queque chose qui y ressemble.
Ekar le suit et le prend par le bras. "Hé, calme-toi !" Il le tourne vers lui. "Ce ne sont que des égratinures !" Il se fige, le regarde, se pinçant les lèvres. Si ce n'était que des égratinures, pourquoi les cacher ?
Gideon lève les yeux en l'air "certes certes,mais c'est vraiment moche on doit pouvoir le changer avec un truc plus discret je vais te montrer regarde", il saisit une pommade qu'il reconnaît, une grande propriété de qui permettait de guérir les petites blessures, puisqu'il en avait pour il ne s'en servait pas? Il lui sourit en lui montrant le bocal avant de s'approcher d'Ekar, et d'arracher le bandage d'un coup. "regarde maintenant tout ce que tu as à faire c'est...Ah!" il pousse un cri et lâche tout ce qu'il tient en voyant les blessures.
Ekar essaie de cacher sa blessure, regardant le pot cassé à leurs pieds. Est-ce que leur relation allait finir comme ça ? Se reprenant, il relève les yeux vers Gideon. "C'est rien..."
Gideon cligne des yeux. Est-ce qu'il avait bien vu? sisi, il les avaient vu hein? Par la grâce d'Ilyssa est-ce que c'était bien ce qu'il avait vu? Reculant d'un pas comme si Ekar lui même était dangereux Gideon le regarde avec une pointe d'inquiétude dans la voix "si ce n'est rien alors pourquoi tu le caches? qu'est-ce que ce que tu caches Ekar?"
Ekar a le coeur qui s'emballe. Il se détourne et revient dans sa chambre, fermant le tirroir. Que devait-il lui dire ?
Gideon tente tant bien que mal de surmonter sa peur. "On va soigner ça d'accord? On va parler et soigner ça" il se mit à chercher la trousse et répétant sans cesse qu'il allait soigner Ekar.
Ekar soupire et s'asseoit sur son lit, les coudes appuyés sur les genoux. Il passe ses mains sur son visage. "Je vais très bien. Ne panique pas."
Gideon trouve ce dont il a besoin et reviens dna sla salle. Il 'est un peu calmé et parviens déjà plus à réfléchir. I va s'assoier près d'Ekar et le regarde gravement "... Je pense qu'il faut que tu me parles."
Ekar détourne le visage. "Ce n'est pas une bonne idée." Il se tourne vers lui. "Ne t'en fais pas. Ca va disparaître dans peu de temps..."
Gideon se force à respirer. il manque de s'enfuir de l'autre bout de la pièce lorsqu'Ekar se retourne mais il se contrôle. non non, il aimait Ekar, son amant n'allait pas lui faire de mal et il avait besoin de respirer et de lui faire confiance. il fallait qu'il parle. Gideon parlait lentement, cherchant ses mots e cours de route "j'ai vu, j'ai vu quelque chose et ça ne ressemblait... ça ressemblait à ce genre de truc qui fait que tu ne devrais pas être là. As tu la moindre idée de ce qui pourrait se passer si quelqu'un te voyais avec ça sur toi? C'est...oh putain Ekar, c'est arrivé comment?" Un vampire.... un putain de vampire dans le château!
Ekar secoue la tête. Décidément, les gens de se royaume avait de la merde dans les yeux ! "Gid... ca va. Je sais ce que je risque... mais, ce n'est pas la première fois. Je sais les cacher."
Gideon a les épaules qui tombent "comment ça pas la première fois?"
Ekar se mord la lèvre. "Ecoute ! Merde ! Je ne vais pas me transformer et te sauter dessus ! Vous avez quoi dans ce royaume avec les êtres magiques ! Ce ne sont pas tous des tueurs assoiffés de sang !" Trop anxieux par toutes les questions de Gideon, il ne faisait plus attention à ses paroles.
Gideon sursaute, il fait une moue devant les remontrances d'Ekar. Respirant un bon coup, il passe la main dans les cheveux d'Ekar "Hmmmm désolée! D'accord? C'est vrai que j'ai la frousse des vampires alors!" De toutes les créatures eles étaient sans doutes l'une des plus difficile à tuer... Et concrètement parlant il ne ferait pas long feu face à l'un, même pas l'ombre d'une demi-seconde. Ajoutant avec plus de légerté, Gideon lui sourit "J'imagine qe si c'est toi qui me mord ça va!"
Ekar se fige en voyant sa main se lever. Il se détend un peu et finit même par sourir. "Je ne suis pas un vampire, et ils ne sont pas tous comme l'autre énergumène qui m'a mordu." Il se penche et l'embrasse dans le cou. son bandage s'est un peu enlevé, et de ce côté-ci de son cou, ce n'est pas une morsure de vampire, mais un gros susson presque un bleu qui se voit.
Gideon respire profondément et serre Ekar contre lui. "Tu as fait la rencontre de vampires Et tu es toujours en vie?" s erendant compte de se sparoles il lève une main "ceux sont les paroles d'une garçon qui n'a jamais vu la emr je te rapelle! J'ai été élevé à craindre le créatures dans ce genre maintenant je n'en ai jamais rencontré..." Il se demande comment il réagirait s'il apprenait que quelqu'un dans son entourage était magique.... La curiosité refaisait surface "pourquoi il t'a mordu?"
Ekar est se détend dans ses bras. Il le serre à son tour, se rapprochant de lui. "Les créatures magiques peuvent avoir des pouvoirs étonnants, mais la plupart sont comme... toi et moi, ils veulent juste vivre en paix." Il baisse la tête, vient poser la sienne sur celle de Gideon. "Akané m'a parlé de la guerre, des vampires... mais, pour moi, rien ne justifie leur élimination. Le vampire dont je te parle fait parti de ces quelques personnes sans foi ni loi qui pullulent sur cette terre."
Gideon réfléchit aux paroles d'Ekar. Elles lui semblent justes, lui-même ne leur avait jamais vraiment rien reprocher... Et persone n'était dupe devant les massacre commis par la courrone. "Je sais... Malheureusement on est bien peu à penser ça." Il lui donna un bisous sur l'emplacement de la blessure avant de se rendre qu'il ne sagissait pas d'une morsure mais plus... Afin d'en être sûr il passa un doigt dessus, c'était plat. Serrant Ekar plus fort encore contre lui "C'est ce vampire qui t'a fait ça?"
Ekar fait un petit sourire : "J'espère que tu te trompes." Il se mord la joue intérieur en sentant le doigt de Gideon dans son cou. Ekar détourne le regard, sentant son ventre se tordre. Il baisse la tête, ses yeux devenant humides. "Je lui ai demandé de me laisser tranquille... Pour punir il a aposé ce type de marque sur mon corps, pour que tu puisses bien les voir." Ce n'était que la pure vérité après tout.
Gideon écarte grand les yeux. Sans un mot il amène Ekar à s'allonger et s'attèle à déboutonner sa chemise. il voulait voir. Voir d elui même ce que ce vampire voulait tant lui montrer.
Ekar n'a pas la force de le repousser et le laisse faire en détournant la tête. Il l'aide à enlever, un, deux boutons, et laisse ses mains tomber sur le lit.
Gideon ouvre grands les yeux en voyant les marques. Il casse pendant un moment de respirer. Du bout des doigts, il caresse chaque marque qu'il voit, en silence. L'instant dure un certains moment jusqu'à ce qu'il regard, s avoix est glacial "Son nom."
// Ekar se tend de plus en plus. Il finit par se tourner vers Gideon dont le visage si gaie d'habitude est rongé par l'inquiétude et la colère. Il répond à sa question la voix rauque. "Je ne te le dirais pas. Il est trop dangereux."
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| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Jeu 1 Sep - 20:45 | |
| - EKAR/GIDEON : le troisième amant partie2:
Gideon sourit avec un air mauvais. Pourquoi Ekar le protéger? Une haine irrationnelle s'était déjà emparé de lui, semblable à celle qui l'animait quand on s'approchait trop près d'Eli. Ce bâtard avait touché Ekar SON Ekar. Il ne s'en sortirai pas comme ça. Sous la colère Gideon avait du mal à se contrôler, l plonge ses maisn dans les cheveux d4ekar et les empoignes "Ne. Le. Defends. Pas, tu m'entends? Je ne suis peut-être qu'un petit compte, mais je suis un petit comte sous la tutelle du conseiller en personne, donne moi son nom Ekar!" il respira longuement, tentant vainement de se contrôler par de grands inspiration et de ne aps écraser le cerveau de son bien aimé. Puis i ajuta difficilement "S'il te plaît", comme si la politesse pouvait changer ses réactions.
Ekar fronce les sourcils. Comment lui dire qu'en fait, c'était le prince et lui-même qu'il protégeait ? S'il dénonçait Aden, Aden dénoncerait le prince d'avoir un sorcier dans ses rangs. Et vu le caractère du roi, pas sûr qu'Akané s'en sorte indème. Néanmoins, il était touché par l'attitude de Gideon. Il se redresse et le met à sa place sans que Gideon n'ait le temps de réagir. S'allongeant sur lui, il l'embrasse. "Merci, mais je gère seul." Il attrape ses poignets et bloque ses bras, posant sa tête contre son épaule. "J'ai mes raisons de taire son nom. et si c'était un autre... je t'aurais mis à la porte depuis longtemps !"
Gideon se laisse faire par Ekar et répond au baiser d'Ekar. en l'écoutant il se force à rationnaliser. Bien s^r l'enfoiré avait un point de pression sur lui. Il embrasse les cheveux de son amant... S seulement il pouvait faire plus! Ces marques le renderaient fou! il fait tout de même la moue en l'entendant "me mettre dehors? Un garçon aussi sexy que moi?" il rigole à sa blague.
Ekar fait un sourire en coin. Il passe les mains sous lui pour l'enlacer avec force. "Je suis désolé !"Il dépose de nombreux baiser à travers le tissus.
Gideon soupire d'aise sous les baiser d'Ekar, comme il s'en dotait son corps abandonne ses défense au fur et à mesure "désolée de?" parvient-il à murmurer.
Ekar relève la tête, le serrant toujours. Il se pince les lèvres : "Désolé pour lui... Désolé qu'il me tienne et... que... je l'apprécie comme même." résuma-t-il.
Gideon fixe Ekar avec stupéfaction en attendant la fin de sa phrase. "Ah..." il tente de parler mais sent juste les larmes monter. Qu'est-ce qu'il raconte qu'il l'apprécie? il n'était pas forcé? si Mais il l'appréciait quand même? plus que lui? il essaye de retenir ses sanglots mais son corps commence à trembler
// Ekar se redresse et l'embrasse. "Je ne l'apprécie pas de cette manière, il me tient sous son jouc, mais ce n'est que... ce n'est que physique avec lui. Toi Gideon..." Il secoue la tête lentement, cherchant ses mots, les yeux brillants de tendresse, pétillants. "... je t'aime ! J'en suis sûr maintenant !" Il avait peur de le perdre, voulait être prêt de lui... il pensait à lui tout le temps, il voulait être contre lui, le voir pour ne rien dire, sentir sa présence. C'était évident, non ? Comment avait-il pu faire pour ne pas le voir ! "Je t'aime ! l'embrasse en voyant ses yeux embués de larmes.
Gideon se mord les lèvres. quelques larmes coulent en entendant la confession d'Ekar. aaaah il l'aime. le comte serre son amant sur lui, profite de chacun de ses baisers et l'embrasse à son tour. Il embrasse son sou et tombe sur le susson. Réagissant à un pique de jalousie, Gideon mord Ekar au susson afind e tenter de le recouvrir de sa propre marque. ça marche, se rendant compt de son comportement, il le regarde et rougit, honteux de ses réactions "Désolée..." pourtant il avait envie de le faire sur chacune et de clamer Ekar comme sien! Il voulait le crier sur tous les toits et brandir leur relation aux yeux de tous. il le voulait lui, plus qu'il n'avait jamais rien souhaiter avoir dans sa propre vie. "Je, je t'aime, je veux que tu sois à moi." il aurait voulu ajouter qu'il ne supportait l'idée de le voir appartenir à quelqu'un d'autre mais il se tut. Pas la peine d'en rajouter.
Ekar rougit, la gorge serrée, le coeur ne cessant plus de tambouriner dans sa poitrine. "Tu peux, me mordre. Ca ne me dérange pas."Il passe la main dans les cheveux. Ne te gêne. Mon corps ET mon coeur t'appartienne." Aden ne pourra jamais lui prendre ça. Leur amour réciproque.
Gideon se sent pousser des ailes. Ekar lui appartient! A lui! Il ne peut s'empecher de sourire et d'en être terriblement heureux. il serre contre lui et embrasse, mordille et suce chaque marque qu'il peut. Pendant ce temps, son corps réagit et le désir qui monte clayronne un appel puissant. il voulait Ekar, lui montrait qu'il lui appartenait également. l'embrassant une énième fois, il le couvre de caresse et vient murmurer son nom au creux de son oreille "je t'aime, je ne suis rien qu'à toi..."
Ekar se met sur le côté pour lui laisser accès à son corps, puis sur le dos. Le changement d'attitude de Gideon le rassure, le calme. Il finit lentement par ressentir un doux désir, qui chasse le souvenir d'Aden et de toute cette histoire sordide. Il l'accompagne, lui caressant tout le corps. Il sentait Gideon plus sur de lui, plus aimant, plus joueur. Il le prit au mot en entendant ses mots et se cambra pour se redresser, le rejettant en arrière pour le faire tomber en arrière, se trouvant tout deux la tête au pied du lit - et les pieds à la tête de celui-ci. Il l'embrasse fugueusement, retire son haut avant de venir parsemer son corps de caresses et de baisers !
Gideon soupire sous les baisers d'Ekar, il ne cesse de le caresse, de rapprocher leur corps l'un de l'autre. Devenu sensible par tous ces baisers, il gémit à l'un d'eux frsionna de plaisir sous le corps de son amant. Carressant le torse de se dernier il descend ses mains jusqu'au bas ventre sus pendant son geste pour effleurer l'intimité d'Ekar. Jouant avec lui ainsi, il vient lui mordiller gentiemment l'oreille avant de sucer doucement puis réitère deux fois sur le cou et une fois sur le torse avant de regarder la réaction D'ekar, un sourire séducteur et légèrement moqueur sur le visage.
Ekar sourit, regarde Gideon avec tendresse, amusé par son comportement. Il l'embrasse : "Je te montre." chuchote-t-il. Il prend la main qui le caresse doucement et appuie un peu plus les doigts de son amant sur son intimité, montant, descendant.
Gideon bis regarde Ekar avec de grands yeux, il cherche à apprendre et se concentre sur le geste. il pose son front sur son torse. Etrange comme procurer du plaisir pouvait lui en donner!
Ekar finit par le laisser faire et lui embrasse sa chevelure couleur d'or. Il continue ses caresses puis vient l'embrasser dans le cou, tout en caressant les cuisses et les hanches de son ami.
Gideon bis gémit sous les caresses. timidement il rapproche son propre sexe de celui de son amant et tente de les caresser ensemble!
Ekar fait un léger sourire et vient embrasse Gideon, l'aidant dans son geste. Son désir augmente, il était si doux, si mignon.
Gideon bis accélère ses va et viens. Il se cambre légèrement, sentant que désir va bientôt se lâcher. Aaah jeunesse! il n'était pas encore très endurant. il réponds langoureusement au baiser d'Ekar murmurant son nom.
Ekar voit son changement d'attitude, et vient le caresser avec sa main, éccélerant doucement le rythme.
Ekar vient le mordiller dans le cou, lui prenant les deux mains pour froter leur deux intimités ensemble. Son souffle est profond, il vient langoureusement. "Je t'aime !"
Gideon bis enlace Ekar contre lui. il soupire, l'embrasse et lui sourit.
Ekar lui mordille les lèvres, le menton, avant de s'attaquer à son cou. Il le mord un peu plus fort, lui aussi imposé sa marque. Il recommence au niveau de l'épaule, attentif aux réactions de Gideon. Il frotte plus rapidement leurs verges tendus, s'aidant de sa main pour augmenter leur désir.
Gideon inspire grandement, les morsures l'excite plus qu'il ne l'aurait imaginer. il soupire, se cambre avant de s'accrocher à lui. plongeant ses mains dans les cheveux de son amant, il le regarde avec ardeur "est-ce que je peux.. essayer?"
Ekar sourit, pouffe : "Quoi ? Qu'est-ce que tu as en tête ?"
Gideon bis pousse Ekar du bout des doigts fan d'amener se dernier à s'assoier. il ne le quitte pas des yeux puis l'embrasse une fois qu'ils sont tous les deux assis sur le lit. il l'embrasse sur la joue, le menton et le cou. il descend sur le torse avant de descendre plus bas. Regardant alors le phallus dressé d'ekar, Gideon a une soudaine perte de confiance... Pas sûr que ce soit une bonne idée; Il commence par embrasser tendrement cette partie.
Ekar le regarde, souriant, le laisse faire, comprend ce qu'il veut. Il lui caresse la tête, sentant déjà un vif désir monter en lui. Le simple contact avec ses lèvres le fait frissonner. Oui, son bel amant se réveiller au plaisir masculin !
Gideon hésite encore un peu, scrutant les réaction de son amant, il joue avec la virilité de ce dernier avant de l'enrouler de sa langue et de le prendre en bouche.
Ekar a la main qui se crispe sur le bras de Gideon, ce jeu lui plaisait beaucoup et il n'attendait plus... Il se cambre et accueille avec un gémissement les premières caresses. *oui...*
Gideon bis joue avec sa langue avant de se rendre compte qu'il peut faire autrement, il suce douchent et de plus fort avant de ralentir: respirer en même temps s'avérait être assez difficile! Pourtant la veille Ekar n'avait pas l'air de s'asphyxier! il finit par se relever pou respirer un bon coup.... ah de l'air. Regardant son amant avec un sourire penaud, il passe la main dans ses cheveux embarrassé "héhéhéhé je pense que... et bien j'ai peut-être besoin d'aide?"
Ekar est surpris qu'il s'arrête et sourit en le voyant reprendre son souffle. Il penche la tête sur le côté pour mieux sentir les caresses, ricannant. "Un peu d'aide ?" se moque-t-il.
Gideon rigole de son ridicule "moque toi! je n'ai pas passé mes classe de fellation figure toi!" il rigole un moment puis l'embrasse. "Montrez moi comment vous séduire messire..."
Ekar rit : "Messire ?" Il l"embrasse à son tour. "Il faut respirer quand tu es en haut et pas tout le temps si tu veux me donner plus de plaisir. Un peu comme quand on joue d'un instrument de musique - enfin, d'après ce qu'on m'a dit !" Il sourit, le caressant la joue.
Gideon comprend mieux, il garde en tête une question pour lus tard. et se penche à nouveau vers le sexe de son amant. deuxième round! il commence par sucer le bout avant de le reprendre plus lentement en bouche.
Ekar s'appuie sur un bras, caressant ses cheveux blonds, l'exitation l'ayant un peu quitté. En sentant à nouveau les efforts de Gideon, il vient lui caresser le dos, le cou, les oreilles.
Gideon bis frissonne en sentant les caresses, une idée lui traverse alors l'esprit. De sa main forte, il caresse les parties qu'il n'a pas en bouche. Les mains d'Ekar s'arrêtent un instant. Il sourit surpris par son geste, et sent un désir vif lui prendre le bas ventre. "Tu y arrive." dit-il difficilement, reprenant ses caresses. Gideon bis continue de plus belle. Son propre désir monte en lui avec bien lus de force que précédemment. il regarde Ekar avec désir, ah il voulait le sentir avec lui, comme au lac...
Ekar baisse les yeux sur Gideon, souriant en croisant son regard. A quoi pensait-il encore ? héhé
Gideon bis relâche la virilité d'Ekar de ses lèvres mais pas de ses mains. il accélère le mouvement de ses derniers et se redresse. Jetant son embarras précédent par la fenêtre, il vient se coller contre et dépose le phallus dressé d'ekar entre la rai de ses propres fesses..... il soupire d'aise, jetant sa tête en arrière dans le même instant.
Ekar le serre contre lui, déposant de virulent baisers dans son cou avant de le rejeter en arrière, gardant leur intimité l'une contre l'autre pour mieux entrer lui. Poussant un râle de plaisir, il s'enfonce en lui, avec moins de douceur qu'il aurait voulu. Trop avide de son corps, de l'entendre gémir et frémir sous ses caresses.
Gideon bis étouffe un cri lorsqu'Ekar vient en lui. il se cambre sous le plaisir, cette fois-ci ses mains saisissent les draps et il s'y accroche de toute ses forces. son coeur bt la chamade prêt à exploser, il gémit sous le corps de son amant sans retenue.
Ekar continue ses va et vient, venant profondément en lui avant de se faire ample et doux. Il gémit à son tour, frottant son ventre sur l'intimité de gideon pour le prodiguer encore plus de plaisir. Qu'il était bon, qu'il l'aimait ! et il ne faisait qu'un. Malgré Aden, malgré le prince - qui l'avait puni... Il vient l'embrasse langoureusement.
Gideon bis se met légèrement à trembler: serait-il jamais habitué? il lâche les draps pour agripper Ekar, ah, il sent son ventre contre son sexe et le septième ciel lui semble à porter de main. S'abandonnant complètement, il laisse sa voix porter les deux amants jusqu'au plus grand plaisir de leur union.
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| | | Sayanel ♞ Graphiste et modérateur
Emploi ou situation : Au service de sa majesté le Roi Localisation : Un endroit plein de charmes et de belles rencontres ^^
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Jeu 1 Sep - 21:02 | |
| Après avoir appris pour Alister et sa soeur, Gideon a vu sa propre liaison avec Ekar révélé devant s amoitié, il est temps d'avoir une discussion! >.< - ELIZABETH/GIDEON :
Elizabeth esquive son baiser :" et hier c'était quoi ? et ne fait pas le coup de l'envie pressante"
Gideon hausse les mains un sourire moqueur aux lèvres, il joue à l'innocent qui tente son coup quand même "une envie pressante ?"
Elizabeth le regarde blasée, avant d’éclater de rire.
Gideon l’enlace, et lui donne un bisous sur la joue. l'incitant à s'asseoir avec lui il parle d'une voix basse "tu as raison: je pense qu'on doit parler ma soeur"
Elizabeth s'assoit et se calme :"qu'as-tu a me dire ?"
Gideon hoche la tête, pensif "beaucoup de chose. Mais toi aussi non?"
Elizabeth hausse les épaules :"Alister t'a tout dit. il est un ami procje et mon confident. et toi?"
Gideon la regarde blasé "si tu me mens je te mentirai aussi! Je me suis fait un nouvel ami et ça semble intéresser des gens."
Elizabeth regarde Gideon avec un sourire en coin :"un simple ami dis-tu? comme je l'ai croise dans nos appart et dans ta chambre je dirais plutôt un amant, non ?"
Gideon la regarde avec un sourire espiègle en la prenant dans ses bras: "Noon ça c'est le nom qu'on donne aux domestiques avec qui mesdames prennent leur bain non?"
Elizabeth rougit légèrement et detourne son regard :"tu nous as entendu...." apres un bref silence, elle reprit :"ca te gêne ?"
[23:46:07 27/08/14] * Gideon regarde sa soeur tendrement. Décidémment il ne pouvait rester longtemps fâché contre elle. "gêné? J'ai été en colère. Beaucoup. Mais tant que tu m'aimes j'imagine... que ça va?" lui même n'est pas vraiment sûr.
[23:47:51 27/08/14] * Elizabeth soupire et le regarde un peu mal a l'aise :"que sais-tu exactement ?"
[23:49:38 27/08/14] * Gideon lui fait un bisous sur la joue "beaucoup de suppositions. Je sais que vous êtes proches et je sais qu'il ment lorsqu'il me parle de toi. Je sais que tu me mens lorsque tu me parles de lui, alors je dirai que vous êtes amants? Et que tu n'as osé me le dire."
[23:51:41 27/08/14] * Elizabeth le maudissair pour ses suppositions a la con qui etait etonnemment vrai pour une fois :"Je..." elle se mord la levre et lui repond :"je ne veux pas que tonton Ewald le sache... je l'ai cache a tout le monde"
[23:54:28 27/08/14] * Gideon lui fait un grand sourire. Ainsi donc il était dans le vrai, pourtant pour uen fois avoir raison le rendit d'avantage triste et son sourire le quitta pour une petite mine "je suis donc "tout le monde"."
[00:28:09 28/08/14] * Elizabeth soupire et regarde Gideon en toute sincerite :"ecoute Gideon, je comptais vraiment te le dire il me fallait du temps..." elle enlace son frere et lui fait un bisou :"tu seras toujours mon frere et Ali ne. dressera aucin mur entre nous, je te le promets. on restera Eli et Gideon d'accord ?"
[00:31:31 28/08/14] * Gideon vint embrasser son cou et la prend dans ses bras. Eli et Gideon. Il essaye de ne aps pleurer... "D'accord." Il la serre encore contre lui puis lâche sur un ton désilvolte "Il est pas mal Alister."
[00:35:06 28/08/14] * Elizabeth soupire doucement, elle savait qu'elle venait de le blesser :"Gideon..." elle lui sourit :"dans quel sens ? au lit, je suis plutot satisfaite oui..." elle se mit a rire :"je naurais jamais cru qu'on partagerait ses secrets la..."
[00:37:02 28/08/14] * Gideon rougit. Il se demandait si c'était la bonne voie....oh et puis merde! Sa jumelle quand même! ils avaient un devoir de tout partager! "C'est vrai! On dit que c'est la face la plus importante du couple. Donc il est...bien!" puis il ricanne tant d'embarras que de joie: ils se retrouvaient!
[00:41:13 28/08/14] * Elizabeth rit aussi face a l'embarras de son frere, reflet de sa propre gene. Puis il y eut un petit blanc :"Et puis, apparemment je ne suis pas la seule a avor decouvert se plaisir la..," elle sourit en coin, guettant la reaction de son jumeaut "alors ?"
[00:42:40 28/08/14] * Gideon devient cramoisie "tu es sûre que tu veux savoir?" il ne la réprimandait pas, mais c'était en effet un pas dans leur relation sur lequel il ne pourrait plus revenir!
[00:44:55 28/08/14] * Elizabeth le regarde surprise : "Attends... Vous l'avez vraimenr fait ? oO" elle avait lance ca comme ca, s'attebdabt a une reponse negative de sa part.... "vous faites ca comment ?" la curiosite etait un tres vilain defaut et Gideon en suvirait les consequences...
[00:48:06 28/08/14] * Gideon rigole et tapotte dans le smaisn de sa soeur dans l'exitation "la lupart du temps je ne suis pas vraiment en état de comprendre ce qu'il se passe. Ekar est vraiment TROP doué! AAAAAAh Mais c'est un peu compliqué pour les garçons!" il rigole, et s'agite
[00:51:12 28/08/14] * Elizabeth ne peut s'empecher de rire face a la reaction de son frere :"donc tu es le soumis... bon sang Gideon, prouve lui que tu es un homme et que tu as des couilles !" roh ! d'accord il etait son sosie mais quand meme ! et cet idiot qui se laisse faire...
[00:56:56 28/08/14] * Gideon s'étonne en entendant Elizabeth "le soumis?!? " il essaye de répliquer. Ouvre puis ferme la bouche puis laisse ses épaules tombées "Elizabeth, tu me bats à l'épée et je suis sûr que si j'essaye de te coller un pain j'aurai plus mal que toi! Aucune chance que je prenne les rennes!" Puis il la regarde avec un sourire espiègle "en plus ce n'est aps si mal, je sais pleiiiin de chose pour satisfaire un homme!"
[00:58:55 28/08/14] * Elizabeth le regarde blase :"certes mais tu as pense a qu'il pourrait s'en lasser ? innove, surprends le " elle lui fait un clin d'oeil
[01:01:40 28/08/14] * Gideon la regarde surpris "C'est vrai..." tout d'un coup l pense à Aden. Il force cete pensée à partir. Pas maintenant, surtout pas maintenant "enfaîte... je ne sais pas ce qu'il aime."
[01:02:32 28/08/14] * Elizabeth lui sourit :"demande lui"
* Gideon hoche la tête puis regarde sa soeur "et toi? ça ne te gêne pas lui et moi?" il avait encore un peu du mal à y croire. C'était presque trop beau pour être vrai....
* Elizabeth inspire profobdement :"je ne l'aime pas."
* Gideon reste tétanisr "que-que quoi?
Elizabeth le regarde outre :'il m'a insulte d'etrangere et d'inconnu, que je vois le mal partout..." elle soupire :"ecoute Gideon, si tu laimes alors je ferais un effort mais s'il te fait souffrir, abandonne le et grand bizn nous fasse"
Gideon hoche la tête avec un sourire coincé. Il ne lui parlerai aps d'Aden donc. Pas encore du moins car cette conversation deviendrait elle aussi inévitable. "Il est gentil. Il n'as pas l'habitude de.. tout ça" il fait des gestes pour désigner la cour entière "et je crois qu'il ne comprends pas pourquoi on agit comme on le fait. Mais au fond il n'est pas mauvais. J'en suis sûr." Il lui fais un bisous sur la joue, pour la rassurer.
* Elizabeth sent qu'il lui cache encore quelque chose mais n'insiste pas. "du moment que tu ne viens pas pleurer a ma porte , alors tout va bien."
* Gideon la serre contre lui "Je t'en parlerai promis. J'ai juste.... besoin d'un peu de temps pour gérer ça tu comprends? si je n'y arrive plus alor son y réflchira ensemble."
Elizabeth soupire : "entendue" elle lui feraitconfiance mais le surveillera, lui et ce Ekar. Prudence etant mere de surete.
Gideon lui embrasse la joue "bien je te laisse petite soeur! On en reparlera plus tard!" Il se lève et se prépare à partie "je vais acheter de quoi habiller correctement Alister. Qu'il porte au moins les couleurs de notre maison puisqu'il est de la famille désormais"
Elizabeth le regarde etrangement :"Gideon ? Tu es sure que tu vas bien ?"
Gideon la regarde et éclate de rire "j'ai l'impression d'être père! et de te laisser te marier! ahaha Non mais tu sais comme je suis : j'aime quand les choses soient claires. Et puis maintenant je l'aime bien" il se dirige vers la porte et s'apprête à partie avant de se retourner une dernière fois "enfin il faut que tu saches.... je l'ai quand même frappé un petit peu...." puis il s'enfuit sans demander son reste!
Elizabeth reste schotchee face a la revelation et se met a lui courrir derrier tout en le traitant de tous les noms d'oiseau qu'elle vonnaissait !
Dernière édition par Sayanel le Dim 4 Sep - 10:37, édité 1 fois |
| | | Ekar Neutre
Emploi ou situation : homme de main Localisation : château
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Ven 2 Sep - 19:17 | |
| J'ai le début du 3e amant !! - Début du "Troisième amant":
Gideon regarde bien les couloirs et se faufile discrètement. Il se glisse partout et parvient à passer inaperçu jusqu'à la chambre d'Ekar. Il toque discrètement.
Ekar se reposait depuis le milieu de l'après-midi dans sa chambre, crevé par son entraînement. Le prince, pour lui donner une leçon, avait intensifier l'entraînement, "pour rattraper" celui qu'il avait raté la veille. Il faillit ne pas entendre que quelqu'un frappait à la porte. Avec un soupire, il alla ouvrir et se figea en reconnaissant Gideon. "Ha... salut. Qu'est-ce... qu'est-ce que tu fais là ?" Gideon fit signe de le laisser entrer et le poussa un peu pour se faire de la place. Il entre dans la chambre et souffle un bon "ah! J'ai réussit à me faufiler! ni vu ni connu, n'est-ce pas fantastique?" il ricane de son succès.
Ekar s'efface et referme derrière lui. Il fait un sourire en coin. Ekar ramasse son arme et ses bottes qu'il avait laissé par terre pour les ranger. Il ne sait pas trop comment agir. Il était content qu'il soit là, sans personne autour d'eux pour les surveiller et, surtout, surtout, qu'il soit venu le voir. Gideon suit Ekar en regardant la chambre à droite à gauche. "C'est la première fois que je viens ici!"Ekar sourit, regardant les deux lits, le bureau, la commode -trop petite pour mettre ses affaires et celles de Valézy. "Le prince a fait en sorte qu'on récupère la sienne ensuite, elle est plus grande que celle-ci." Akané allait habité dans l'ancien salon privé de Miyazé. Gideon regarde Ekar étonné avant de sourire "c'est très généreux de sa part." il regarde les deux lits "lequel est le tiens?"Ekar montre celui près du bureau. "Valézy n'aime pas être près des fenêtres. Il s'approche de Gideon, l'encadrant de ses bras. "Tu veux t'asseoir ?" Gideon se serre contre Ekar et hoche la tête. il le regarde amoureusement "alors, A quoi passes-tu tes journées? "Ekar l'enlace plus fermement, le regardant dans les yeux. "A penser à toi", dit-il sans réfléchir. Gideon embrasse fougueusement Ekar et l'enlace. Il avait envie de lui dire qu'il l'aimait, mais étrangement il se retenait. Allez savoir?Ekar répond à son baiser avec passion et passe une main caressante dans son dos. Le serrant toujours contre lui, il monte sa main dans ses cheveux. "Je me languissait de toi." Il lui caresse le visage avant de dépose de doux baisers sur ses lèvres. Gideon frissonne sous ses caresses, comment avait-il pu se passer de lui pendant 15 ans? Aucune idée. il se serre contre lui et désirant toucher sa peau, passe une main sous sa chemise.Ekar se tend et s'écarte en lui prenant les mains. Il fait un sourire gêné. "Non, non" pouffe-t-il comme s'il avait un comportement normal. "Pas aujourd'hui, je suis crevé !" Gideon se fige et cligne plusieurs fois des yeux. Est-ce qu'il venait de se faire rejeter? Non il devait se faire des idées. il continue de sourire même s'il se sent blessé "okay, mais je peux quand même te toucher, non?" waaaah c'était quand même un peu embarrassant de dire ça à voix haute !Ekar l'attire à nouveau à lui. "Pas sous la chemise, d'accord ?" Il l'embrasse doucement dans le cou, remontant jusqu'à ses lèvres. Gideon se laisse embrasser dans le cou... Pas sous la chemise? Il tend sa joue lorsuq'Ekar arrive aux lèvres. Ses capacités de résistances étaient encore trop faible. S'il le laisser faire il allait juste laisser couleur. Avec de petits yeux il le regarde "pourquoi pas sur la chemise?"
Ekar fronce les sourcils en voyant qu'il a détourné la tête. Il se pince les lèvres en croisant son regard et se détourne, allant regarder par la fenêtre. "Je n'ai pas envie d'en parler." fait-il en croisant les bras. Gideon se crispe en voyant Ekar partir, il ne cache pas sa surprise et va la suivre en l'enlaçant par le dos. Avant de s'en rendre compte, sa question est déjà posée: "pourquoi?" Ekar est à deux doigts de le repousser encore, mais se mord la lèvre. Il soupire, fermant les yeux. (...)
ET LA SUITE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! - Ekar/Gideon : Le Troisième amant partie 3:
Ekar accompagne Gideon dans son plaisir, bien décide à ne pas le lâcher avant longtemps. Son plaisir ne va qu'en augmentant et après quelques minutes supplémentaires se délivre avec un râle de plaisir. Il le regarde avec un sourire presque moqueur.
Gideon s'étale dans le lit, il soupire puis en citant le rire d'élargir lui ébouriffe les cheveux. Décidément il ne s'y habituerait jamais !!
Ekar ricane et vient s'allonger près de lui. Il rit en l'enlaçant, se blottissant contre lui. Il est bien là, dans ses bras, et sent à nouveau ce lien privilégié entre lui et son amant. Mais il y avait quelque chose de plus. quelque chose de plus profond, plus chaud. surement l'amour qu'il y avait entre eux.
Gideon se serre contre Ekar, il lui caresse l'arrière des oreilles, la nuque et les cheveux. Il lui susurre à l'oreille "je suis content de t'avoir rencontré"
Ekar apprécie ses caresses avec un sourire, sa main se perd sur son torse. "Moi aussi... tu m'as tout de suite plus. C'est surement ta petit frimousse et ta confiance en toi." Il rit légèrement et se penche pour l'embrasser.
Gideon fait semblant d'être offensé: sa frimousse? " alors Tu aurais très bien pu choisir Elizabeth?" Il lui tire la langue.
Ekar pouffe. "C'est vrai, mais tu oublies une chose essentiel mon petit noble..." Il susurre à l'oreille. "J'aime les hommes." Il se redresse le regardant. "Et le fait que tu es des traits féminin n'enlève rien a ton charme, au contraire." Il caresse sa joue, frôle ses lèvres du bout des doigts.
Gideon se retient de sourire. Il est plus qu'heureux d'entendre Ekar prononcer ses mots. Au fond il en avait marre que tout le monde le prenne pour elle. Il embrasse sa joue e lui offre un clin d'œil.
Ekar est content qu'il ne se fâche pas. Il est sincère. Son coté jeune fille ou garçon encore juvénile lui plaît. ca le changeait de tous ses hommes mature qui aimait lui passé dessus auparavant. Il l'embrasse doucement et descend ses baisers vers sa poitrine imberbe. Il fronce légèrement les sourcils en entendant que quelqu'un essaie d'ouvrir la porte. La personne insiste puis plus rien, avant que quelque chose ne tombe avec un cliquetis à terre. Ekar se tourne cette fois et la serrure se déverrouille.
Valézy ouvre la porte avec un soupire puis lève un sourcil en voyant qu'Ekar n’était pas seul. Retenant tout commentaire, il pose son arme près de celle d'Ekar et passe devant le lit de celui-ci pour récupérer une petite boite.
Gideon joue un peu avec Ekar. Il se fige complètement en entendant la porte. La panique l'emporte et il reste un instant avant de laye un cri et de se débattre dans les bras de son amant.
Ekar se met sur Gideon pour le cacher un peu et le clamer. "Ca va... C'est que val." chuchote-t-il a son oreille. Il dépose un baiser dans son cou avant de se mettre à regarder Valézy. Celui-ci récupère le jeu, enferme dans une belle boite en bois, qu'il était venu chercher et salue Gideon d'un hochement de tête. Puis il retraverse la chambre en secouant la tête.
Gideon se cache sous Ekar. Son cœur bat la chamade Ekar s’empêche de rire et attend que son compagnon de chambre soit sorti pour se tourner vers Gideon. "Désolé!" Mais il ne l'est visiblement pas, mort de rire qu'il est !
Gideon se cache sous Ekar. Son cœur bat la chamade. Il regarde Ekar avec inquiétude: Valézy l'avait reconnu qu'est-ce qu'il devait faire?
Ekar se calme et lui sourit. "Hé bien ? Que t'arrive-t-il ? Il ne va pas te manger !" Gideon regarde Ekar avec les yeux écarquillés... Puis décidé de se venger en lui la séant un oreiller. Ekar ricane et lui renvoie l'oreiller.
Gideon regarde Ekar avec une lueur dans les yeux. Il continue de ou envoyer des cousins, la bataille dure sous ses rires. Finalement il avait du mal à rester en coke rencontre Ekar.
Ekar rit avec lui, prenant l'oreiller de Valézy pour avoir sa propre arme. Leur bataille cesse aussi vite qu'elle avait commencé et Ekar vient s'asseoir prés de lui. Il passe une main dans ses cheveux. "Ca t'a embêté ? Ne t'en fais pas pour lui."
Gideon le regarde et lâche naturellement : " faire confiance n'est pas dans ma nature" il se rend compte de ce qu'il dit puis lui fait un sourire en coin en haussant les épaules. Ekar fait un sourire pincé. "Tu as confiance en moi ?"
Gideon inspire...... Il hoche la tête lentement, bien qu'il réfléchisse à la question en y répondant "oui.... "
Ekar fait un sourire plus franc. "J'ai confiance en Valézy. Il ne va pas le dire à tout le monde. Il n'est pas comme ça." Au pire, il se moquerait de lui, et il en parlerait au prince pour la même raison !
Gideon sourit devant la sincérité d'Ekar. Il ne remettrait pas en doute sa confiance en ces amis. Il fronce des sourcils et lui avoue son véritable soucie " c'est juste que.... On pourrait avoir beaucoup plus de problème que ce à quoi je pensais.."
Ekar fronce des sourcils a son tour. "Comment ça ?" S'ils prenaient leur précaution, il n'y avait aucun problème.
Gideon montre son visage en pointant son index. Elizabeth était le premier de ses soucies. Ekar le regarde, lui et son index, sans comprendre. Il secoue la tête pour l'indiquer.
Gideon sourit et lui ébouriffe les cheveux pour mieux faire passer la pilule "je ne pense qu'Elizabeth me le pardonnerai"
Ekar fait un sourire pincé, sensible à la présence de Gideon et touché par son inquiétude. "Elle sera sûrement... étonnée. Tu n'avais jamais été attiré par un garçon avant ?"
Gideon penche la tête sur le côté en réfléchissant , il se demande s'il doit être honnête. Il tranche pour ne dire qu'une partie de la vérité "je n'ai jamais été intéressé par quoique ce soit." Ekar fait un grand sourire, amusé. "Alors je suis privilégié !" rit-il.
Gideon éclate de rire "effectivement! Le premier à me faire tourner la tête qui l'aurait cru!!" Ekar rit, puis redevient sérieux. Il le regarde, hésitant. "Moi aussi... enfin, il y a eu Nissé mais on a jamais conclu." Nisse ne s’était jamais avoue son homosexualité.
Gideon hoche la tête compréhensif, il ne peut empêcher son cœur de se serrer en entendant le nom. Un autre homme avait un jour possédait le cœur de son bien aimé et l'idée lui semblait presque insupportable. Il vient se serrer contre lui et lui sourit " tu en as eu beaucoup? Des amants?"
Ekar le serre dans ses bras. "Aucun que j'ai aimé. Tu le premier." Il sent sa gorge se serrer face à cette terrible vérité. Il avait du se donner, il s’était parfois donner, mais jamais a une personne qu'il aimait vraiment et qui l'aimait en retour.
Gideon embrasse Ekar dans le cou afin de la idée à se confier. Il préférerait savoir maintenant plutôt que de la prendre d'un autre. Une partie de lui pourtant ne peut s'empêcher d'être heureux de cette misère: au moins il était le premier, de ça il le possédait.
Ekar se pince les lèvres, lui caressant les cheveux. Il regarde Gideon et sent qu'il veut en savoir plus. Il lui prend la main. "J'ai été contraint, souvent. Je te l'ai dit. Seulement, une fois, un homme m'a pris d'une manière plus douce. Ca a tout changé. Après, même si ca ne m'enchantait pas, je réussissais a me... a avoir du plaisir. Mais je les détestait, il me prenait que pour leur chose..." Ekar détourne le regard, se demandant pourquoi il lui disait tout ça.
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| | | Ekar Neutre
Emploi ou situation : homme de main Localisation : château
| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Ven 2 Sep - 20:04 | |
| J'ai retrouvé un passage intéressant ^^ Ekar est pris dans sa relation sexuelle maître/esclave avec Aden, et Elisabeth s'excuse auprès d'Aden avant d'apprendre ce qu'il a réellement fait subir à Alister ! - Aden/Ekar/Elisabeth/Alister : Excuses et remords:
Aden l'attend tranquillement et lui fait signe de veir s’asseoir près de lui.
Ekar s’assoit, lui souriant. Il met une main sur sa cuisse, s'appuyant à lui. "Tu voulais me voir ?" Ha... mal parti pour ne plus faire d'extra. Ses pensées vont un instant vers Gideon et se redresse, regardant Aden dans les yeux tout lui caressant la cuisse.
Aden hausse les épaules: "Lorsque que tu passes à ma vue ... oui j'aime bien te voir. Tu ne semblais pas ravis toi, tout à l'heure..."
Ekar baisse la tête, essayant de trouver une explication. "Hm, je me mettais à la place d'Alister. Ce ne doit pas être facile de te croiser comme ça."
Aden le toise un instant, puis hausse les épaules : "Je l'ai lâché... quoique que vu la façon de parler de sa garce... je vais peut-être me le refaire juste pour le plaisir..."
Ekar penche la tête, se rapproche de lui. "Pourquoi te venger sur lui ? Tu m'as moi, non ?"
Aden le regarde un instant: "Toi c'est pour le plaisir, lui ça serait pour apprendre à sa peste à se tenir et à me parler correctement"
Ekar se pince les lèvres. "Je te l'ai déjà, ça dépend..." Enfin, c'est ce qu'il pensait. Il s'adosse au banc, gardant la main sur la cuisse d'Aden. Il retient un soupire.
Aden soupire et chasse ses parles d'un gestes de la main: "Bref, ta chambre, mes appartements?"Aden se lève: "Debout alors, on y va!" Et avec un peu de chance ils croiseraient la relation sérieuse.
Ekar se lève et le suit en silence. "Donc on va où ?"
Aden répond doucement : "dans mes appartements" et le poussant tranquillement dans le dos, ils se mettent en route vers le quartiers des invités. Le vampire brûlait de reprendre leur dernière conversation, cela avait rendu les choses tellement plus intense... mais il devait sûrement attendre un peu pour ne pas prendre le risque de le voir s'échapper
Ekar frissonne en sentant sa main dans son dos. Ses appartements ? C'était toujours mieux que dans sa chambre, où il l'avait fait avec Gideon. Il essaie de se calmer durant le trajet.
Aden arrive finalement à la porte de sa chambre qu'il ouvre machinalement avant de reporter son regard sur Ekar... et de froncer les sourcils : "Ça ne va pas?"
Ekar passe devant lui en lui faisant un sourire. "Ca ira mieux quand tu auras fermé cette porte." Comme son esprit.
Aden soupire, ferme la porte d'un geste vif puis pousse Ekar dans le dos un peu plus brutalement jusqu'à le faire choir sur son propre lit ou il le rejoint en embrassant sa nuque : "Tu te poses trop de questions.."
Ekar apprécie le baiser et se retourne pour l'embrasser tout en lui caressant le visage.
Aden rend le baiser d'Ekar, lui répond plus langoureusement, passant sa main sous ses vêtements, allant titiller ses tétons alors que ses dents mordillent sans blesser le cou du jeune homme
Ekar s'abandonne dans ses bras, bascule la tête en arrière pour lui laisser la place tout en parcourant son torse.
Aden enserre le corps d'Ekar dans ses bras, humant son odeur avec délice alors qu'il commence à déboutonner sa chemise pour pouvoir voyager sur son torse à son aise
Ekar le regarde faire avant de venir l'embrasser. "Peux-tu... éviter de laisser des traces ? Mes vêtements normaux me manque." demande-t-il. Il se pince les lèvres avant de l'embrasser. Il ne devait peut-être pas abusé, déjà qu'il se retiendrait de recommencer leur ébats, ou qu'il ne prendrait plus d'initiative...
Ekar répond avec un peu moins d'entrain au baiser, ses doigts se serrent contre son corps. Il se redresse un peu lorsqu'Aden veut lui retirer sa chemise et vient l'embrasser à son tour tout en lui enlevant son haut.
Aden se décolle de la bouche d'Ekar, sourcils froncés: "Qu'est-ce qui ne va pas? Et ne mens pas tu n'es pas comme d'habitude!"
Ekar le regarde surpris. Na jouait-il pas assez le jeu ? Fronçant les sourcils, il repose la tête sur le matelas. "Je ne veux pas de traces, et ça n'a rien à voir avec Gid."
Aden ouvre la bouche pour répondre à Ekar, mais est interrompu par un bruit à sa porte. Il fronce les sourcils et se demande qui donc prend la peine de venir le voir. Après un soupir, il se lève et ouvre la porte en se calant dans l'embrasure, ne laissant rien voir à son éventuel interlocuteur. Il ne peut néanmoins cacher son air surpris devant la gamine et un sourire carnassier s'étire sur ses lèvres. Elle venait s'offrir sur un plateau, n'était-ce pas mignon? "Qu'est-ce que tu veux?"
Elizabeth soupire doucement :" je suis venue vous présenter des excuses."
Aden lâche la porte qui ne bouge pas et croise ses bras : "Ben voyons! La gamine s'est rendu compte de son impertinence? C'est lui qui a pris peur?" Demande-t-il en pointant Ali du menton
Ekar préfère se mettre dans un coin de la pièce pour ne pas être vu.
Elizabeth le regarde dans les yeux. et déclare posément:"en effet."
Aden sourit, une lueur mesquine dans le regard: "Et je suis sensée accepté des excuses faciles et banales? Me contenter de juste ça pour un affront public?" Il secoue doucement la tête :"Pourquoi accepterais-je alors que j'avais une magnifique raison de m'expliquer avec ton esclave?"
Elizabeth le regarde surprise et soudainement mal a l'aise :"j'ignore ce que vous a fait mon domestique, je vous prie d'oublier et qu'on en reste la a son sujet. quant a moi, que puis-je faire pour que vous oubliez cette affront ?"
Alister se mord la lèvre, baissant le regard sur ses pieds.
Ekar a enfin reconnu la voix et se pince les lèvres. Elle n'aurait jamais du proposer ça !
Aden se redresse un peu. Etait-ce une proposition? Le vampire sourit, trop heureux d'une telle proposition mais doute fortement de pouvoir lui demander d'écarter les jambes sans y glaner quelques sérieux problèmes. Faisant mine de réfléchir, il avance précautionneusement: "Qu'es-tu prête à faire?"
Elizabeth soupire :"ce qui conviendrait a nos deux personnes. dites-moi ce qui vous plairez et je me débrouillerais pour que vous l'ayez, du moment que cela reste raisonnable bien entendu."
Ekar retient un soupire. Il chuchote, sachant qu'Aden entendrait - puisque c'est un vampire : "Aden... viens..."
Alister dresse un peu l'oreille en entendant une voix dans la chambre et lève un peu les yeux vers Aden, essayant de voir à l'intérieur de la chambre.
Aden la jauge du regard, l'estime consciencieusement. Voulait-il avoir plus et que cela reste entre eux? Ou désirait-il une humiliation publique? Secouant la main dans un geste d’impatience derrière lui pour indiquer à Ekar de se taire il réplique sèchement : "Attend, je suis occupé!" Un silence puis ... "A genoux, front au sol toi et ton esclave, et je veux tes plus plates excuses. " Et qu'elle s'estime heureuse, il se montrait d'une grande clémence.
Elizabeth croise les bras :"je vous pressente mes plates excuses." en disant cela, elle fait une profonde révérence qu'elle faisait uniquement au roi et se redresse rapidement, les larmes aux yeux. Elle fuit alors, cet homme qui venait de mettre en miette son ego sans un mot de plus..
Alister sursaute en la voyant s'éloigner rapidement et reste un instant à la regarde partir avant de la suivre, jetant un coup d’œil par-dessus son épaule. Il lui semble avoir entendu Ekar...
Ekar sent sa gorge se serrer, sentant qu'Aden reviendrait de mauvaise humeur.
Elizabeth courre jusqu’à sa chambre et s'effondre sur son lit, pleurant a chaude larme :"je suis une idiote, idiote, idiote !!!!!"
Alister s'arrête près de lit, se mordant la lèvre. Il finit par s'approche pour s’asseoir sur le lit: " Eli?"
Elizabeth ne fait pas attention a ce qui l'entoure, se torturant seule l'esprit sur ses actes. elle savait qu'il était un noble et elle savait aussi sa réputation et pour une intuition a la con, elle s'est humilie toute seule. elle n'avait que ce qu'elle méritait après tout...
Alister pose une main sur son épaule pour la caresser doucement, se voulant rassurant.
Aden reste un instant devant la porte, tout sourire, puis se retourne et avise Ekar au centre de la pièce. Ah oui... Soupirant, il revient s'asseoir au bord du lit et tapote une place près de lui : "Viens, et parle."
Elizabeth regarde Alister : "il parlait de quoi tout a l'heure. "
Alister hausse un sourcil: " Que voulez-vous dire?"
Ekar se tourne et vient s'asseoir près de lui, se collant contre lui. "Je te disais que je voulais remettre mes habits normaux, et qu'avec tes traces, je ne peux pas." Il sourit, essayant de se détendre. Il l'embrasse doucement. "Je vais être obligé de changer ma garde robe si ça continue !" En lui caressant le dos, il retrouve peu à peu sa bonne humeur.
Elizabeth regarde Alister, après avoir sécher ses larmes :"de quoi voulait-il te parler et puis... d’où tu le connais ?"
Alister déglutit: " Je l'ai simplement croisé une fois dans une couloir... " Il se dit qu'Aden n'est pas là juste pour lui parler...
Elizabeth lui lance un regard noir :"cesse de me mentir. que lui as-tu fait ?"
Alister bredouille: " Je ne lui ai rien fait..."
Elizabeth devient de plus en plus froide :"alors que t'a t-il fait ?"
Alister se rembrunit, sentant les larmes lui monter aux yeux: " Je ne veux pas en parler..."
Elizabeth voyant les larmes d'ali, s'approche de lui et doucement lui demande :'qu'a-t-il fait ?" après un court instant
Elizabeth reprit :"une fois que ce sera dit, je n'en parlerais plus alors vaut mieux ca que ca me hante a vie !"
Alister se blottit dans ses bras: " Promettez-moi de ne rien faire... je ne veux pas qu'il vous arrive malheur..."
Elizabeth l'enlace doucement se demandant vraiment qu'est-ce que lui avait fait l'autre noble pour son état... "j'essayerais..."
Alister renifle: " Sil vous plaît... ne l'approchez pas, il est dangereux... promettez.."
Elizabeth s’inquiète vraiment et le caresse doucement :"entendue"
Alister devient silencieux, cherchant ses mots. Il finit par lâcher à voix basse: " Il m'a pris..." Il ne tient pas à employer le terme "violer"
Elizabeth ne comprend pas tout de suite ce qu'Ali essaye de lui dire :"pris quoi ?"
Alister gémit un peu en voyant qu'elle n'a pas compris l'allusion. Il se mord la lèvre et se fait un peu plus précis, toujours à voix basse: " ... par derrière..."
Elizabeth laisse faufiler les paroles d'Ali dans son petit cerveau et quand elle percuta, la jeune fille écarquilla des yeux avec horreur :"Ne me dis pas que ce fumier, t'a viole ?" Elle se redresse, faisant les cents pas, paniquée et complètement affolée. Et dire qu'elle venait de lui présenter des excuses... Elle aurait du lui cracher a la face !! Elle s’apprêtait a sortir mais elle reprend raison, en voyant Ali. Elle se remet a ses cotes, le prend dans ses bras et c'est en larme qu'elle lui dit "je suis désolée..."!
Alister se loge dans ses bras: " Vous n'y étés pour rien..." Elizabeth en resserrant sa prise autour de son corps :"si ! j'aurais du écouter mon cœur et t'amener avec moi..."
[22:55:17] * Alister : " Vous ne pouviez pas savoir... C'est moi aussi qui n'aie pas été prudent..."
Elizabeth efface les larmes d'Ali de son pouce et comme ca, elle rapproche ses lèvres de celle de son amant , en un doux et tendre baiser. Elle ignore de quoi il a besoin mais essaye a sa maniéré de le rassurer
Alister accepte le baiser et lui en rend un tout aussi tendre. Il se love un peu plus contre elle, rassuré par sa présence: " La première fois c'était pour un bête chocolat..."
Elizabeth se tend a sa remarque... :"il ne s'est pas. contente d'une fois en plus." plus qu’énervée , elle essaye de se libérer de son étreinte :"je vais le lui faire regretter. Lâche moi, Ali !"
Alister se crispe la gorge serrée. Il s'agrippe à elle, ne voulant pas qu'elle aille le voir, paniqué: " Non! S'il vous plaît... n'y allez pas!"
Elizabeth inspire bruyamment et se laisse dans leur position initial. Elle s'allonge alors et amen la tête d'Ali sur sa petite poitrine et le couvre de caresse :"continue"
Alister sanglote: " ne vous en approchez pas... Il fera plus que vous humilier..."
Elizabeth soupire dépitée :"je sais..." elle était bien tentée d'aller voir tonton Ewald et lui dire que cet homme l'avait viole mais elle ne pouvait pas trahir la confiance de son oncle adore . elle ferme les yeux, sentant ses propres larmes revenir a flot. Elle se redresse et attrape son visage :"dis-moi ce que tu veux ? qu'est-ce que je peux faire pour toi ?"
Alister la regarde un instant avant de se pelotonner contre elle: " Ne pas le voir... de rester ici... près de moi... Je vous aime tellement..."
Elizabeth le laisse faire. Elle se sent tellement impuissante... La Lockarth lui embrasse le front. :"Je ferais tout ce que tu voudras..."
Alister sourit un peu: " Votre présence est déjà suffisante! Ca me rassure..."
Elizabeth lui sourit doucement en continuant de le caliner du mieux qu'elle le peut. ""je t'aime Ali et tu sais que tu peux tout me dire alors....je te protégerai de lui, je te le promets, il ne te touchera plus jamais."
Alister lui sourit un peu: " Je vous fait confiance, mais ne l'approcher pas... " Il reste un long moment silencieux avant de lâcher: " On peut parler d'autre chose?"
Elizabeth sourit :"d'accord". c’était la première fois qu'il s'imposait ainsi et cela la ravit !
Alister redresse la tête pour l'embrasser tendrement et se loge à nouveau contre elle: " J'aime votre parfum…" Alister sourit un peu: " Moi aussi! J'aime vous voir sourire! Vous entendre rire aussi, même me réprimander…"
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| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Sam 10 Sep - 22:23 | |
| Alors alors première rencontre après la perte de mémoire de Gideon!! - EKAR/ALISTER/GIDEON :Retournez à la case départ, ne touchez pas 20.000 pièces d'or part1:
[13:58:21 27/09/14] * Alister arrive dans les cuisines pour se trouver un truc a grignoter pour le repas de midi [14:35:08 27/09/14] * Alister fouille un peu dans la cuisine pour trouver quelque chose a manger, demandant aux cuisiniers ce qu'il peut prendre. [14:58:17 27/09/14] * Alister s'installe a une table pour manger un peu de soupe. [15:31:56 27/09/14] * Alister continue de manger en attendant quelqu'un.
[15:44:43 27/09/14] * Ekar arrive. "salut et bonne apetit." Il s'asseoit pres de lui.
[15:46:10 27/09/14] * Alister aceve sa soupe et leve les yeux vers Ekar: " Merci! Tu vas bien?"
[15:52:40 27/09/14] * Ekar prend de la soupe dans un bol et acquoece. "Oui..." Il a cependant les yeux dans le vague quelques secondes. "Et toi ?" dit-il machinalement.
[15:53:31 27/09/14] * Alister acquiesce: " Tu n'ad pas l'air dans son assiette..."
[15:56:27 27/09/14] * Ekar soupire. Il prend sa soupe et l'hume avant de gouter. Elle etait mangeable, mais pas aussi bonne que les soupes de chez eux. "Tu sais... Gideon me manque vraiment, mais je me met à regarder les autres hommes. Qu'est-ce que ca veut dire selon toi ?"
[16:00:12 27/09/14] * Alister le regarde: " Que tu es en manque d'affection?"
[16:04:50 27/09/14] * Ekar lui jette un coup d'oeil, reflechissant serieusement à sa reponse. Il fait un petit sourire. "Tu raison, pouffe-t-il. Je suis bete, j'aurais du m'en rendre !" C'est la gentillesse et l'amour de Gideon qui lui manquaient ! Les autres hommes ne seraient que des substituts.
[16:06:35 27/09/14] * Alister lui sourit: " Faudra etre patient, mais tu retrouveras bien vite ton cheri!"
[16:08:40 27/09/14] * Ekar se pince les levres rougissant. "Tu me fais pensé... on ne se nomme pas autrement que par nos prenoms." Il l'appelait Gid ou... "Ha mais si ! sourit-il. Je l'appelle mon petit comte, et il n'aime pas trop ca !" rit-il.
[16:10:28 27/09/14] * Alister pouffe de dire: " C'est mignon! " Il se demande s'il en a avec Eli.
[16:11:41 27/09/14] * Ekar "Et toi, tu l'appelles comment miss chipie ?"
[16:12:34 27/09/14] * Alister se mord la levre: " Non... je ne sais pas... je pense que je ne l'appelle que par son prenom... "
[16:13:24 27/09/14] * Ekar ricanne "Tu devrais l'appeler Miss rabajoie !"
[16:15:00 27/09/14] * Alister fait non de la tete: " Non... elle n'est pas comme ca... enfin avec moi!"
[16:16:31 27/09/14] * Ekar souri. "Je m'en doute... Elle est inquiète pour son frere... mais moi aussi, j'ai l'impression de lui mettre une épée sous la gorge a chaque fois que je le vois a cause de... de l'autre."
[16:17:41 27/09/14] * Alister acquiesce: " Je sais... tu l'as encore vu?'
[16:23:53 27/09/14] * Ekar "Juste dans un salon. Et je suis parti en voyant qu'une femme voulait lui parler." Il lui jette un coup, n'osant pas lui demander pour lui...
[16:26:09 27/09/14] * Alister : " Au moins tu ne l'as pas parler! Il t'a donc laisser tranquille?"
[17:00:10 27/09/14] * Ekar acquiesce haussant les épaules. "Il ne semblait pas ravie de la voir..." et il n'avait pas aimé les regards des autres nobles de la pièce. "Dis, Aden a une mauvaise réputation ?"
[17:01:38 27/09/14] * Alister se pince les levres: " Il est du genre a faire ce qu'il veut! Donc les nobles se mefient de lui! Il n'a pas specialement de bon contact... "
[17:04:30 27/09/14] * Ekar se mord la lèvre. "Haaa j'aurais du m'en douter plus tôt. Là, je met Akané dans une mauvaise posture !" Déjà que son intégration à la cour ne se passait pas au mieux...
[17:06:50 27/09/14] * Alister : " Il t'aurait peut-etre quand meme attraper! Je ne lui avais jamais adresser la parole ni meme essayer a le voir... "
[17:08:35 27/09/14] * Ekar détourne les yeux. "Je... je te l'ai jamais dis mais... heu..." Il se pince les lèvres, baissant les yeux sur sa soupe presque vide. "Il... il ne couchait pas avec les hommes avant de m'avoir rencontré..." Donc, on pouvait dire que, quelque part, c'était sa faute. S'il n'avait pas séduit Aden, il n'en serait pas là tous les deux !
[17:11:36 27/09/14] * Alister hausse les epaules: " Pour moi, ca ne change rien! Il s'attaque quand meme a tout le monde!"
[17:12:44 27/09/14] * Ekar est soulagé d'entendre qu'il ne lui en veut tout de même pas. Il se tourne vers lui. "J'espère qu'il rentrera vite chez lui. Il habite à Xeros (orth. ??) tu sais ?"
[17:14:12 27/09/14] * Alister se mord la levre: " Je me fiche de savoir ou il habite... il est ici pour l'instant! Alors je prefere ne pas le croiser!"
[17:15:35 27/09/14] * Ekar acquiesce, compréhensif. "Moi aussi..." Il soupire, s'allongeant à moitier sur la table et renversant son bol. "Je pense comme même beaucoup à lui..." bougonne-t-il.
[17:16:16 27/09/14] * Alister hausse un sourcil: " A Gid ou a Aden?"
[17:16:52 27/09/14] * Ekar préfère se cacher et met ses bras sur sa tête. Il a trop honte. Trop honte de lui. Trop honte de l'avouer à Alister. L'homme a qui il ne devrait PAS en parler. "A ton avis grogne. Au deux." Si seulement il ne pensait qu'à Gideon !!
[17:18:32 27/09/14] * Alister se pince les levres, se trouvant stupide sur le coup: " Desole... "
[17:25:02 27/09/14] * Ekar se redresse, se prenant la tête dans les mains. "Non, c'est moi. Je ne devrais pas m'en prendre à toi, tu n'y es pour rien. Tout est de ma faute !"
[17:26:24 27/09/14] * Alister le regarde: " Ce n'est rien! Ta situation te met sous pression!"
[17:44:45 27/09/14] * Ekar continue de se prendre la tête, en en oubliant presque à repirer.
[17:45:42 27/09/14] * Alister se leve etvient piser sa main sur son epaule: " Ca va aller! Tu es tranquille pour l'instant!"
[17:47:15 27/09/14] * Ekar inspire lentement, se redressant. "Tu savais qu'Aila avait perdu sa mère dans un incendie ?"
[17:49:28 27/09/14] * Alister acquiesce lentement: " Oui... elle me la dit!"
[18:32:11 27/09/14] * Ekar le regarde se pinçant les lèvres. "Elle est si triste, c'est... arrivé il n'y pas longtemps ?"
[18:32:43 27/09/14] * Alister se pince les levres: " Quand elle etait plus petite je pense!"
[18:34:12 27/09/14] * Ekar fronce les sourcils, dubitatif. "Ha... Alors on est triste si longtemps quand on perd quelqu'un qu'on aime ?" Il a soudain peur d'être dans le même état s'il perdait Gideon pour toujours...
[18:36:33 27/09/14] * Alister : " Enfin... je ne sais plus trop... "
[18:46:48 27/09/14] * Ekar baisse la tête. "Moi non plus... je n'ai pas osé lui poser plus de question, ni la prendre dans mes bras pour soulager sa peine."
[18:51:10 27/09/14] * Alister soupire: " Moi aussi j'aimerais la rassurer... "
[18:58:14 27/09/14] * Ekar le regarde dans les yeux et lui demande en chuchotant : "Toi aussi tu as peur de... enfin tu sais, d'être arrêté ?" Il avait prononcé ces deux derniers mots dans un murmure à peine inaudible, bien conscient qu'ils ne devraient même pas en parler !
[19:00:26 27/09/14] * Alister deglutit et fait oui de la tete: " Eli ne pourra pas me proteger pour ca... ca me terrifie... avec plein d'autres choses... "
[19:06:15 27/09/14] * Ekar acquiesce. "Je comprends de plus en plus ce que tu veux dire, ce que vous ; ce qu'ON vit tous." Il secoue la tête, trouvant tout ceci incensé. "Et il n'y a rien à faire hein ?" Il s'avachit à nouveau sur la table, soupirant d'amertume.
[19:08:30 27/09/14] * Alister baisse le regard: " Rien... tant que les gens pensent comme ca, on est coince... " Il s'approche: " Si ca te gene pas, on peut aller en parler autre part?"
[20:09:07 27/09/14] * Ekar acquiesce et se leve pour sortir des cuisines. "Nous serons mieux dans ma chambre." ali acquiesc (il n'est pas compliqué) et les voila parti dans les couloirs du château
[20:11:36 27/09/14] * Gideon gideon est assis sur l'un des bancs des couloirs. Il est perdu dans ses pensées, les sourcils froncés, il semble perdu...
[20:13:51 27/09/14] * Ekar s'ecarte devanr quelques nobles, longent un mur pour en depaser d'autre. Quand il tombe sur la tête blonde de ses plus douces pensées. Il se fige, alister manquant de lui rentrer dedans. Il met quelques secondes avant d'articuler, joyeux "Gideon !"
[20:24:56 27/09/14] * Gideon se retourne vers celui qui a parlé. Il s'était exprimé d'une voix forte et avait attiré toute l'attention. Qu'est-ce qu'il avait dit? Gideon le regarde avec des yeux ahuris.
[20:25:57 27/09/14] * Alister s'écarte pour ne pas foncer dans Ekar et porte son regard sur Gideon, souriant un peu en voyant la tête d'Ekar
[20:26:35 27/09/14] * Ekar fronce les sourcils, s'etant plutot attendu a des retrouvailles chaleureuses. Et il aurait voulut revoir son beau sourire. "Gideon ? Ca... ne va pas ?"
[20:27:39 27/09/14] * Gideon regarde une fois derrière lui. Ah non, il semblait bien que l'inconnu lui parlait. il fronça des sourcils: ils se connaissaient? "Euhm...." Au moins il était enfin au bon endroid!!
[20:30:41 27/09/14] * Ekar s'accroupit et pose la main sur la sienne, cherchant son regard. "Gideon... qu'est-ce que tu as ?" Il sent son ventre se tordre douloureusement à l'idée que gideon lui fasse la tête. etait-ce un jeu ou une plaisanterie ? et dans quelques minutes il reverrait sa frimousse souriante ?
[20:31:39 27/09/14] * Alister s'approche à son tour, le trouvant bizarre lui aussi: " Monsieur Lockarth... vous allez bien?"
[20:35:26 27/09/14] * Gideon plonge son regard dans le sien. Marrant il y avait quelque chose qui venait de se passer en lui.. C'était quoi ça? son regard fiinit par être capté par un autre homme. Gideon? Lockarth? C'était la même personne? "On se connaît?" Dans le doute....
[20:41:42 27/09/14] * Ekar égarquille les yeux et retire sa main. Il sent son coeur manquer un battement. "Quoi ?"Il fait un sourire jaune. "Vous rigolez n'est-pas ?"
[20:42:20 27/09/14] * Alister écarquille les yeux, ne comprenant pas ce qu'il lui arrive: " Vous ne vous souvenez pas de nous?"
[20:43:04 27/09/14] * Ekar secoue la tete. IM PO SSI BLE
[20:44:30 27/09/14] * Gideon sent qu'il a fait une bêtise. Il essaye de se forcer à sourire "bien sûr... sur non!" Il laisse un rire nerveux s'échapper. Non il est vraiement dans la merde et maintenant il doit faire semblant.
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| | | Sayanel ♞ Graphiste et modérateur
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| Sujet: Re: Je partage, tu partages, il partage, nous partagerons Lun 26 Sep - 16:39 | |
| Aller des plus récents! - EKAR/GIDEON : Apprendre à se connaître partie1:
[19:24:42 01/09/2016] * Akané vit une de ses pires journées et, ne trouvant pas Gideon pour décompresser, lui parler, retrouver sa bonne humeur grâce à la sienne, il sort des appartements des Alqués et glisse de couloir en couloir sans être vu des quelques gardes de nuit. Arrivé dans les appartements des Lockarts, il crochette la serrureu ; il s'est entraîné avec Akané et Valézy ) crocheter les portes du château. Il entre à pas de loups et ouvre doucement la chmabre de Gideon. Après tout, cette nuit ou une autre, son jeune amant l'avait bien invité dans son lit !
[19:26:27 01/09/2016] * Sayanel // Gideon entend un bruit dans sa chambre. Il n'est pa sûr de ce dont il s'agit aussi se lève t-il doucement pour se diriger vers la porte..
[19:28:24 01/09/2016] * Akané / Ekar referme la porte et se retourne. Il se cogne contre un des nombreux meubles et trucs de "filles" qui se trouvent dans la chambre de Gideon. "Aïe !"
[19:33:01 01/09/2016] * Sayanel // Gideon saute de surprise en retrouvant Ekar il 'aggripe "oh tu m'as fait peuuur"
[19:34:41 01/09/2016] * Akané Ekar l'enlace. "Désolé, sourit-il. Je voulais tant te voir. Il lève les mains jusqu'à son visage, tatonnant pour trouver son manton et l'embrasse, avec une note de passion et de désespoire.
[19:39:29 01/09/2016] * Sayanel // gideon tatonne pour le trouver il vient déposer un baiser sur sa joue "attends" il se dégage et va chercher quelque chose à travers ses meubles. [19:40:01 01/09/2016] * Sayanel // "assied toi! Je reviens! "
[19:40:31 01/09/2016] * Akané voit sa silhouette s'éloigner. "Tu as bougé des meubles !" remarque-t-il. C'était pas ainsi lorsqu'il était venu. Il s'en serait souvenu !
[19:41:43 01/09/2016] * Sayanel // gideon le regarde (ou du moins dans la direction il doit être "Tu as une très bonne mémoire!" il fouille dans quelques tiroirs, en essayant de miniser le bruit
[19:42:56 01/09/2016] * Akané Ekar fait attention aux meubles et trouve le lit. Il retire son haut et ses bottes, s'allongeant dans le lir. Las.
[19:45:40 01/09/2016] * Sayanel //Gideon finit par mettre la main sur ce qu'il voulait, il y a un peude bruit dans qu'un rayon de lumière jaillisse dans la pièce : la première flamme de la bogie vacille mais elle prend forme au fur et à mesure... Il se retourne vers Ekar et s'approche de lui "ça ne va pas?" il entreprend de le caresser de la paume de la main.
[19:47:11 01/09/2016] * Akané lève les yeux vers lui. "Ha, je risque d'heurter ton âme sensible si je te racontais - ou sinon tu trouverais ça normale, marmone-t-il dans sa barbe."
[19:48:28 01/09/2016] * Sayanel // Gideon réprime un sourire , un Ekar de mauvaise humeur! C'était si rare! "Raconte moi" il s'allonge sur et le caresse tendrement de ses deux mains pour lui rassurer de sa chaleur
[19:51:34 01/09/2016] * Akané sourit, le rapproche de lui, caresant son dos. Il était si beau à la lumière vacillante de la bougie. "Nous étions partis pour une mission de routine, tester les habitants d'un quatier quelconque, arrêter les... personnes positives, ce genre de choses. Quand il y a eu ce gamin positif d'à peine neuf ans. Un gamin des rues... il a esayé de s'enfuir..."
[19:53:37 01/09/2016] * Sayanel grimace en imaginant la suite, il le serre plus fort encore "vous avez dû l'arrêter?"
[19:57:37 01/09/2016] * Akané Ekar soupire : "J'aurais du le tuer... j'ai... pas pu. Un autre s'en est chargé." Sa voix était devenue roque. Il se sentait si minable, si sale de participer à ce genre de choses...
[19:59:09 01/09/2016] * Sayanel sentait le corps d'Ekar vibrait, il lui dit les première choses qui lui vinent à l'esprit "tu es un homme et jamais un homme ne devrait être amené à faire ce genre de chose!" Il prend son visage dans ses mains et dépose un baiser sur son front.
[20:03:36 01/09/2016] * Akané / Ekar ferme les yeux, un soulagé par ses paroles. Il secoue la tête. "Ils doivent être tué, hein ? Jusqu'au dernier." Ce n'était pas tant le fait qu'il soit mage, c'était son âge; il se revoyait au même âge découvrant soudain ses pouvoirs.
[20:05:28 01/09/2016] * Sayanel le regarde surpris, pour être honnête il ne s'était jamais posé la question.... "C'est ce qu'on dit. hmmm." il fronce des sourcils puis revient se serrer contre son amant. "tu as eu de problèmes après? Pour ne pas avoir exécuté cet ordre?"
[20:11:55 01/09/2016] * Akané détourne les yeux. "Oui, rien de graves." Akané avait du faire bonne mesure devant les autres, avant que leur supérieur vienne lui remonter les bretelles. Mais il savait ce que pensait Akané.
[20:13:26 01/09/2016] * Sayanel // Gideon fronce les sourcils et le serre plus fort, "qu'est-ce qui te marque le plus?" parler lui ferai du bien , mettre des mot sur le malaitre aider toujours à trverser l'épreuve.
[20:17:05 01/09/2016] * Akané Ekar soupire. Il ne voulait plus en parler. Et Gideon ne comprendrait pas ce que c'était de traquer et arrêter ses semblables. Il l'embrasse. "Fais-moi oublier ça." Il l'embrasse avec plus de passion. "Offre-toi, en entier pour moi." lui souffle-t-il.
[20:18:54 01/09/2016] * Sayanel //Gideon frissonne mais parler lui ferait du bien non? Il venait d'assister au meurtre d'un enfant peut-être que ça serait mieux? Il réponds avec passion et l'enlace, pénétrant ses yeux dans les siens il lui murmurre avec force "je suis toujours tout à toi."
[20:22:16 01/09/2016] * Akané / Ekar fait un sourire carnassier. "Bonne nouvelle." Il lui fait cependant un souire, l'embrasse plus profondément tout en parourant son corps, l'éveillant à de doux plaisirs.
[20:26:17 01/09/2016] * Sayanel // Gideon caresse sa colonne vertébrale avec la pointe de son ongle. Faire oublie Ekar? Il allait devoir redoubler d'effort! Enlançant sa taille de ses jambes il lui offre u sourire espiègle en continuant caresses félines..
[20:28:03 01/09/2016] * Akané / Ekar apprécie le regard qu'il lui renvoie et de le trouver si près de lui. Il plaque ses hanches contre les siennes et embrasse ses lèvres, ses joues, son cou, caressant le bas de son corps et atteignant la partie viril de son anatomie.
[20:32:51 01/09/2016] * Sayanel // Gideon pousse un gémissement, il se rapproche pour mordre Ekar une fois dans le cou, doucement pour ne pas lui faire trop mal mais suffisament fort qu'il le sente et le sente bien. Il pose une de ses mains derrière lui pour avancer sa virilité vers lui.
[20:35:22 01/09/2016] * Akané Ekar ricanne, continue ses petites attentions jusqu'à le faire venir. Puis, il l'embrasse, lui donne mille petit saisir avant de le retourner pour se satisfaire à son tour. Soulagé et relaxé, il enlace Gideon, toujours flanqué dans le dos de son amant.
[20:39:06 01/09/2016] * Gideon ricnne avec Ekar, il l'aime son Ekar, morose ou pas... avant de finir cette pensé le voilà dans une autre position (il était si léger que ça?) et soudain victime d'une monté de plaisir irrésistible. Bien plus démonstratif qu'Ekar, il dût se mordre la main pour ne lâcher aucun son. Doucement, il récupère petit à petit une respiration normale avant de se serrer contre lui
[20:44:19 01/09/2016] * Akané Ekar embrasse son épaule. "Tu as l'air de t'y faire." lui lance-t-il. Il pose la tête sur le matelas, fermant déjà les yeux.
[20:49:38 01/09/2016] * Gideon le regarde en haussant les sourcils "de?"
[20:50:16 01/09/2016] * Akané / Ekar est déjà endormi. XD
[20:51:38 01/09/2016] * Gideon est extrêment frustré, il grogne sourdement pour exprimer son mécontentement.
[21:02:51 01/09/2016] * Akané / Ekar dort d'un sommeil sans rêve, puis il se retourve dans cette ruelle où ils testaient les gueux et les opprimés. Une jeune femme tenait un enfant dans les bras, pleurant et tremblant. L'enfant ouvrait de grands yeux apeurés. Ekar mit d'abord cela sur la présence d'une quainzaine de cavaliers qui venaient les déranger dans leur petite rue sordide où ils avaient trouvés un logement. Des cavaliers du roi qui faisaient froids dans le dos et qui n'était là que pour trouver de la chaire fraiche pour nourrir la machine "anti-magie". Mais la jene fille encore jeune (17 ans ?) cria et protesta lorsqu'ils voulurent tester l'enfant. La pierre réagi à quelques centimètres du garçon. Ce garçon à l'allure chétive, au visage sale et vivant dans la rue. Ca aurait pu être lui. Ekar, à l'autre bout de la file, empêchait la foule d'approcher avec un autre. Soudain, la jeune fille repoussa un cavalier et cria à son enfant de s'enfuir. Le petit fila... dans sa direction. Non. Il du se mettre sur son chemin, son arme en..
[21:07:40 01/09/2016] * Gideon sent Ekar bouger dans leur sommeil, il murmure quelque chose, fronce des sourcils et tente de se déplacer sur le couteau, s’écartant pour se retourner face à lui, Gideon se recule et lui laisse tout l’espace pour gémir, il le touche un peu pour le calmer et lui parle doucement « tout va bien, tout va bien, je suis là tout va bien » masquant un maximum son inquiétude dans sa voix
[21:08:42 01/09/2016] * Akané ... en main. Mais il était resté figé sur place au lieu de l'arreter ou le tuer. Son compagnon cria son nom et du arrêter le gamin en le transperçant de son épée avant qu'il ne trouve un moyen de s'enfuir. Et le rêve bascula, il se retrouva face à Arl, ce gamin plus âgés qui l'avait envoyé en pature pour de hommes assoiffés de viande fraiche. Il se retrouvait à sa merci, impuissant. Et son pouvoir se réveilla. En dehors du rêve, le pouvoir dEkar s'était éveillé et commençait à répendre sa chaleur par ses mains, sur la peau de Gideon, qu'il tenait par la main, et sur une partie du drap. commençant à bruler ce qu'elle touchaient. [21:10:18 01/09/2016] * Akané Une lueur incandescente, d'une couleur rouge, illumine d'un allo ses mains.
[21:15:21 01/09/2016] * Gideon contracte sa main en sentant une chaleur se répandre. Qu’est-ce qui se passait ? Ce n’était pas possi….. il inspire violemment ens entant la chaleur devenir brulante et son corps commence à trembler sous la douleur. « Ekar réveille toi » il le secoue ducement d’abord. Ses yeux s’emplissent de larmes à mesure qu’il résiste à la douleur. « Ekar debout » le secouant plus fort il tente de se défaire de ses mains c’était quoi cette lumière ? c’était AAAAh putain « EKAR ! » Gideon frappa Ekar d’un coup fort sur le torse, tant pour le réveiller que pour le forcer à le lâcher. De toute ses forces il se défaits de son emprise et tombe à la renverse du lit.
[21:21:40 01/09/2016] * Akané Ekar se réveille, en sueur, réprimant son pouvoir qui s'est éveillé. Une sueur froide coule dans son dos alors qu'il prend conscience de l'endroit où il est. Son torse est douloureux, mais ce n'est rien face à ce qui se présente sous ses yeux. Gideon ! Il est chez Gideon ! Dans son lit et son pouvoir était éveillé ! Se tendant comme un arc, il pose ses yeux écarquillés sur son futur ex-amant ? le regarde près lui sauter dessus s'il tente de s'enfuir et aller tout révéler ! Le coeur battant, son esprit en éveille qui essaie de trouver une issue acceptable. La mort, hors de question. Perdres Gideon. Le tuer pour sauver sa peau, jamais ! Mais bientôt ses réflexions l'abandone quand il voit le garçon, effrayé ? se tenir la main...
[21:26:17 01/09/2016] * Gideon le regarde effrayé. Il voit bien l’état d’Ekar, quoique les larmes aient rendue sa vision floue. Il respire bruyament et se coltine contre ses meubles. Ekar, Ekar était donc un mage, un mage de feu, et il l’avait brûler ! ça faisait mal ! Il plissa les yeux ce qui fit tomber ses larmes sur ses jours et entourant son poignet de son autre main comme pour le protéger de l’air froid environnant. Se demandant ce qu’il allait avenir de lui il regard son amant… totalement paniqué ! C’était peu dire ! Honnêtement, ils n’y avaient pas 36 solutions..10 au plus. « Ekar ? »
[21:32:45 01/09/2016] * Akané / Ekar respire rapidement, mais il parvient à demander d'une voix sourde : "Je t'ai blessé ?" Il n'aimait pas la manière dont Gideon le regardait maintenant. Il l'avait blessé. "Je... voulais pas." Il se lève maladroitement pour sortir du lit à l'opposer de Gideon. Inutilie de l'effrayer davantage. Il ne savait pas quoi dire, ni quoi faire. La moindre de ses paroles pouvaient agraver la situation. Et il se faisait l'image du prédateur face à sa proie.
[21:36:56 01/09/2016] * Gideon hoche la tête lentement. Il le regarde se poser devant lui et reste en temps sans rien dire. Quand Ekar le fixe il détourne les yeux comme pour intégrer l’information. Puis il le regarde à nouveau avec une certaine tristesse « pourquoi tu n’as pas pu tuer cet enfant ? » il savait qu’il lui en voulait, il ne savait pas de quoi mais un part de lui ressentait de la colère.
[21:38:59 01/09/2016] * Akané Ekar est surpris par la question. Il sent une profonde tristesse l'envahir. "Je me suis vu moi, au même âge... c'est arrivé d'un seul coup. J'ai rien demandé." dit-il amérement. "Rien"
[21:40:23 01/09/2016] * Gideon s’approche doucement vers lui « tu les as découvert au même âge ? »
[21:46:42 01/09/2016] * Akané Ekar acquiesce lentement. "Oui, dit-il à voix basse comme pour ne pas l'efrayer, ne pas le faire reculer à nouveau. C'est souvent le cas."
[21:49:15 01/09/2016] * Gideon se rapproche de lui encore un peu, il s’arrête un peu avant de le toucher. S’asseyant sur ses genoux il le regarde droit dans les yeux. « Parle moi de toi s’il te plait. » il retient ses larmes, une partie de lui veut rester forte, tant parce qu’il n’est peut-être pas celui souffre le plus que pour communiquer sa détermination. « Qui es-tu Ekar ? »
[21:57:14 01/09/2016] * Akané / Ekar est abassourdi, ému, soulagé, il n'ose le prendre dans ses bras, venant simplement toucher ses jambes. Il secoue la tête. Il trahirait Akané. Il trahirait Gideon. "C'est dangereux pour le duc, dit-il d'une voix désespérée... ne dis rien à personne. Je préfère mourir que de courir à sa perte... Gideon... Ne dis rien..."
[22:03:47 01/09/2016] * Gideon sent son cœur se serrer en entendant Ekar. Qui avait bien t-il pu le mettre dans une situation pareille ? « Tu tiens à lui, il t’a aidé…. il le sait donc? ». Les caresses sur ses jambes le font frissonner mais surtout, l’aident à se décider. Il se rapproche et touche le visage d’Ekar pour le prendre entre ses mains. Il palre d’une voix douce, tant pour lui que pour son amant. Il en avait besoin, ça lui donner l’impression d’uen stabilité émotionnelle qu’il était loin de possédait mais un semblant, ça faisait déjà beaucoup de bien. « Qu’est-ce qu’il est pour toi ? »
[22:17:20 01/09/2016] * Akané Ekar plonge ses yeux embués de larmes dans les siens. Il était effrayé. "Il m'a redonner la vie, il m'a protégé et il a accepté que je le suive malgré les risques. Révéler mon passer c'est révéler le sien." Il prend une grande inspiration. "j'etais un criminel."
[22:21:24 01/09/2016] * Gideon bloque toute émotion sur son visage. Le début du la tirade d’Ekar ne présage rien de bon et il ne fallait surtout qu’une once de jugement traverse ses yeux, elle serait catastrophique. Aussi il décida d’écouter les informations et de les ingérer après coup pour ne pas se trahir. Le mot criminel tombé il vient l’embrasse sur le front et se serrer contre lui. Il lui caresser les cheveux pour l’inciter à parler, le rassurer et lui faire comprendre que tout irait bien.
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